Jérémie Mercier : mon histoire

par | 10 Août 2019 | Non classé | 45 commentaires

Je suis Jérémie Mercier et voilà ce que je fais dans la vie

J’ai découvert en 2006 que tout ce que je pensais savoir sur la santé et l’alimentation était complètement faux.

À l’époque, je pensais que ce que je mangeais n’avait que peu d’influence sur ma santé et mon niveau d’énergie.

Je pensais que le cancer (ma mère était infirmière en centre anticancéreux) ou les maladies cardiovasculaires (mes 4 grands-parents ont fait un infarctus) étaient la faute à pas de chance ou à l’âge.

Je pensais que les médecins, l’industrie pharmaceutique et les autorités de santé s’intéressaient vraiment à la santé… jusqu’à ce que je découvre que le système médical actuel dans sa grande majorité n’avait aucun intérêt à ce que les gens (dont moi ! ;) ) soient en bonne santé.

Pour ce système, 1 patient guéri = 1 client perdu !

Aujourd’hui, mon travail est d’aider ceux qui le veulent et qui sont prêts à ouvrir les yeux, et à prendre en main leur santé, par des approches naturelles efficaces !

Sais-tu d’où tu viens ?

Il y a une bonne dizaine d’années, j’ai commencé à me pencher sur la généalogie de ma famille et l’histoire de ses membres.

D’une part pour mieux connaître mes racines, d’autre part pour aussi éviter de reproduire des schémas inconscients auxquels je pourrais me soumettre par « fidélité familiale » (voir le livre « Aïe mes aïeux », de Anne Ancelin Schützenberger).

Cela m’a amené la semaine dernière en Pologne, car en fait, je ne suis pas autant « français » que mon nom pourrait le faire penser.

Ainsi, dans les noms de mes arrières grands-parents, on trouve :
Mercier, Jacquemin, Kahn, Waechter, Schubert, Kokocinska, Genvo et Genvo (mon arrière grand-père s’est marié avec sa cousine germaine).

Mon grand-père maternel était polonais et est arrivé en France à l’âge de 7 ans, avec ses parents (son père y avait émigré pour travailler dans les mines du Nord, puis de l’Est de la France) en 1928. Il est mort en 2014 sans être jamais revenu en Pologne.
Mais était-il 100% polonais ? Je n’en suis pas si sûr, car son nom de famille à la naissance était Szubert (qui n’est pas vraiment un nom polonais), puis il a été germanisé en Schubert une fois arrivé en France, proche de la frontière allemande, en Moselle. On pourrait penser qu’il y a eu un aller-retour au niveau de l’orthographe du nom de famille, d’autant que la région d’origine de mon grand-père appartenait à la Prusse il y a environ 100 ans.

Du coup, je découvre ce pays, où je n’étais allé que 2 fois auparavant.

La 1ère fois en 2005 pour rendre visite à mon frère qui était en stage d’études à Varsovie (un peu dégoûté de se retrouver en Pologne, qui n’était pas du tout son premier choix).

La 2ème fois en 2007 pour aller à son mariage avec une polonaise (comme quoi, c’était peut-être pas si mal pour lui d’aller faire un stage en Pologne et en plus il a peut-être réparé un lien familial avec la Pologne qui avait été perdu).

Cette 3ème fois, j’y étais pour rencontrer mes cousins issus de germain sur leurs terres (j’avais rencontré pour la première fois ma famille polonaise : 2 cousines issues de germain et leur père, près de Paris il y a 3 ans).

Pour moi, ce fut une très forte expérience de donner une existence à tout un pan de ma famille qui m’était méconnu, voire inconnu !

Et ce fut aussi chose étonnante pour moi de me sentir presque à la maison, dans un pays dont je ne parle pas la langue, dont je ne connais pas la culture.

J’ai même découvert à la radio que la Pologne a eu ses « Beatles » avec le groupe ‘Czerwone Gitary’ (ça veut dire « Guitares Rouges »), qui a eu beaucoup de succès dans les années 1960-1970, avec des musiques vraiment sympas. Ecoute par exemple cette musique :)

 

Les tests ADN marchent !

Autre découverte : j’avais fait un test ADN l’an dernier.

Depuis, j’ai reçu pas mal de notifications m’indiquant qu’ils m’avaient trouvé un petit cousin ou arrière petit cousin, etc., mais ce n’était que des personnes que je ne connaissais pas du tout (même pas le nom de famille), qui habitaient principalement aux États-Unis et avaient un nom juif (j’ai des origines juives ashkénaze aussi, par mon arrière grand-père Robert Kahn) !

Cette fois-ci, j’ai pu vérifier la force de l’outil.

J’ai reçu en mai dernier une notification disant que je partageais 1,6% d’ADN avec un certain Marek Krzak de Pologne. J’ai demandé à ma mère si elle connaissait, mais elle m’a dit que ce nom ne lui disait rien (je précise qu’elle ne parle pas du tout polonais car son père ne lui a pas transmis la langue).

Eh bien, en parlant de cela cette semaine avec certains cousins issus de germain, j’ai compris que ce Marek était le fils d’un de mes cousins issus de germain (avec qui je suis en contact maintenant) !

Ce qui vient par la même occasion confirmer que je suis bien l’arrière petits-fils de ses arrière arrière grands-parents à lui :) (pas facile à suivre). Bref, si j’avais des doutes sur la réalité de mes liens génétiques avec ma famille polonaise, je n’en ai plus !

De même, le test ADN me dit que j’ai un peu plus de 10% d’origine juive ashkénaze. C’est donc venu confirmer que je suis bien l’arrière petit-fils de Robert Kahn, le père de ma grand-mère ! Par contre, je ne sais pas d’où sortent mes près de 20% d’origine « breton, irlandais, écossais », ni les 7% de « scandinave ». Ca doit remonter à beaucoup plus loin !

Autre surprise, je suis selon ce test 100% européen, alors que je pensais que j’avais un peu d’origines au Moyen-Orient (les gens venaient me parler dans la rue en arabe lors de mon séjour au Liban en 2005 !). Apparemment, il n’en est rien.

 

Histoires familiales, toujours des histoires singulières. Tu es le résultat de toute cette histoire !

Chaque histoire familiale comporte son lot de joies, d’avancées, de déplacements, de deuils, d’exil, de honte, de choses cachées…

Parmi les histoires que j’ai découvertes ces dernières années alors que je questionnais mes grands-parents sur les dates de naissance, de mort et des anecdotes des membres de mon arbre généalogique, plusieurs histoires m’ont particulièrement marqué :

  • La sœur de mon grand-père maternel est morte dans un train mitraillé par les allemands en gare de Remiremont (département des Vosges) en 1940. Je n’avais jamais entendu parler de cette histoire auparavant. La légende familiale dit qu’elle mangeait une pomme et n’a pas eu le temps de se baisser comme les autres passagers du wagon. Cette histoire n’a a priori pas laissé de marque en moi : je mange des pommes sans crainte.
  • La mère de mon grand-père paternel est morte lors d’une séance d’électrochocs sensés soigner sa dépression post-partum (baby blues) en 1935. C’est peut-être de là que je tiens ma méfiance vis-à-vis de la « médecine triomphante » ?

Et parmi les histoires « traumatisantes » plus récentes :

  • Ma grand-mère paternelle, dont le père était juif, fait encore des cauchemars dans lesquelles la police française vient arrêter son père. C’est peut-être de là que vient ma méfiance vis-à-vis des autorités !?
  • Mon grand-père paternel, décédé il y a 2 ans, et qui était roux, était moqué en primaire non seulement pour la couleur de ses cheveux, mais aussi parce que sa mère était morte (celle chez qui les électrochocs ont été fatals) !
  • Ma grand-mère maternelle elle a encore des souvenirs de châtiments corporels et d’humiliation par les enseignants à l’école. Les enfants qui comme elle n’avaient pas le français comme langue maternelle (elle et ses parents parlaient à la maison le Platt – un dialecte germanique parlé dans toute la zone de la Moselle à la frontière avec l’Allemagne) étaient punis quand ils ne parlaient pas français. Petit clin d’œil, aujourd’hui, dans sa maison de retraite à Boulay (en Moselle toujours), tous les pensionnaires lisent des revues genre Paris-Match… mais en allemand !

 

Bref, le test ADN ouvre des horizons infinis, des connexions avec des milliers de personnes (en fait tous les humains sur Terre si on remonte un peu plus loin), mais ça ne remplace pas les rencontres et les transmissions d’informations en réel par les personnes de l’arbre.

Certains m’ont posé la question sur le danger de prélever de l’ADN et que ces données soient conservées par une entreprise privée (américaine en plus).

En fait, quand ma femme a proposé qu’on fasse le test, j’avais quelques réticences, mais je me suis dit que comme de toutes façons je devais déjà être fiché, ce n’était pas bien grave, je prenais les devants !

 

Ecris l’histoire de ta vie !

On n’a aucune prise sur ses origines. Mieux les connaître peut être une aide pour mieux savoir d’où l’on vient. Mais même si on ne les connait pas du tout, il y a toujours des façons de ne pas être trop accroché à son passé familial et ne plus porter le poids des secrets et de son inconscient (par la psychogénéalogie, les constellations familiales, etc.).

Quoi qu’il en soit, j’adore ces histoires de famille !

Et toi, connais-tu ton histoire ? Sais-tu d’où tu viens ? As-tu fait le test ADN pour connaître tes origines familiales et ethniques ?

Dis-moi dans les commentaires ci-dessous :)

45 Commentaires

  1. Une site magnifique. J’ai tombé sur votre site en cherchant une réference écrite à main qui me semble: « Mercier le charactère ?héréditaire? du nom de famille date d’à peine 900 ans » Je m’en doute du mot « héréditaire. » Que pensé vous?
    (J’ai une a-g-m Mercier parmis mes ancêtres; cela est pourquoi je m’intéresse.)

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    • Bonjour Raymond… je ne comprends pas votre message et votre question. Vous pouvez préciser ?

      Réponse
  2. Bonjour Jérémie

    Un grand merci pour m ‘avoir donné l ‘impulsion de faire un test ADN ton témoignage m ‘avait touché et hop j ‘ai commandé mon test ( je t ‘avais mis un petit mot :-) )

    j ‘ai reçu mes resultats hier wahou c ‘est très émouvant !
    4 continents representés et 7 origines dont 25% juif azkenaze j ‘avais un arriere grand-père rabbin en Lithuani on retrouve aussi ces origines .
    Dans mon arbre généalogique j ‘ai des personnes qui s’apellent Kahn … peut etre avons nous des ancetres commun :-)

    Un grand merci c ‘est un bonheur de savoir
    Mathilde

    Réponse
    • Ah, génial et super intéressant !

      Oui effectivement, on a probablement des ancêtres en commun. Mon arrière-grand-père Robert Kahn est né en 1901 et son père à lui s’appelait Samuel et est né en 1858 (et le père de Samuel était aussi un Samuel).

      J’ai discuté il y a quelques mois avec le généticien Axel Kahn (frère de Jean-François Kahn) , rencontré lors d’une conférence, et il m’a dit que les Kahn de sa famille étaient des juifs d’Alsace, qui avant venaient d’Europe de l’est. Comme parmi la famille de mon arrière-grand-père Robert Kahn il y avait un rabbin en Alsace près de Mulhouse (dont m’a aussi parlé Axel Kahn), il y a des chances que je sois (et peut-être toi aussi) connecté à cette famille Kahn ; ) Sinon, d’après les infos que j’ai, un de mes arrières arrières arrières … grands-pères était rabbin à Minsk, en Biélorussie ;) pas loin de la Lituanie ! Assez dingue ces histoires de généalogie :)

      Sinon, quelles sont ces 7 origines des 4 continents que tu évoques ?

      Réponse
  3. Bonjour

    Je suis tombée en généalogie tout juste avant ma majorité et j’approche des 60 ans. Une sorte de refuge pour comprendre les histoires familiales qui ne m’ont pas été transmises par ces grands-parents « absents » : je suis orpheline de père à 8 ans,ma mère l’a été à 5 ans et mon père a perdu sa mère à 2 ans, le tout dans des grandes fratries d’origines paysannes en Brie et en Gâtinais. J’avais ce besoin de savoir, cette curiosité aussi face à de vieux contrats de mariage: décrypter les écritures, comprendre qui étaient ces personnes citées.

    Et puis ces successions de drames : beaucoup de suicides,sur les 2 branches. Alors la psychogénéalogie est venue affiner le tout. Travail sur les prénoms, les dates anniversaires , les fidélités (décès aux mêmes âges de mon père, de sa mère …) ,les « cadeaux » inconscients de plusieurs enfants de la famille qui offrent un « Olivier » à ma grand-mère en remplacement de son fils mort en bas âge.

    Mon « travail »personnel a été de comprendre ce que les médecins de l’hôpital psychiatrique de l’époque n’ont pas détecté pour une de mes arrière grand-mère : sa « mélancolie » faisait suite non seulement à la perte de 3 jeunes bébés mais aussi celle de son seul soutien: sa mère qui venait juste de mourir. Heureusement que nos praticiens actuels ont évolué!!!!

    J’ai eu l’impression d’être la seule à la comprendre et par cette découverte de lui permettre de faire ses deuils, de là-haut.

    Je suis admirative et humble devant certains ancêtres : ce Jean Picard qui a perdu toute sa famille:père-mère-femme et enfants avant de s’éteindre , cette Marguerite qui épouse un jeunot de 20 ans de moins qu’elle après la mort de mon ancêtre, cette autre qui met 16 enfants au monde, cette mère qui survit à une naissance de triplés avant de mettre au monde mon ancêtre tout cela dans les années 1600 à 1750.

    J’aime comprendre leur psychologie : dans les descendants d’un de mes Ducrocq un homme épouse dans les années 1850-1900 une enfant de l’assistance : son frère assiste au mariage. Quelques temps plus tard ils divorcent, en cherchant les éventuels mariages d’enfants je tombe sur un autre mariage :les mêmes se sont réépousés quelques années plus tard! :là le frère est absent , seuls ses gendres assistent le marié et les autres témoins sont « musiciens ». Au moins je sais que ces 2 là s’aimaient. N’ont ils trouvé que ces autres témoins que ceux qui leurs permettaient de célébrer cette fête?

    Mon Ducrocq fait partie de mes « voyageurs » : son ancêtre était dit le « savoyard » et comme par hasard il était natif du Bourg de Saint Maurice en la Savoye. Un homme sans doute costaud mort à plus de 90 ans sous Louis XIV et sans doute venu à pied de là-bas jusqu’en Brie.

    Il y a aussi Louis Cabuzel (tête de chou) venue de sa Picardie sans doute en rapport avec l’intendant du prieuré du village qui était originaire d’Englebelmer.

    Je viens aussi de découvrir du côté maternel un Jean Loret venu de l’Orne jusqu’en Gâtinais et assez intégré au village pour que le curé ne site pas ses origines d’un autre diocèse :quand on sait que ce marier dans le village d’à côté était souvent considérer comme se marier avec des étrangers!

    J’ai compris aussi l’aversion de mes ancêtres paternels vis-à-vis de la religion catholique quand je suis tombée par hasard sur le mariage protestant de ma « Judith » enterrée Catholique et de trouver ensuite l’acte d’abjuration. L’abrogation de l’Edit de Nantes a fait des ravages en Brie mais je peux y voir aussi la tolérance de cette branche qui a acceptée des convertis.

    Plus difficile a été de découvrir l’exécution d’un membre de la famille sous Louis XV.
    Je me revois encore aux archives départementales à me faire déliasser un ensemble de parchemins par la directrice en personne: mes gants blancs à la main j’ai tout photographié et de déchiffrer en travers : la découverte du corps, la description des vêtements, du lieu le lendemain de la fête du village voisin. L’enquête qui se précise sur 3 personnes dont un jeune orphelin mineur: il s’enfuit, se fait enrôler par l’armée, se retrouve dans le nord de la France, pleure la nuit, se fait dénoncer par cette même armée. Sera exécuté, son corps abandonné sur la route d’Allemagne, la femme sera bannie du baillage et l’autre complice envoyé aux galères mais je ne sais pas s’il partira de La Rochelle ou de Marseille.

    Cela m’a fait du bien ensuite de lire les plaintes du pauvre curé d’un village voisin qui s’inquiétait des insultes d’un certain « Garnotel » qui avait fait des travaux pour l’église et qui entendait à chacun de ses passages devant l’échope : « Tu me le paiera, bougre bougre de curé!!! »Et le curé de dire qu’il était obligé de passer chaque jour par là pour aller à son église et qu’il l’avait réglé!!!

    Voilà mes petites histoires qui me réjouissent à chaque fois que je résous un mystère : je suis ainsi à la trace de jardiniers qui se sont promenés de châteaux en châteaux entre Senlis, le Val d’Oise,l’Aisne et la Seine et Marne. J’ai programmé pour cette automne une ballade sur leurs traces.

    Et puis les noms aussi : mes Maubon (mauvais bonhommes) qui se transforment en Monbon, mes JESUS (ou Gézu) qui ont sans doute hérité de ce patronyme pour avoir participé en tant que … lors de représentations.

    Et j’en arrive à mes « LE TURC » : c’est là que j’aimerais faire un test ADN. Viennent ils de là-bas, étaient ils tout simplement très fort ou …

    J’ai lu en avril dans l’hebdomadaire « La Vie » n°3841 tout l’article à ce sujet :le titre de couverture était J’ai fais mon test ADN ». Très intéressant : la comparaison entre les 2 principaux « fournisseurs » actuels avec des résultats légèrement différents, les dérives possibles, les risques de découvrir des filiations cachées … à méditer

    Ma conclusion sera: je les aime ces ancêtres : ils m’ont fait rêver, pleurer, réfléchir et grandir et tous sont honorables dans leurs luttes, faiblesses et qualités.

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    • Superbe histoire. Oui, on est le fruit de bien des histoires passées du côté de nos ancêtres. C’est passionnant !
      Bravo pour toutes ces recherches et tout ce que tu as découvert. Tu as des talents d’enquêtrice :)

      Réponse
  4. J’aimerais faire un test ADN car je ne connais pas du tout mon histoire et mes parents ne m’ont rien apportés pour que je sache qu’ils étaient, mes grands-parents aussi et mes vrais origines, ou doit je faire ce test et que doit on leur dire pour avoir toutes les informations possibles

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    • J’ai fait le test avec MyHeritage. Tout est sur leur site. Bonne recherche !

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  5. Bonjour Jérémie.
    Combien coûte un test d’ADN et où faut il s’adresser pour obtenirun résultat sérieux donc fait par un laboratoire sérieux. Merci Jérémie et très bonne journée.

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    • J’ai fait ça avec MyHeritage. Ca a coûté environ 70 € et ça me paraît sérieux compte tenu des résultats que j’ai obtenus. A bientôt !

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  6. bonjour jeremie
    merci pour cette histoire passionnante , je ne savais pas que l on pouvait faire ce genre de test , surtout que j ai eu une une grand mère polonaise dont je ne connais pas du tout la famille en pologne
    cela me donne envie de faire le test
    belle journée

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    • Ah, excellent !
      Oui, c’est intéressant quand on s’intéresse à ses origines familiales. Peut-être que comme moi tu vas reconnecter à des cousins :)

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  7. Jérémie le rapport du test que comprend il ? uniquement la répartition géographique ?
    Merci de ta répons e

    Réponse
    • C’est les pourcentages d’origine ethnique principalement. Et quand on partage de l’ADN avec une personne qui a fait le test avec cette même entreprise, ça nous indique les segments de chromosomes qu’on a en commun. C’est assez fou…

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      • Merci Jérémie j ‘ai commandé le test Yes ! hate de l’avoir

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  8. Bonjour Jérémie Merci pour cet article il m ‘a beaucoup touché et m ‘incite à poursuivre mes recherche familiale, il y a deux ans j ‘ai retrouvé 5 demie soeurs et depuis nous faisons début juillet une grande fête familiale a Malaga car elles sont de las bas , encore merci pour ton témoignage c ‘est top!

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    • Waw, excellent cette découverte de tes demie-soeurs et les fêtes de réunion que vous faites ! Merci à toi et à bientôt !

      Réponse
  9. je suis nee an algerie de pere espagnole et mere juive je n »ai plus de famille ils sont tous decedes a part 2 freres et une soeur mails ils sont comme moi il ne connaisse rien de notre famille surtout celle de ma mere

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    • Les mystères de la généalogie sont moins impénétrables aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il n’y a encore pas si longtemps :)
      Ça peut valoir le coup de faire les tests ADN, d’autant que les personnes d’origine juives ont l’air d’en être friandes et donc tu trouveras peut-être des cousins de ce côté en faisant le test :)

      Réponse
  10. Bonjour Jérémie,

    Je viens de t’adresser un commentaire assez long : et l(on me dit que j’ai déjà adressé un commentaire ? Pas sur ce sujet précis de l’histoire familiale, de la constellation… Enfin voilà :j’aimerais savoir si tu as bien reçu tout ce que je t’ai raconté ?

    Avec toute mon amitié.

    Marianne

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  11. Bonjour Jérémie,
    J’ai lu Ton histoire familiale. Moi je connais la mienne même si j’ai souffert d’être une déception pour mes parents car née en 4 ème ils attendaient un garçon et n’avaient choisi qu’un prénom masculin ( venant après 3 filles…) A ma naissance je n’ai pas poussé de cri ce qui a affolé le médecin et ma mère qui pleurait et cherchait  » vite, vite, un prénom de fille !?) Bien sûr cela m’a marquée car tout au long de mon enfance et adolescence le prénom de Jean – Yves a été prononcé par eux vis – à – vis de moi ( en dehors de la présence de mes autres sœurs…J’acceptais  » ce jeu  » pour leur faire plaisir mais j’ai dû suivre une thérapie pour me soigner de ce problème. Je ne leur en veux plus car ils étaient – tous les 2 – orphelins de leur maman ( pour mon père né en 1927 avec un jumeau la maman n’a pas survécu à l’accouchement : elle est décédée d’une fièvre puerpérale 40 jours après leur naissance. Ma maman avait 7 ans quand sa maman est décédée des suites d’une intervention d’appendicite. Placée dans un orphelinat religieux jusqu’à son apprentissage de couturière. Ils ont manqué d’Amour tous les 2 et leur but dans la vie était d’avoir une famille unie et en bonne santé. Ils ont eu …6 filles. Dont moi seule avec une santé fragile. Ma mère est décédée brutalement à l’âge de 67 ans ( infarctus ) Mon père avait eu un premier cancer et il avait, alors, un cancer du colon qui ne lui a permis de survivre que 5 années à ma mère. Donc pas Top leur histoire. Mais ils ont fait au mieux.

    Mon mari – lui – ne connait pas l’origine de son grand – père biologique : son père n’a jamais pu savoir qui était son « vrai père « . De nos recherches il semblerait que son grand père biologique aurait un nom polonais. Mais né en Bretagne il aurait connu la grand – mère paternel de mon mari en Bretagne. Le nom porté par mon mari n’est donc pas son véritable nom car c’est celui du Monsieur qui a épousé la grand – mère paternel… A priori le grand – père paternel s’appelait André Dubovsky ? Nous cherchons à approfondir nos recherches. Même si nous avons un peu + de 60 ans !
    Ceci étant d’autant plus important que nous avons toujours, l’un comme l’autre, eu une soif de vérité en tout ! Et lorsque nous avons perdu notre premier bébé ( Nicolas ) le 5 mai 1980 nous en avons souffert oui. Et lorsque nous avons perdu Alexandre fin Mars 1983 ce fut un nouveau déchirement. Nous n’avons envisagé l’adoption qu’en 1989 lorsque nous avions avancé avec un 3 ème bébé né trop prématurément ( en 1986) et la réalité qui nous faisait comprendre que nous n’aurions pas d’autre enfant.
    Nous avons adopté une fratrie de 3 : vivant dans un orphelinat à Port au Prince ( HAITI ) et dont personne ne voulait !!? Où juste le petit !? Voir les 2 plus petits. Mais surtout pas le + grand. Lorsque j’ai su su et que l’on m’a dit qu’ils allaient être séparés j’ai  » hurlé tout bas  » : » Non, ne faites pas ça : nous on peut les accueillir !  » ( j’ai appelé mon mari pour lui dire ce que je venais de répondre à l’association qui s’occupait de l’adoption et il m’a dit  » mais bien sûr !  » ) Ainsi nous avons accueilli nos 3 enfants ( 3 garçons, sachant que le 2ème avait un frère jumeau décédé à 3 ans et 7 mois !? )
    Nous avons accompagné leur parcours avec tous les soucis, les petits bonheurs, quelques bonheurs. Ils connaissent parfaitement leur histoire car il y avait quelques  » triches  » sur leur dossier. J’ai enquêté pendant un certain temps et obtenu toutes les réponses qui étaient indispensables pour eux comme pour nous. Non ils n’étaient pas né de père inconnu. Leur maman biologique n’avait que 10 ans et demi quand elle a mis au monde un premier bébé ( Benjamin ) qui a été confié à la grand – mère paternel. Benjamin n’a pas été proposé à l’adoption en même temps que ses frères ce qu’il aurait souhaité ! Nous le connaissons, l’avons parrainé et nous parrainons ses 2 enfants ( il est né en 1979 ) Le père était marié et beaucoup + âgé ( il pourrait être notre père à nous ! )

    Je te dis tout cela Jérémie car OUI c’est important de connaître ses origines qu’elles quelles soient !

    De mon côté je sais que je ressemble beaucoup – physiquement – à mon père ( mais je suis une fille !!! ) On m’a souvent trouvé un type Eurasien : j’ai de très petits yeux, un visage long avec des pommettes très hautes…) Et en même temps on m’a dit que j’avais un type  » germanique  »
    Mon mari est typé vietnamien ( nous nous en amusions ) mais lors de notre démarche adoption nous avions une attirance pour un enfant asiatique et – dans cette perspective – nous sommes allés à la rencontre d’un médecin vietnamien – dont l’épouse est Bretonne. Lorsqu’il a vu mon mari rentré dans la boutique de sa femme il s’est écrié  » Mais tu es de chez nous Toi !  » Et la discussion à tourné autour de cela, de l’inconnu du grand – père biologique et de l’adoption au Vietnam. Ce médecin vietnamien était très en colère sur l’adoption  » en général  » et sur l’adoption d’enfants dans son pays d’origine en particulier. Il nous a donné x informations pour nous dire les  » trafics organisés  » et nous encourager à plutôt aider un ou des enfants vietnamiens dans Leur Pays. Bref il nous a découragés. Mais pas de l’adoption. Puisque nos 3 grands enfants maintenant reconnaissent et disent qu’ils ont eu de la chance de pouvoir être adoptés ensemble et de former ainsi une famille  » réelle  » avec les possibilités qu’ils ont eu de se choisir un avenir. Avenir qu’ils n’auraient pas eu dans leur Pays d’origine.

    Pour ce qui est de l’arbre généalogique : il s’arrête à nous 2 ! Puisque nous sommes  » une branche morte  » ( biologiquement parlant )
    Pour l’arbre généalogique de nos enfants il existe en partie à HAITI et il débute avec nous 2 en France.
    Quant à la constellation familiale… Là c’est, aussi, une histoire bien complexe !

    Avec toute mon amitié.

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    • Waw. Quelle(s) histoire(s) ! Et sur tous les continents en plus. Très riche tout ça !

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  12. Moi aussi je sais tout sur mes ancêtres :
    La grand-mère de ma mère avait Napoléon pour arriéré-grand-père…c’est donc mon Tres tres grand papy…
    Mon père vient d’une famille de riche Armateur ( pas grec) qui aurait sauvé Napoléon….

    Réponse
    • Super intéressant ! Il te reste pas des titres de noblesse d’empire ou des châteaux ? ;)

      Réponse
  13. B‌onjour Jérémie,

    Passionnant !!!
    Est on contraint de faire ce test ADN via cette entreprise américaine.
    Cela n’existe pas en France ?

    Pardon pour cette question sans doute stupide. Si tu as 1 min pour y répondre c’est super gentil, sinon je chercherai à comprendre…

    Réponse
    • En fait, je crois que l’entreprise est israélienne et non américaine comme je l’avais écrit.
      Il doit y en avoir dans plein de pays différents, je ne sais pas s’il y en a en France. Si tu fais une recherche et trouves des résultats sur ce point, je veux bien ton retour !

      Réponse
      • J’ai fait un test ADN en Suisse (IGENEA) pour définir les haplogroupes jusqu’à la préhistoire.
        Pour ma lignée maternelle ma salive suffisait. Pour la lignée paternelle il fallait la salive de mon père. Je sais juste que à toutes les époques je suis germanocelte

        Réponse
        • Hyper intéressant et ça semble plus complet que ce que j’ai fait.

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  14. Bonjour je suis moi même d origine polonaise de ma mère J ai bien aimé votre parcours de recherches très intéressant cordialement liliane

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  15. Bonjour
    Non je n’ai pas fait de test ADN pour connaître mes origines mais j’y ai déjà pensé …. Car je suis breton depuis quelques générations mais je n’ai pas non plus fait d’arbre généalogique pour connaître mes ancêtres …
    Comment peut on s’y prendre pour faire un test ADN ?

    Réponse
    • Sur MyHeritage par exemple comme je l’avais fait, ils expliquent comment on fait.

      Réponse
  16. Merci pour l’article. Comment on fait un test adn ? Ca coute combien ? Moi qui pense être 100% française, ça pourrait être intéressant de savoir si c’est vraiment le cas.
    Pour tes 19% d’origines bretonnes, ne t’inquiète pas, c’est de la bonne souche ! (je sais, je suis bretonne…)

    Réponse
    • Haha ! Ça avait coûté environ 70 € je crois quand j’avais fait le test il y a un an (on avait fait les 2 tests en même temps avec ma femme, il y avait une offre).

      Réponse
  17. Bonjour Jeremie,

    quel laboratoi as tu choisi pour ton test ADN ?

    Réponse
    • J’avais fait ça avec « My Heritage ». En fait, je vois par la même occasion que l’entreprise est israélienne, et non américaine comme je le pensais.

      Réponse
  18. Je souhaiterais faire un test ADNais je ne sais où

    Réponse
    • Il y a plein de labos qui proposent ça. Tu peux faire une recherche sur internet avec les mots « test adn origine » pour voir les différents possibilités :)

      Réponse
    • Merci tu m’as informé Que Jésus t’aide.

      Réponse
    • Ou faire un test adn

      Réponse
      • Bonjour Martine, j’ai répondu que j’ai fait le mien avec MyHeritage, cf. mes autres commentaires :)

        Réponse
    • La sécu rembourse t elle t’est ADN?

      Réponse
      • Pas à ma connaissance et je ne vois pas pourquoi ils le feraient !

        Réponse

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