C’est quoi VRAIMENT le « SIDA » ?

par | 26 Avr 2023 | Non classé | 24 commentaires

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Comme promis, je viens de sortir ma première vidéo d’explications sur le « SIDA », intitulée « C’est quoi vraiment le « SIDA » ? » de ma série « Comprendre l’affaire « SIDA » ».

Cette sortie a été retardée compte-tenu du « fact-checking » que ma première vidéo (d’introduction) du 15 avril a subi de la part de l’AFP Factuel suite à une dénonciation de Tristan Mendès France. Comme l’AFP a un contrat avec Facebook, suite à ce « fact-checking » de l’AFP Factuel il en a automatiquement découlé l’ajout sur ma vidéo sur Facebook d’un avertissement. Et coïncidence ultime, ma vidéo a été censurée de YouTube 2 jours après et je ne peux plus rien publier sur ma chaîne pendant encore 8 jours (avec la menace d’une fermeture de ma chaîne en sus).

Je ne pensais pas que mes réflexions sur l’affaire « SIDA » allaient susciter aussi rapidement la censure, le « fact-checking » et une telle haine des chiens de garde du système (ils sont nombreux) !

Quoi qu’il en soit, j’ai voulu sortir cette vidéo « C’est quoi vraiment le « SIDA » ? » pour revenir aux fondamentaux. Tu peux la voir sur ces liens https://crowdbunker.com/v/wo5xe1dt et https://odysee.com/@jeremiemercier:0/1)-C%E2%80%99est-quoi-vraiment-le–SIDA—:9 ou en cliquant sur l’image ci-dessous.

Je t’invite d’ailleurs à t’abonner à mes chaînes sur CrowdBunker et Odysee au cas où ma chaîne YouTube était censurée (ce qui me pend au nez, alors que j’arrive tout juste aux 50 000 abonnés !).

Au début de la vidéo, j’ai fait une petite confusion entre unanimité et consensus, deux notions différentes. Unanimité, c’est quand tout le monde est d’accord, tandis que consensus, tout le monde n’est pas d’accord, mais il y a une majorité qui quelque part impose son point de vue. Il y a donc bien « consensus scientifique » sur le lien SIDA-VIH, mais certainement pas l’unanimité. Je suggère que ce consensus a été obtenu par des techniques classiques de pression, de censure, de mise en avant de l’establishment médical, de corruption, et aussi (et sans doute surtout) de conformisme et de lâcheté (difficile d’obtenir des financements pour un chercheur quand il s’oppose à la doxa !).

Le message de cette vidéo d’introduction est qu’il faut comprendre qu’avec le temps, le terme « SIDA » a eu différentes significations. Je distingue ainsi 3 types de « SIDA » :
1) le « SIDA » des homosexuels
2) le « SIDA » des toxicomanes
3) le « SIDA » des « séropositifs »
4) le « SIDA » des africains
5) le « SIDA » des hémophiles et transfusés

1) Pour justifier mes propos, je reprends la toute première publication, du 5 juin 1981, de Michael Gottlieb, qui parle de ces 5 jeunes homosexuels masculins (entre 29 et 36 ans) de Los Angeles, tous atteints de pneumocystose (infection fongique des poumons), mais ne se connaissaient pas et n’avaient pas de contact commun. Tous consommaient des poppers (nitrite d’amyle, utilisé par la communauté gay de l’époque comme drogue, aphrodisiaque, et pour faciliter la pénétration anale).

Gottlieb MS et al. (1981) Pneumocystis pneumonia–Los Angeles. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 5;30(21):250-2. https://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/june_5.htm

Un deuxième article, du 19 septembre 1981, présentant 8 hommes homosexuels de New York atteints du sarcome de Kaposi (maladie rare et grave de la peau et des muqueuses) achève de créer ce début de panique, d’une « nouvelle » maladie initialement appelée GRID (Gay-Related Immune Deficiency) et qui deviendra « SIDA » (Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise) en 1982.

Mais il n’y a pas besoin d’utiliser une hypothèse virale pour expliquer ces maladies. La consommation de poppers et diverses autres drogues est suffisante, comme expliqué dans cet article :

« H W Haverkos, P F Pinsky, D P Drotman, D J Bregman (1985) Disease manifestation among homosexual men with acquired immunodeficiency syndrome: a possible role of nitrites in Kaposi’s sarcoma; Sex Transm Dis. 12(4):203-8. doi: 10.1097/00007435-198510000-00007. » disponible ici https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3878602/

2) Pour le « SIDA » des toxicomanes (en particulier ceux utilisant des drogues par intraveineuse), l’effondrement immunitaire peut être expliqué simplement par leur consommation de drogue. Pas besoin d’imaginer un nouveau virus qui serait transmis par des seringues usagées contaminées.

3) Pour les « séropositifs », c’est-à-dire les personnes ayant un test positif aux supposés anticorps contre le VIH, il faut comprendre que les tests ne sont en rien spécifiques et qu’aucun VIH (ni aucun virus d’ailleurs) n’a d’ailleurs réellement été isolé. Le mot « isolé » en virologie n’a à ce propos pas du tout le même sens que dans le langage courant.

Bref, on peut déclencher un test positif pour de très nombreuses raisons (environ 80) listées par Christine Johnson dans son article « Christine Johnson (1996) Whose antibodies are they anyway? Factors Known to Cause False Positive HIV Antibody Test Results, Continuum » disponible ici https://virusmyth.com/aids/hiv/cjtestfp.htm

Pas de bol quand on est concerné par un des points de cette liste, car on a alors un risque accru d’avoir un test positif et de rentrer dans la catégorie « malade du SIDA », même si on n’a aucun symptôme, ou bien une problématique de santé qui n’a rien à voir avec une supposée nouvelle maladie « SIDA ». En outre, les seuls « traitements » sont des traitements expérimentaux très toxiques (comme la fameuse AZT des années 80-90, heureusement donnée en dose plus faible depuis 1996). Ces traitements très toxiques vont créer des symptômes qu’on pourra allègrement appeler « SIDA » et le « virus VIH » sera le coupable idéal désigné comme étant à l’origine des symptômes pourtant évocateurs d’une grave intoxication médicamenteuse à l’AZT. Les personnes mourront, mais soi-disant d’une forme moins grave de la maladie (ça ne vous rappelle rien ?).

4) Je reparlerai du cas africain plus en détail dans la 2ème vidéo sur  » Comment entretenir le mythe de la pandémie de SIDA ? « , mais l’Afrique souffrait et souffre toujours dans certaines régions de graves problèmes de santé liés à la pauvreté et à la malnutrition. Pour suivre la propagande des labos pharmaceutiques, faute de « tests de séropositivité » facilement disponibles et fort d’une définition africaine du « SIDA » (définition de Bangui), on a vite fait de ranger dans la catégorie « malade du SIDA » de nombreuses personnes qui souffrent en fait de maladies associées à la pauvreté extrême et à la malnutrition. Des traitements « antirétroviraux » ne vont évidemment avoir aucun bénéfice pour ces personnes qui ont juste besoin de recevoir une alimentation en plus grande quantité et plus équilibrée, et/ou avoir accès une hygiène qui leur fait défaut.

Le narratif du « nouveau virus VIH » qui viendrait décimer l’Afrique n’a ainsi aucun rapport avec la réalité. D’ailleurs, le journaliste Neville Hodgkinson, correspondant scientifique du Sunday Times qui a été interviewé dans le documentaire « SIDA : les doutes » de Djamel Tahi (ARTE, 1996), s’est rendu en Afrique pour y enquêter et n’a pas réussi à trouver les villages dévastés par le « SIDA » qu’il pensait trouver. Il n’a pu trouver la trace que de personnes mortes de maladies liées à la pauvreté et/ou à la malnutrition – comme la tuberculose – requalifiées mortes du « SIDA » par peur de cette « nouvelle maladie ».

5) En ce qui concerne les hémophiles, leur mortalité en Angleterre (par exemple) a été tout à fait constante jusqu’en 1985… date à laquelle tout à coup le VIH est devenu virulent et a commencé à les tuer comme une étude l’a affirmé « Sarah Darby (1995), Mortality before and after HIV infection in the complete UK population of haemophiliacs. UK Hemophilia Centre Directors’ Organisation, Nature, 377(6544):79-82. doi: 10.1038/377079a0. » disponible ici https://www.nature.com/articles/377079a0

En fait, il y a une explication beaucoup plus simple de cette augmentation spectaculaire de la mortalité des hémophiles à partir de 1985 : tout simplement, ils ont commencé à se tester… et donc à suivre des « traitements » (très toxiques comme vu plus haut) pour ceux qui avaient le malheur d’avoir un test positif. Or, le fait de subir des transfusions sanguines augmente le risque d’avoir un test positif ! (voir la liste de Christine Johnson dans le numéro 3 au-dessus) Les graphes ci-dessus viennent du livre « Virus Mania« , que je recommande chaudement. Un livre très sérieux, très éducatif, avec des milliers de références scientifiques, qui démonte de façon magistrale la spéculation concernant l’existence des virus (on ne peut pas parler de théorie scientifique s’agissant de l’hypothèse que les virus existent car rien ne tient debout dans toute la virologie, qui peut carrément être qualifiée de pseudo-science).


Si on prend le temps de regarder chaque type de « SIDA », on se rend compte qu’il y a une explication toute autre que celle du méchant nouveau virus VIH.

Évidemment, cette hypothèse, portée par des milliers de personnalités issues du monde scientifique ou médical (voir la liste ici) ne plaît pas du tout à l’industrie pharmaceutique, aux autorités et aux personnes qui se sont mouillées dans cette affaire (pense à toutes ces célébrités bien-pensantes et moralisatrices qui ont incité les gens à « donner pour la recherche »)… Mais c’est comme ça ! Elle gêne aussi toutes les personnes qui « croient » et font confiance aux autorités. Par peur de s’éloigner du troupeau, elles préfèrent rester dans tous ces mensonges bien confortables.

Je reviendrai sur cette affaire « SIDA » prochainement (laisse-moi un peu de temps !) dans un deuxième épisode : « Comment donner l’illusion d’une pandémie de « SIDA » ? ». Nous verrons aussi plus tard les parallèles entre l’affaire « SIDA » et l’arnaque « Covid ». Pour moi, il est essentiel de comprendre les escroqueries médicales récentes (à commencer par les plus énormes… il y a tellement d’escroqueries en médecine !) afin que plus jamais les autorités ne nous contrôlent ou nous privent de nos libertés en nous faisant peur avec leurs histoires bidons de virus, de pandémie et autres aberrations.

Un grand merci pour ton soutien https://www.jeremie-mercier.com/donner/ et dis-moi dans les commentaires ce que t’évoquent cet article et mes explications sur ce qu’est réellement le « SIDA » !

24 Commentaires

  1. Je suis très dubitative sur l’existence des virus en général surtout depuis covid circus mais il y a malgré tout des situations qui interpellent.Je suis en excellente santé .j’ai eu rougeole,rubéole et oreillons très jeune mais je n’ai attrapé la varicelle qu’à 29 ans suite à un contact prolongé lors de la fète de Noel avec mon filleul qui n’avait que 14 ans qui l’a développée au tout début janvier suivant et pour ma part 15 jours à 18 jours + tard .Je l’ai entretemps refilé à une collègue de travail de 32 ans qui ne l’avait jamais eu non plus auparavant.Varicelle dont nous avons guérie en qqes jours bien entendu!!

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    • Bonjour Marielle, il y a des choses qui posent question effectivement pour le cas de la varicelle notamment. Je poursuis mes recherches et ça peut être une question que je poserai à mon invité Stefano Scoglio, co-auteur de Virus Mania, que je recevrai prochainement dans l’émission « On Fait Quoi Maintenant ? » que je co-animerai avec Jean-Jacques Crèvecoeur. À bientôt !

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  2. Bravo Jérémie!
    tu as décroché un article à l’AFP. Tu deviens vraiment dérangeant pour le système et ses mensonges.
    C’est que tu dis vrai ;-)
    Ils essaient en permanence de tout nier. Ils se débattent pitoyablement mais ils sont tellement embourbés que leurs mensonges à répétition ne les sauveront plus du sort qui leur est promis.
    En tout cas , c’est encore du beau travail!
    Tous ensemble! Tous ensemble ! UN ! UN!

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    • Merci beaucoup Baptiste !
      En plus, je ne m’attendais pas du tout à ça car je pensais que l’arnaque « SIDA » était un sujet moins sensible que l’arnaque « Covid ».
      En fait, le lien entre les deux arnaques est tel que s’attaquer à l’arnaque « SIDA » a l’air d’effectivement beaucoup déranger !
      Merci et à bientôt !

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  3. Salut Jérémie,
    Je valide à 100 % ta présentation de l’arnaque Sida, c’est dans Nexus il y a fort longtemps que j’ai découverte cette énième arnaque. Il y a un truc infaillible pour détecter le mensonge, c’est quand le système répète à longueur de journée une info, c’est systématiquement un mensonge.
    Merci Jérémie pour ton engagement et ton intégrité. Tout de bon pour toi et ta famille
    Mariam

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    • Merci Mariam. Oui, le numéro de Nexus sur le sujet (mars-avril 2012) est excellent !

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  4. Bonjour Jérémie, Grand bravo pour votre engagement et votre rôle de phare parmi les résistants :-) J’ai la question suivante : savez vous dire en quoi consistait alors la découverte du Pfr Luc Montagnier ? Et quelle était sa découverte relative à un « morceau » d’adn du sars cov 2, commun avec le VIH ? D’avance merci si vous avez des éléments :-) Bon courage, surtout tenez bon !! :-)

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    • J’en parlerai du « VIH » dans l’épisode 2.
      Pour le « SARS-CoV-2 », je rejoins l’hypothèse non-virale défendue par le livre « Virus Mania » de Torsten Engelbrecht et ses co-auteurs.
      Merci pour votre soutien !

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  5. Bonjour Jeremy
    Je vous suit depuis 2 ans avec intérêt.
    J aimerai avoir votre avis sur les traitements contre le cancer, pensez vous la chimio inutile ?
    Merci

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    • Je ne suis pas aussi catégorique. Il y a probablement certaines chimios utiles, dans certains cas.

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  6. « ../on a alors un risque accru d’avoir un test positif et de rentrer dans la catégorie « malade du SIDA », même si on n’a aucun symptôme,… »
    Avec seulement un test positif, on se retrouve « porteur » « sain » au VIH. Le Sida comme son nom l’indique c’est quand on est malade.
    Quant à « l’hypothèse » des virus, je pense qu’il vaut mieux (amha) éviter de l’aborder pour éviter les discussions à n’en plus finir.
    « Germe infectieux », »miasme »? Il existe bien quelque chose quand les varioleux ou rougeoleux se contaminaient à grande vitesse.
    Crdlmt.

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    • Je choisis consciemment de mettre les pieds dans le plat sur la question de la spéculation virale.
      Pour tout ce qui relève de la contamination, je n’ai pas vu de preuves suffisantes permettant de déclarer avec certitude qu’il s’agit de contamination entre individus (pour la rougeole et la variole).

      Réponse
      • Bonjour,
        j’ai posté une contribution qui n’est pas apparue/ contagiosité de la rougeole.
        B. G. apportait son témoignage sur le site de l’AInsm.
        Peut être, à nouveau se trouve t-elle dans les spams?

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        • Bonjour Serge, je n’avais pas vu votre message, et je viens d’y répondre :)

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    • • Un témoignage sur l’AIMSIB
      https://www.aimsib.org/2021/10/25/suivi-de-lessai-clinique-pfizer-a-6-mois-sur-et-efficace/

      De Bernard Guennebaud dans les commentaires au 9 août 2022 à 10h52
      « Je fus témoins de 2 autres contaminations familiales avec la rougeole :
      1- Ma fille ainée va à l’école et revient avec la rougeole. Son frère qui n’a que 2 ans vit à la maison (pas de nounou). Peu après il va avoir la rougeole.
      2- Même chose avec ma soeur ainée qui va à l’école et revient avec la rougeole. Elle dort dans la même chambre que sa soeur qui n’a que 4 ans et vit à la maison. Elle fera aussi la rougeole dans la foulée.
      Je comprends que des personnes jeunes qui n’ont pas connu les épidémies de rougeole dans les classes et en famille puissent croire que la rougeole ne se transmettrait pas. Mais pour des vieux comme moi, non on ne la fait pas !
      La rougeole se transmet facilement dans les classes et dans les fratries comme je l’ai constaté à 3 reprises au cours de ma vie : entre mes 2 soeurs ; entre ma fille ainée et son frère ; entre ma plus jeune fille et une copine qui a vécu plusieurs jours dans ma maison avec elle.
      Pour moi c’est très clair : ceux qui affirment avoir fait des expériences quasi scientifiques sur la rougeole pour voir si la transmission se produisait et qui disent que rien ne se passait ne sont vraiment pas crédibles à mes yeux.
      QUESTION : Ils cherchent à faire quoi avec ce genre de discours ? »

      Réponse
      • Bonjour Serge, je ne connais pas encore suffisamment la question spécifique de la rougeole pour me prononcer sur son éventuelle transmission et sur les causes réelles de cette maladie.
        Pour pas mal d’autres maladies dites « transmissibles », on peut assez facilement montrer que la cause n’a rien à voir avec un virus et qu’il n’y a pas de transmission de sujet à sujet. Pour la rougeole, je ne sais pas (pas encore ;)).

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  7. Jeremie Bonjour
    Comment vous parler en privé svp?
    J’en ai vraiment besoin..

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  8. bonjour Jérémie , en effet c’est une analyse logique Merci pour tout ce travail de synthése pour rétablir la vérité.
    L’écrivain John LE CARRE a écrit un thriller médical en 2001, « LA CONSTANCE DU JARDINIER » d’ailleurs devenu un film qui décrit bien déjà à l’époque l’engouement des Labos pharmaceutique en Afrique pour le problème de la TUBERCULOSE .
    En tout cas, moi qui est travaillé dans un grand centre de dépistage SIDA/TUBERCULOSE, à l’année, on dépistait très peu de positif…

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    • Merci pour ton témoignage. J’ai vu le film « The constant gardener » et il est effectivement glaçant sur les méthodes de l’industrie pharmaceutique en Afrique. Je pense pourtant qu’on est en deçà de la réalité…

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  9. Concernant la théorie du germe et la cause réelle des maladies, il y a aussi l’excellent livre en 2 tomes « Qu’est ce qui vous rend réellement malade » aux éditions Nouvelle Terre.

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  10. Bonjour Jérémie et merci pour cet article très très intéressant (tout le monde devrait en être informé !!) qui vient confirmer mes doutes car j’étais très septique face à toutes ces maladies qui surgissent épisodiquement d’on-ne-sait-d’où.
    Je m’interroge sur la phrase  » … l’hypothèse que les virus existent car rien ne tient debout dans toute la virologie, qui peut carrément être qualifiée de pseudo-science ». Les virus n’existent donc pas ? Par exemple, la tuberculose, l’herpès, l’arthrite rhumatoïde, le virus Epstein-Barr (dont on m’a diagnostiqué et que je traite par la phytothérapie),…
    Et qu’en est-il des bactéries (candida albicans, borrelia,…) ?
    Un GRAND MERCI à vous, Jérémie pour toutes vos recherches, toute l’énergie que vous donnez et tout le temps que vous consacrez à nous informer en détail de ce qu’il en est. Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Même si elle met plus de temps, la vérité finit toujours par arriver !
    Bien vous sera rendu. :)

    Réponse
    • Bonjour Luc et merci pour votre message !
      Pour les virus, on a d’excellentes explications dans le livre « Virus Mania » de Torsten Engelbrecht Claus Köhnlein, Samantha Bailey (qui a une super chaîne Odysee https://odysee.com/@drsambailey) et Stefano Scoglio.
      Les bactéries c’est une autre histoire. Mais sont-elles la cause, ou la conséquence d’un désordre ?
      À bientôt pour la suite !

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