L’échec retentissant de la médecine conventionnelle

par | 20 Fév 2020 | Non classé | 54 commentaires

Je t’ai parlé dernièrement du fait que l’enseignement médical était aujourd’hui en grande partie de l’endoctrinement, une prise en otage de l’esprit critique.

Et parmi les aberrations de la médecine conventionnelle, il y en a une qui dépasse l’entendement : son approche symptomatique quasi systématique !

Traiter les symptômes (et ne pas s’occuper des causes)

Laisse-moi t’expliquer de quoi je veux parler.

Quand on a un problème de santé quel qu’il soit, on présente des symptômes : des signes qui indiquent qu’il y a un truc qui cloche. 

Par exemple, on a mal à la gorge, on a de la fièvre, on a mal au ventre, on a des boutons, une rougeur, des crampes.

Le corps est complexe. Plein de symptômes sont possibles.

En prenant en hold-up la médecine, l’industrie pharmaceutique a amené avec elle une approche complètement contre-productive, mais qui l’arrange bigrement : proposer des remèdes symptomatiques !

Tu as de la fièvre –> prends un antipyrétique ! (le fameux Doliprane)
Tu as mal au ventre –> prends un antispasmodique ! (le fameux Spasfon)
Tu as mal à la tête –> prends un anti-inflammatoire ! (le fameux Nurofen)

La liste est longue.

Si le remède symptomatique peut être utile pour traiter un cas d’urgence ou un symptôme qu’on a du mal à supporter, cette approche est rapidement très problématique.

En effet, elle vient court-circuiter l’intelligence et l’esprit de scientifique, d’enquêteur et de chercheur que devrait avoir tout médecin.

Mais l’endoctrinement en fac de médecine est tel qu’aujourd’hui les médecins sont devenus pour la plupart de vulgaires automates, qui pour un symptôme cherchent un médicament qui va masquer le symptôme. Point.

Médecine conventionnelle : masquer temporairement les symptômes

De toutes façons, vue la durée moyenne d’une consultation, il n’y aurait pas le temps de chercher les causes des symptômes, donc vite fait mal fait on te sort une prescription avec une liste de médicaments chimiques censés masquer les symptômes et tout le monde est content !

Malheureusement, la plupart du temps, le médicament ne résout rien. 

Il met juste le problème en sourdine pour quelques temps (et encore, si tu as la chance de ne pas souffrir d’effets indésirables du médicament).


Analogie avec une blessure à la main

Cette médecine conventionnelle, c’est un peu comme si​ tu venais de t’enfoncer un clou dans la main (superficiellement).

Imaginons. Tu viens de te blesser et tu vas chez ton médecin avec ton clou dans la main. 

Celui-ci voit tes symptômes : rougeur, douleur. Mais il ne sait pas chercher les causes, donc il ne pense même pas à chercher une cause pour ces symptômes que tu présentes.

Tu sors donc du cabinet médical avec sur ta prescription un anti-inflammatoire et un antidouleur.

Evidemment, tant que le clou n’est pas retiré de ta main, l’anti-inflammatoire et l’antidouleur ne vont pas avoir un effet durable.

Par conséquent, tu vas revenir très vite chez le médecin. 

Plein d’empathie, il va te prescrire d’autres molécules plus puissantes, ou bien des doses plus fortes. Et tu es content·e, tu te dis que ça va marcher !

Mais las, la douleur revient, la rougeur aussi, et ça commence même à s’infecter, et si l’infection prend de l’ampleur, tu vas avoir de la fièvre. L’antipyrétique que ton médecine va logiquement te prescrire ne va bien sûr pas résoudre le problème mais juste bloquer la réaction physiologique normale de ton corps en cas d’infection : faire monter la température corporelle pour tuer les bactéries qui posent problème.

Après des aller-retours incessants chez ton médecin, avec cette approche symptomatique poussée à l’extrême, la situation va logiquement empirer. Et tu vas finir par te faire amputer la main !

Traitement médicamenteux symptomatique : une bonne façon de nuire à la santé sur le long terme !

Parce que les médecins actuels ne sont plus habitués à chercher les causes des problèmes, ils ne font la plupart du temps que tourner autour du pot, en prescrivant des molécules aux effets pas du tout anodins. 

Et comme ils ne répondent pas au vrai problème, à la vraie cause, ils finissent par provoquer des problèmes bien plus gênants que celui d’origine !

La solution : chercher les causes… et s’en occuper !

Si tu t’es enfoncé·e un clou dans la main, la meilleure solution consiste à retirer le clou, à désinfecter en nettoyant la plaie avec un peu de savon, et à laisser cicatriser… pas à donner des médicaments antidouleurs.

Ce manque de pragmatisme, cette absence de recherche des causes des maladies et cette absence d’esprit critique sur l’approche purement symptomatique font partie des raisons qui font de la médecine conventionnelle une médecine inefficace pour la plupart des maladies de civilisation, maladies devenues chroniques à cause d’un système médical qui ne cherche jamais à résoudre les causes !

Si tu veux reprendre ta santé en main, tu dois réapprendre à écouter ton corps, à comprendre les signaux qu’il t’envoie (les symptômes) et à t’occuper des causes de ces symptômes, plutôt que de (chercher à) masquer ces symptômes.

Le système médical ne t’aidera pas dans cette voie. Après un siècle d’emprise de l’industrie pharmaceutique, très peu de médecins sont aujourd’hui capables de simplement chercher les causes des problèmes de santé.

La plupart n’ont même pas conscience du fait qu’il existe un lien entre les choix alimentaires (je ne parle même pas de « malbouffe ») et la santé !

Cette ignorance est la cause de centaines de milliers de morts chaque année en France.

Es-tu vraiment décidé·e à reprendre en main ta santé ? A attraper l’ « élixir de jouvence » qui est à portée de main (à condition d’être bien informé·e) ?

Dis-moi dans les commentaires si tu as vécu cette approche symptomatique de la médecine et ce que ça a donné sur toi :)

Et à ta santé bien sûr !

54 Commentaires

  1. bonjour jérémie,

    Je souhaiterais t’exposer une situation concernant l’état de santé de ma mère âgée de 80 ans et diabétique. Elle souffre depuis quelques temps de l’arthrose du genou droit avec de grosses difficultés pour se déplacer. Une rhumatologue lui avait injecté il y a environ 1 mois sur le genou (durolane injection d’acide hyaluronique) ce qui a eu pour conséquence d’aggraver sa douleur sans remédié en rien à sa situation. elle lui a indiqué qu’elle n’avait pas d’autres alternative que de mettre une prothèse pour résoudre cet handicap. Qu’en pense tu? peux tu m’éclairer sur ce sujet. Merci pour ta réponse. Nourredine

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    • Bonjour Nourredine, Je viens de te répondre sous un autre post. Les rhumatologues ne savent pas que l’origine des maladies qu’ils essaient tant bien que mal de soigner ont pour origine une alimentation inadaptée. En faisant les bons changements alimentaires, ta maman peut énormément améliorer son état de santé. Je t’ai mis le lien vers la conférence qui présente mon approche. Bonne découverte, et en espérant que ça vous soit utile !

      Réponse
  2. Bonjour Jérémie,

    Merci pour tout ce travail que tu fais.

    J’ai eu moi aussi mes déboires avec la médecine conventionnelle. A l’adolescence je souffrais de douleurs de règles aigües et d’un peu d ‘acné donc on m’a prescrit la « pilule » magique. Sans jamais m’interroger sur mon mode de vie, mon alimentation etc…

    A 17 ans j’ai commencé à avoir de la spasmophilie et de l’anxiété avec des attaques de paniques et de la tachycardie. Et là on m’a donné…du Prozac…

    Quand j’ai décidé d’arrêter la pilule au début de la vingtaine mon corps s’est mis à se nettoyer (mais la tachycardie, l’anxiété et la spasmophilie ont par la suite disparu à jamais de ma vie) et j’ai eu une crise d »acné très forte. Seule « solution » proposée : le roaccutane !

    Là j’ai vraiment senti d’instinct au fond de moi que ce n’était pas du tout la voie à suivre.

    Comme j’étais déjà suivie par un acupuncteur et que je commençais à m’intéresser à la naturopathie j’ai choisi de chercher à comprendre ces symptômes et d’accompagner mon corps dans son auto-guérison : nettoyage du foie, hydrothérapie du colon, détox, activité physique, nouveau rapport à mes émotions et à mon sommeil, changement complet d’alimentation avec protocoles d’élimination de produits laitiers, blé, sucre et café… + régénération de mon microbiote interne et externe (arrêt des gels décapants alcalins qui aggravent les choses en déséquilibrant le ph naturel de la peau et des crèmes qui empêchent la peau de respirer –> remplacés par huile de jojoba, savons saponifiés à froid, aloe vera, hydrolats et filtres de douche)

    On m’avait pris pour une folle au début, mais au bout de quelques mois on venait me demander : « Non mais comment t’as fait ? c’est incroyable ! »

    J’ai ensuite pu transmettre à d’autres femmes tout ces ajustements pourtant ultra accessibles pour rééquilibrer sa peau .

    Elle est notre alliée : c’est juste un miroir qui reflète notre état d’encrassement physique et émotionnel. Mais la médecine conventionnelle s’acharne à décaper le miroir au lieu d’aller explorer ce qui se reflète dessus !

    Quand on donne une chance à son corps et qu’on travaille avec lui au lieu de le museler il nous le rend au centuple ! :)

    Ma vie n’est plus la même, je ne suis jamais malade, je n’ai jamais besoin d’anti-douleurs ou de « quick fix ». Je sais exactement comment prendre soin de moi ! J’ai repris mon pouvoir et je ne me sens plus dépendante d’une médecine de « garagiste » contre nature et contre productive.

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    • Bravo Camille,

      Merci beaucoup pour ce partage ! Super inspirant. Bravo aussi d’avoir écouté ton intuition et refusé le Roaccutane (une horreur ce médoc).

      Avec des approches naturelles simples, efficaces, et une prise en charge globale de sa santé, on fait des miracles.

      Tu l’as fait, youpi !

      Que ça continue comme ça :)

      Réponse
  3. Bonjour Jérémie,

    J’ai passé plus de 10 ans à souffrir de symptômes inexplicables et de plus en plus insupportables bien que j’ai consulté des dizaines et des dizaines de médecins en tout genre durant cette période.
    J’avais des migraines horribles de plus en plus fréquentes (impossible de parler, supporter la lumière, de faire quoi que ce soit). Je restais prostrée pendant 24h et ça passait progressivement. J’ai pris des médicaments pour cela et notamment pour soigner l’epilepsie alors que je ne le suis pas.
    Ensuite, j’avais des diarrhées incontrolables, des vomissements inexpliquées régulièrement, des douleurs musculaires, une fatigue chronique, des nausées,…bref et j’en passe! J’ai même fait 3 jours aux urgences d’un grand hopital parisien car je perdais l’équilibre à un point ou je ne tenais plus debout. J’ai fait tous les examens possibles et imaginables. Les médecins en venaient systèmatiquement à la même conclusion : « Vous devriez consulter un psychiatre… vous faites surement une depression, vous somatisez… »

    Et je leur répondais que j’allais très bien dans ma tête mais que si ça continuait, j’allais effectivement finir par devenir dingue!

    Grâce à un osthéopathe qui m’a mis sur la piste de l’intolérance aux produits laitiers, j’ai fait des recherches sur l’alimentation et tous les problèmes qu’une alimentation inadaptée peut provoquer. J’ai donc d’abord arrêté les produits laitiers complètement (ce qui pour moi était très difficile car j’en mangeais énormement) et là j’ai senti que mon corps me remerciait… Plus de nausées, plus de migraines, une pêche d’enfer…etc Par la suite ayant eu d’autres symptomes, et ayant trouvé un médecin qui a su m’écouter (qui est parti malheureusement à la retraite sans successeur), j’ai découvert que je ne pouvais pas manger de blé, maïs, orge, et de l’oeuf non plus. J’ai apparemment une dysbiose qui provoque tous ces symptomes. Aujourd’hui, à 39 ans,,je revis et peut avoir une vie normale malgré le fait que j’ai parfois quelques symptomes qui réapparaissent mais sans commune mesure. L’inflammation que j’ai n’est pas totalement guérie mais je suis sur la bonne voie.
    Pour rien au monde, je ne recommencerai à m’alimenter comme avant. J’évite aussi maintenant la prise de médicament (uniquement quand je n’ai pas d’autres options).
    C’est un combat quotidien pour moi l’alimentation et je recommande à tous mes proches de changer… mais les mauvaise habitudes ont la peau dure! Beaucoup pense qu’ils ne pourront plus se faire plaisir.
    Pour moi le changement a été dur, c’est certain mais j’ai tenu bon. Maintenant j’ai effacé de mon cerveau l’alimentation que j’avais depuis mon plus jeune age pour cette nouvelle alimentation plus saine et pour rien au monde je ne ferai un écart… je n’en ai même plus envie d’ailleurs.

    Je pourrai passer des heures à vous raconter des anecdotes incroyables que j’ai vécu avec des médecins. Il y en a beaucoup que je considère comme des charlatans qui font du travail à la chaîne. Il est urgent que les médecins soient convenablement formés. Mais quoi qu’il en soit, je pense qu’il faut avant tout écouter son corps, se reconnecter avec la nature et perseverer quotidiennement vers l’amélioration des nos conditions de vie…

    Voilà j’espère que ce témoignage sera utile et que les gens sortiront de cet aveuglement collectif qui les empêche de faire ce qui est bon pour eux, à cause du regard des autres, de l’endoctrinement des lobby, des habitudes, du manque de volonté,…etc

    J’admire ce que vous faites car ce sont les personnes comme vous qui éclairent le chemin de ceux qui sont en quête d’un remède inexistent via la médecine conventionnelle. Continuez…

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    • Merci Aline pour votre témoignage et bravo pour vos découvertes et la reprise en main de votre santé.
      Tellement peu de gens font le lien entre les migraines et l’alimentation !
      Je ne serais pas étonné que votre passage aux urgences soit lié en partie aux médicaments que vous avez pris, qui en plus de ne pas régler la cause (alimentation qui ne vous convient pas), ont pu apporter avec eux des effets indésirables. Cause non traitée (et problème qui continue donc) + effets indésirables des médicaments = problèmes de santé qui empirent…
      Pour la plupart des gens, juste produits laitiers et blé en moins (et grosse réduction de la consommation de viande) + travail sur les problèmes de perméabilité intestinale, peut suffire pour régler les problèmes de migraine.

      J’ai aussi eu de bons retours avec le nettoyage du foie.

      Quoi qu’il en soit, il faut cette âme d’enquêteur que vous avez eu pour découvrir quelles peuvent être les causes de nos problèmes de santé, quelles sont les actions à mener pour traiter ces causes, et ensuite voir ce qui fonctionne ou pas.

      L’approche médicale conventionnelle refuse en bloc cette démarche d’enquête et préfère le médicament ou dire que c’est « dans la tête ». On pourrait effectivement assimiler cette approche conventionnelle à du charlatanisme !
      Vous avez eu du pot de tomber sur ce médecin ouvert (mais non remplacé !) qui vous a orienté vers les changements alimentaires qui vous ont été salutaires…

      Merci encore pour ce retour d’expérience et à bientôt !

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  4. Je pense qu’on est une écrasante majorité à subir la médecine symptomatique ^^ et aussi la médecine de « c’est rien c’est psychologique au revoir » :)

    Autour de moi j’ai entendu :
    – une copine qui avait super mal au ventre, au point qu’elle ne pouvait plus s’asseoir. Elle va aux urgences, on lui dit que c’est rien et elle ressort avec du spassfon. Vu que ça durait depuis plusieurs jours, elle a vu son MG qui lui a fait un courrier pour faire des examens poussés. Elle va dans une clinique privée, on lui fait une écho => « mademoiselle on doit vous opérer d’urgence », elle avait un gros kyste au niveau d’un ovaire, qq jours de + et elle le perdait…

    – une copine à qui on a mis 3 ans pour lui diagnostiquer la maladie de Bouveret (tachycardie, malaises…). Le cardiologue lui a sorti un jour « c’est une excuse pour ne pas aller à l’école, avoue » (…)

    Perso je peux partager deux histoires :
    – la 1ère, à partir de 9/10 ans j’avais des douleurs au niveau des genoux ( ça m’empêchait de dormir la nuit). Le pédiatre me prescrit de l’ibuprofène, « c’est la croissance »
    Une fois arrivée à 18 ans j’ai prévenu que j’avais tjs mal, et que techniquement j’ai fini la croissance ^^, on m’a dit que c’était liée à ma maladie génétique (que m’a transmise ma mère)(dont, soit dit en passant, le diagnostic s’est fait uniquement de manière clinique…). Ou comment mettre le problème sous le tapis.

    – la 2e, j’ai été aux urgences pour une tachycardie mystère (140bpm, aucune douleur ailleurs, ça m’empêchait de dormir et j’avais la sensation d’être séparée du coeur ^^). Après avoir checké les causes vitales, on me sort « boaf c’est juste du stress » et on me donne un xanax… Malgré le fait que je leur ai bien expliqué que ce n’était pas du stress, j’ai déjà travaillé et connu le stress et je leur disais que je n’ai aucun symptôme physique du stress, même la cohérence cardiaque ne marchait pas.
    La tête qu’ils ont fait quand ils ont vu que le xanax n’a fait aucun effet sur la tachycardie : priceless :)
    Je peux comprendre qu’il existe des patients hypocondriaques, mais ça m’énerve de ne pas avoir été prise au sérieux et écoutée.
    Je suis sortie des urgences avec un Holter, et il s’est passé une bonne semaine avant que le cardiologue regarde les résultats. Donc, une semaine avec de la tachycardie à 120-140bpm, à être essoufflée pour un rien (même manger c’est du sport ^^) et à pas pouvoir dormir…
    La suite m’énerve encore plus :D
    Donc le gars nous appelle qu’il faut prendre d’urgence du bêta-bloquant parce qu’il y a un problème. Il faut le prendre pendant 2 mois et on avise ensuite.
    (bon déjà, pourquoi 2 mois je sais pas trop ^^ – et je passe sur l’épisode des effets secondaires du médoc ;) où le gars m’a dit que j’avais psychoté, provoqué moi-même les effets secondaires rien qu’en lisant la notice………)
    2 mois après : « ah mais vous n’avez rien, c’est juste un foyer ectopique ça arrive »
    « … bon ok, et du coup j’arrête quand ? »
    « quand vous voulez » (!!!) « bah oui c’est tout bénèf ce médoc : vous n’avez plus de tachycardie, ça vous dope et ya pas de dépendance »

    Donc voilà, des témoignages parmi tant d’autres… C’est vraiment dommage qu’on oublie de mettre de l’humain et qu’on pense $$$

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    • Merci pour ces partages d’expériences perso et de proches.
      Oui, c’est triste que le patient soit juste vu comme un numéro, débile et forcément chez qui le pb est psy quand on ne trouve pas la solution (qui est forcément un médoc). Ça devient l’exception de trouver un personnel soignant qui prend son temps, pose les bonnes questions, et cherche les causes des problèmes plutôt que cherche à étouffer les symptômes. Un peu d’humilité ferait du bien à ce milieu qui se croit trop souvent tout-puissant !

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  5. Bonjour, oh que oui je connais trop bien ce système de soigner la blessure, ne pas la guérir, et surtout prendre en compte le symptômes et non le corps en entier qui a provoqué le problème.
    Anorexique durant 10 ans, plus de 10 hospitalisation, j’étais un cobaye ou l’on me donner toutes sortes de molécules pires les unes que les autres.
    Je devenaisuis résistante à ces produits, alors ont à augmenter, augmenter, jusqu’à un stade où l’on m’as prescrit ce que les psystèmes appel des « traitements de fond », des anripsychotiques, qui a dose légère est censé diminuer le stress’ plus les antidépresseurs, anxiolitiques, somnifères. .. Et bien sûr des médicaments pour pallier aux effets indésirables.
    J’allais en centre médico-psychologique tous les 3 mois ; durée du rendez-vous 10 mi utérus, et autant vous dire que mon psychiatrie me prescrivait ce que je voulais.
    Puns, j’en ai eu marre, j’ai décider de me sevrer, seule.
    Je me suis fait engueuler de nombreuses fois, mais si j aurait écouter les médecins, je serai à l’heure actuelle un vrai légume.

    Puis la fibromyalgie et la hernie discale, j’ai eu de la chance de tomber sur un médecin anti médicaments,
    Juste le dosage minimum.
    Je l’ai supplier de nombreuses fois de me faire opérer pour ma hernie, la douleur était trop intense, une véritable souffrance.
    Avec le recul, je ne le remercierai jamais assez.

    C’est la que je me suis pencher vers les medecines dites alternative.
    Et la, j’ai réellement pris conscience que les médicaments, c’est comme mettre un pansements qui ne cicatriserà jamais réellement.

    Depuis, je suis des cours de naturopathe, et développe mon magnétisme.
    Car si une maladie apparaît, il faut traiter la cause et non les symptômes.

    Depuis, je me soigne à base de plantes, d’huile essentielle, et je vais beaucoup mieux.
    Et la méditation à eu un réel impact dans ma vie.
    Mettre le doigt sur la cause de mes problèmes et non des conséquences.

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    • Merci beaucoup Laure pour votre partage d’expérience !
      En fait, les bons médecins sont ceux qui sont « anti-médicaments » (enfin anti-médicaments inutiles et dangereux, ce qui fait un paquet de médicaments !).
      C’est tout à fait ça l’image de la plupart des médicaments : un pansement sur une blessure qui ne cicatrisera jamais, tant qu’on n’a pas traité la cause.
      Bravo pour la reprise en main de votre santé et votre démarche actuelle :)

      Réponse
  6. Maider J’ai dû me faire piquer par une plante ou une bestiole au-dessus de la cheville; le lendemain, je ressentais une petite douleur et il y avait un point rouge. Jour après jour, ce point s’élargissait et devenait de plus en plus douloureux. Mon médecin étant en vacances , j’ai téléphoné à l’hôpital et ai expliqué ce qui m’arrivait; je suis restée en ligne et on me dit de me présenter chez un spécialiste des inflammations . Celui-ci me donne un traitement que je ne supportais pas; je l’avertis mais il me demande d’insister . Puis , un matin, je vomis une grande quantité de sang. J’arrête le traitement et en informe le docteur. Je suis allée voir un naturopathe qui m’a donné un traitement à base de plantes et produits naturels et, petit à petit, la fièvre et la douleur ont diminué jusqu’à s’estomper. Il me reste une tache brune à cet endroit-là.

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    • Waw, quelle histoire ! Tes vomissements de sang seraient un effet indésirable du médicament que tu as pris ?
      En tout cas, un bel exemple de cas (fréquents) où des approches naturelles simples sont efficaces et en plus ne comportent pas les dangers des médicaments chimiques classiques !
      Donc, la tache brune est un souvenir de cet épisode si j’ai bien compris ;)

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  7. J’ai été 3 années à l’école d’infirmière car depuis toute petite je rêve de « m’occuper des gens »…
    dès les premiers stages (que ce soit hôpital/clinique ou maison de retraite), je suis tombée que de désillusions en désillusions!

    Les infirmières pour la majorité étaient débordées et n’avaient pas le temps pour échanger avec leur patients, elles courraient dans tous les sens ou passaient un temps fou dans la paperasse…c’est comme si le patient n’était pas la priorité et cela me dérangeait beaucoup. Certaines d’entre elles étaient aigries mais pour la plupart, elles avaient vraiment la main sur le coeur et c’était ça le plus déroutant…de voir que derrière le personnel soignant, se cache la belle âme d’une personne pleine de compassion, qui veut prendre soin,soulager, apporter du bien être….Mais dépassée par le nombre de patients, l’autorité, le manque de temps, la performance, le risque d’être en procédure(…) on ne remarque plus vraiment ce réel elan du coeur, celui qui a choisi cette si belle profession.

    En tant que stagiaire infirmière, j’excellais au niveau relationnel car je disposais (moi) de ce temps précieux et je devais prendre soin de 2, 3 ou 4 patients ( contre une dizaine, vingtaine voire plus pour une seule infirmière !!) donc c’était nettement plus simple d’arriver à établir un vrai échange, une vraie empathie parfois même une complicité liée à cet échange d’âme à âme.

    C’était très difficile pour moi de devoir faire comme mes formatrices: écraser 4,5,6…8 cachets( et ce, plusieures fois par jour pour le(la) même patient(e) !!) Puis tout mettre dans la compote ou la sonde gastrique de la personne âgée ou atteinte d’un handicap.

    Et ne parlons pas de la nourriture! C’est tellement incompréhensible de constater à quel point les repas sont contre-productifs dans les institutions de santé ! Rien qui peut apporter un vrai plus au processus de guérison … les aliments sont beaucoup trop pauvres en vitamines minéraux et oligo-élements… comme si les nutritionnistes aussi subissaient l’endoctrinement et la pression du rendement…souvent cette nourriture constipe et l’on soulage avec des laxatifs!!!!

    Lors de mes stages, là où je me sentais à ma place, c’était lorsque j’apportais mon aide pour la toilette( les soins de nursing) ou lorsque je la faisais entièrement car la personne était complètement dépendante. Car là, je voyais vraiment le bien être apporté aux personnes souffrantes. Là je voyais l’importance que c’etait d’apporter cette douceur, ce respect pour leur corps et leur moral.
    Ce que les personnes recherchaient était là ! De la réassurance, de la douceur et du respect pour leur intégrité physique et mentale ! Une meilleure posture dans leur lit, des stimulations lors des mouvements, sentir que leur corps a de la valeur, sentir qu’il y’a encore de l’espoir, que leur corps est tout sauf impuissant, que la guérison est possible il faut juste lui faire confiance et l’aimer ! Un mouvement reussi pouvait tellement apporter de l’espoir et de la joie….pour moi c’etait ça le vrai confort, c’était ça faire du bien!

    La 3ème année d’école, mes formateurs m’ont conseillé de changer mon sujet de thèse qui justement voulait lever le voile sur le droit des infirmières à refuser de suivre une prescription médicale jugée trop lourde ou trop forte…donc inutile voire même néfaste pour le soigné à plus ou moins long terme. Comment pouvons nous donner autant de traitements si puissants à des personnes aussi vulnérables? Est-ce que c’est ça prendre soin des patients??
    Bref. Je conclue…j’ai arrêté l’école (si proche du but!) car mon intuition n’arrêtait pas de me mettre en alerte et j’ai préféré continuer en tant qu’aide-soignante, bien plus proche de mes convictions.

    Je voulais te dire merci Jérémie pour tous tes partages. Ils nous permettent a tous de prendre conscience que nous fonctionnons dans un système qui n’est pas logique voire même malsain. Que nous en sommes les auteurs mais aussi que nous avons le pouvoir de changer ce système installé depuis trop longtemps et qui profite essentiellement aux mêmes. Pour cela, nous devons parler, échanger et toucher le plus de personnes pour éveiller les consciences…car nous savons tous au fond ce qui est bon pour nous mais les lobbies et les plus puissants ont exercé une telle emprise sur nous depuis des décennies que nous finissons par croire que notre bien être ne peux dépendre que de leur produits, de leur machine, de leur traitement, de leur nourriture…..bullshit!!!

    La réelle guérison, le vrai bonheur c’est NOUS et NOUS SEUL qui nous l’apportons . J’ai suivi mon intuition et c’est ça la clé (du bonheur ).
    Reprenons- nous en main, aimons nous profondément pour commencer une vie magique, la vie dont nous rêvons …car TOUT est réalisable! Avec de la persévérance,
    de l’auto-discipline et surtout avec le coeur…. nous devenons ce que nous souhaitons être! ⭐☀️

    Réponse
    • Merci beaucoup pour ton message et pour ton témoignage Sarah !

      Ma mère a été infirmière en hôpital de ses 20 ans à ses 62 ans (partie en retraite l’année dernière). Elle a vu une grosse différence entre les débuts et la fin de sa carrière. Au début, elle avait du temps à passer avec les patients. Elle leur apportait du réconfort, elle communiquait avec eux. Elle adorait ça et les patients l’adoraient. A la fin, elle passait son temps à courir, à remplir des papiers administratifs, et n’avait plus de temps du tout pour véritablement s’occuper des patients. Elle n’aimait plus ce qu’était devenu le métier d’infirmière (je ne parle même pas du bien-fondé de la façon de traiter les patients, c’est un autre sujet).

      Vu ce qu’est devenu ce métier, tu as sans doute bien fait d’arrêter !
      Je ne sais pas par contre comment a évolué le métier d’aide-soignante. J’espère que c’est mieux :)

      Les nutritionnistes à l’hôpital sont formés par des écoles soumises à l’industrie agroalimentaire, donc ce qu’ils apprennent c’est du grand n’importe quoi. Ils ont en général perdu tout esprit critique, donc c’est même pas utile de discuter avec eux.

      La guérison est effectivement souvent possible, à condition de donner au corps les moyens de guérir ! L’hôpital et le système médical conventionnel en général ont plutôt tendance à nier et à miner ces capacités naturelles de guérison.

      Chacun a le pouvoir en soi, notamment en retrouvant l’hygiène de vie de retrouver une meilleure santé. C’est à chacun de nous de reprendre nos responsabilités et de reprendre en main notre santé !

      J’ai espoir que nous serons de plus en plus nombreux à sortir de l’ignorance en matière de santé et à enfin se la réapproprier. Les choses ont déjà bien bougé et ça ne fait que s’amplifier ;)

      Réponse
  8. Bonjour Jeremie,

    Je me reconnais dans ton discours, je suis adepte depuis toujours des médecines

    alternatives et de l’écoute du corps. J’ai 61 ans, je suis rarement malade (je touche du bois) et

    je ne prends pratiquement jamais de médicaments. Je suis bien sûr vigilante au sujet de mon alimentation et de mon hygiène de vie.

    Malgré cela, j’ai un problème de parondontie que je stabilise depuis 40 ans, mais que je n’arrive pas à soigner comme je le désirerai… uniquement avec des traitements naturels.

    Si tu as des renseignements à ce sujet, je suis preneuse…

    Merci pour tes conseils et bonne continuation !

    Réponse
  9. Je me bas depuis plusieurs années contre la médecine traditionnelle, surtout avec les médecins.

    Depuis ma tendre enfance, je souffre de douleur dans tout le corps.
    A chaque symptômes, je me vois attribuer un jugement, une excuse, une raison…

    C’est la croissance, c’est trop de sport, c’est nerveux, vous êtes trop grande donc c’est vos positions, c’est psychologique! (« c’est la grande mode en ce moment »).
    Puis à l’age adulte: c’est le poids, c’est l’hygiène de vie, c’est la prise de médicament, c’est des malformations, c’est psychologique…

    Et à chaque fois, faisant confiance à la médecine, je suivais leur protocole, pour aller mieux: anti-douleur, anti-inflammatoire, diminution des entraînements sportifs, voir arrêt, antidépresseurs, psychologue, psychiatre, régimes, changements d’emploi, traitement de fond, opérations…

    J’était soulagée quelque jours, puis ça recommencer, voir parfois puissance +++.

    En 2015, je suis rentrée en école d’aide soignante, et là ce que j’ai vu, entendu, appris… en centre hospitalier, dans des services spécialiser, dans des maisons de retrait, des centres pour les enfants en situation d’handicape,…, était… il n’y a pas de mot pour qualifier cette horreur.

    Donc, j’ai commencé à apprendre, à me renseigner,…, sur différente méthode de se soigner, sur les symptômes, les maladies, les traitements médicamenteux, effets… et à me concentrer sur mon ressentie, sur mes symptômes, mes organes, comment était la douleurs, à quel moment, où…

    A la suite de quoi, je me suis battue pour consulter différent spécialiste et faire certains examens médicaux.

    Résultat:
    > Dysplasie rotulienne bi-latéral des deux genoux, dont un opéré d’une TTA,
    Symptômes: chutes à répétition, douleurs extrème aux genoux, lente à la marche

    > Syndrome des Ovaires Micro-Polykystiques, due à la prise pendant 15 ans de la pilule contraceptive donc arrêt total,
    Symptômes: menstruations abondantes et irrégulière, hirsutisme, prise de poids, taux de testostérone élevé, fatigue, hypotension, pré-diabète, trouble du rythme cardiaque, migraines, douleurs, tremblements

    > Découverte d’un Adénome du foie, opéré, également lié à la prise de la pilule.
    Et du Cirrhose Hépatique à 60%.
    Symptômes: nausée, fatigue, douleurs

    > En cour de reconnaissance, car en attente rdv IRM, une Spondylarthrite Ankylosante, positive HLA B27 sanguin
    Symptômes: douleurs intenses dans tout le corps, principalement insupportable: cervicale, colonne vertébrale et bassin, fatigue intense, dactylite, uvéite, douleurs viscérales

    Et tout ce que ça engendre, augmentation globule blanc dans le sang, problème de régulation de la température du corps, insomnie, humeur, épuisement, difficulté de déglutition…

    Alors oui, il y a aussi une part de ma faute par mon ignorance et des erreurs de faire confiance, de malformation, de mauvais soins ou de non soins, d’hérédité et d’erreur de choix, mais aujourd’hui, je sais que ce n’est pas psychologique et que je dois changer intégralement mon alimentation, reprendre le sport non choquant.
    J’ai déjà changé mon poste de travail.

    De plus, je ne laisserais plus jamais un médecin décider de ce qui est bon pour moi et continuerais à faire confiance à ce que je ressent et me battrait toujours pour qu’il me face les examens que j’estime nécessaire.

    Réponse
    • Merci pour ton message Doris.
      La reprise en main de sa santé arrive souvent après une période, parfois longue, d’errance médicale, puis une ouverture des yeux brutale sur les réalités pas jolies jolies de la médecine conventionnelle.
      Effectivement, la pilule contraceptive est problématique chez de nombreuses femmes et tu en as apparemment fait les frais…
      Tu es effectivement passée par l’étape  » traitement des symptômes sans chercher les causes  » : on peut tourner en rond et s’empoisonner comme ça très longtemps !
      Vu tout ce que tu listes, il est probable que revoir fortement ton alimentation (blé, produits laitiers, viande en particulier) et nettoyer ton foie te ferait probablement beaucoup de bien.
      Bravo pour cette énergie que tu déploies aujourd’hui pour retrouver ton pouvoir sur ton corps et ta santé, et ne plus laisser des incompétents faire n’importe quoi avec ton corps !

      Réponse
  10. Je me suis plainte pendant 3 ans au cabinet médical où je vais: on me répondais systématiquement « vous travaillez trop, vous stressez trop prenez des remontants » etc… Comme je me suis écoutée j’ai en fait trouvé l’origine de tous lmes symptômes: une maladie génétique auto-immune! S’ils avaient seulement consulté mon dossier ils araient vu que je n’avais jamais été en maladie… Et heurueusement je n’ai jamias pris leurs médicament dont le médiator!! Depuis, je me suis blessée à la main en tomabant ..reçue à la clinique de la main on me propose une liste de 3 médicaments incompatinbles avec ma maladie.. J’ai refusé en expliquant que ces médicaments anti-douleur m’étaient interdits… mais le doc a rit en disant « c’est quoi cette connerie!!! » Bon le rdv ne s’est pas bien terminé et sans médicaments ma main va bien merci beaucoup!

    Réponse
    • Merci pour ton partage Kim. De quel type de maladie génétique s’agit-il et comment as-tu découvert que tu l’avais ?
      Super de t’avoir prescrit plein de médicaments, dont le Médiator, sans jamais chercher les causes !…
      Bon, et sinon, quelle horreur de voir que des médecins préfèrent rester dans leur ignorance quand tu leur parles de ta maladie et de ses contre-indications, et du coup bravo d’avoir soigné ta main efficacement sans médicament ! :)

      Réponse
  11. Pendant de longues années j’ai maltraité mon corps a coup de medicaments, d’opérations lourds de conséquence. j’ai suivi une formation chez Lise Bourbeau d’écoute ton corps pendant 3 ans. cela fait 10 ans que je ne consulte pratiquement plus et de plus en tant que thérapeute sophro et hypno je me sers beaucoup de cette enseignement pour amener les personnes à mettre des mots sur les maux avec succès. Merci à toi

    Réponse
    • Bonjour

      Effectivement Lise Bourbeau est d’une grande aide pour démasquer ce qui se cache derrière les symptômes notamment dans son livre »Ton corps dit aime toi « Il y a aussi Guy Corneau psychanalyste Jungien « Quelques citations très parlantes:
      « La vie est parfaite puisqu’elle nous ressert toujours le même plat jusqu’à ce que nous prenions conscience de ce que nous sommes en train de manger. »
      «Lorsque nous mettons des mots sur les maux, les dits maux deviennent des mots dits et cessent d’être maudits.» Guy Corneau
      Michel Odoul DIS-MOI OU TU AS MAL (Ed.2018)
      Michel Odoul (Auteur) Les cris du corps sont des messages de l’âme. Eléments de psycho-énergétique!
      Personnellement j’utilise ces méthodes depuis longtemps quand j’ai un problème !J ai fait également une très longue psychothérapie qui m’ a aidée à mettre des mots sur les maux!
      Je pense contrairement à Jérémie,que modifier son alimentation n est pas suffisant!Par contre soigner son intériorité d’abord !
      Je peux donner un exemple personnel!J’ai fait une rupture d anévrisme il y a 13 ans!Pas de signes avants coureurs,même pas de tension!Or je traversais depuis un moment une période de stress intense avec l ‘homme qui partageait ma vie!Il me mettait une pression terrible et de plus je me la mettais seule!Alors là c’était infernal!Je souffrais d’une grande culpabilité qui ne faisait que s’accentuer!Et un jour crac rupture d’anévrisme au travail!J’ai failli y passer mais très bien soignée à l hôpital !Aucune séquelle!Après j’ai contacté une personne qui travaille à distance sur l’être,sur conseil d’une amie!Et là je lui dis à un moment donné « je culpabilise à mort »et là elle me dit vous entendez ce que vous avez dit?C’est bien ce qui a bien failli vous arriver!J’ai eu des tremblements,des frissons et là le Scoop!On me répondra oui mais vous aviez un anévrisme!D’accord!Si je n’avais pas eu un anévrisme,j’aurai pu avoir un infarctus!!Tout ça pour dire que que j’ai été jusque là alors que j’avais des signes (Stress,nervosité,mal être,usure fatigue)Quant au mot rupture,il n’est pas anodin!Quand je suis sortie du coma j’ai vu ma mère dans la chambre et je m’en souviens très bien lui dire qu’est ce que je fais là?Tu es à l’hôpital!Ah pourquoi?Tu as fait une rupture d ‘anévrisme!Une quoi? Moi qui ne sais pas rompre!Voilà ma réponse!Ce qui est chez moi très difficile car culpabilité!Et bien après 6 mois de convalescence j’ai quitté mon compagnon!Désolée pour la longueur!L’extérieur est le reflet de notre intérieur!!!!

      Réponse
      • Bonjour Josette,
        Dans mon approche globale de la santé (holistique), si l’alimentation est effectivement le pilier n°1, ce n’est pas le seul et modifier son alimentation ne peut pas tout résoudre.
        Cependant, ignore le pilier alimentation, c’est la porte ouverte à beaucoup de problèmes.
        Ainsi, Lise Bourbeau est en surpoids depuis des années malgré ses enseignements, et Guy Corneau est décédé d’un cancer.
        Sans approche globale, l’échec est la plupart du temps au rendez-vous !
        Traitement simplement les émotions et les causes des émotions mal vécues est déjà bien sûr un énorme pas en avant, et peut déjà faire beaucoup.
        La mauvaise gestion des émotions peut avoir des conséquences énormes sur la santé. J’ai d’ailleurs écrit un livre sur l’hygiène émotionnelle : https://amzn.to/2n0QBdl
        Mais les émotions, c’est seulement une partie de l’approche globale que je promeus.
        Je suis moi aussi intéressé par les signes que le corps peut nous donner, mais leur décodage est souvent pas si simple, et même quand c’est bien compris, ça n’est pas souvent suffisant pour retrouver la pleine santé !
        J’espère que mon message permet d’éclairer mon propos et permettra d’éviter à l’avenir de penser que la seule solution que je promouvrais serait l’alimentation !

        Réponse
  12. Votre raisonnement me parle énormément puisque je me soigne (tres rarement !) par homéopathie .C’est une approche globale du malade . Mes enfants n’ont jamais eu besoin d’antibiotiques de leur vie ( 32 et 36 ans!) car ils ont renforcé leur immunité étant enfant et ont fait les bonnes maladies enfantines que la médecine veut actuellement enrayer par des vaccins !!
    Ce que je voudrais relever c’est que le patient a aussi sa responsabilité ! S’il ne s’écoute pas et cours chez le médecin pour être guéri dans les 24 h. car il part en we ou il y a du boulot…et SURTOUT ne pas souffrir .Alors le médecin prescrit sa chimie .
    Je ne suis pas là pour les défendre mais pour que chacun reprenne sa responsabilité.

    Réponse
    • Merci pour votre message Marie !
      Entièrement d’accord sur la responsabilité du patient.
      Tout le monde est responsable de ce qu’il fait et de ses choix.
      Ce qui est dommage, c’est le manque d’information loyale, ce qui ne permet pas de faire facilement les bons choix pour soi !

      Réponse
  13. L’homme n’est pas un être de matière seulement, il est aussi, et avant tout, un être spirituel ! Le défi consiste maintenant à faire ce que les mystiques, les guérisseurs et les enfants au seuil de la mort ont réussi : apprendre à connecter le côté rationnel et le côté spirituel de leur cerveau.
    Pour mieux comprendre les rapports entre le monde matériel et les mondes spirituels, utilisons une image : imaginez une personne debout dans un bassin, avec de l’eau jusqu’à la hauteur des chevilles. L’eau, qui est plus dense que l’air, représente le monde matériel et l’air, qui est plus léger, joue le rôle de monde spirituel. Le personnage qui a les pieds dans l’eau est l’âme, l’être spirituel et les pieds sont son corps physique. L’être spirituel a des yeux et peut regarder ses pieds dans l’eau. Par contre les pieds, dans l’eau, ne peuvent pas voir le corps spirituel et n’en ont pas conscience. Le corps spirituel peut voir tous les autres corps spirituels autour de lui ainsi que leurs pieds (leurs corps physiques) dans l’eau mais les pieds ne le savent pas puisqu’ils sont cantonnés au monde matériel. Lorsque le corps spirituel décide de retirer son pied hors de l’eau, on appelle cela mourir, et lorsqu’il décide de le reposer dans l’eau on nomme cela naître !
    Cette image nous enseigne ce que nous avons à apprendre : devenir conscient de la totalité de notre être, qui est à la fois matériel et spirituel.
    Aux Etats-Unis, de nombreuses universités ont des programmes de recherches sur les états modifiés de conscience et les techniques de régression dans les vies antérieures sont enseignées officiellement aux médecins et étudiants en médecine. Hélas, la «vieille Europe » est beaucoup plus frileuse pour oser sortir des ornières d’une médecine purement matérialiste et la plupart des Écoles de Médecine sont figées dans le moule chimie-chirurgie-radiothérapie. Les institutions européennes ont de la peine à s’ouvrir aux idées nouvelles. Mais les médecins praticiens, les naturopathes et les psychothérapeutes sont de plus en plus nombreux à apprendre les médecines douces, la sophrologie, l’hypnose, le rêve éveillé dirigé, le chamanisme et toutes sortes d’autres approches qui élargissent le cadre médical conventionnel pour offrir aux patients des outils performants pour mieux gérer leur santé. Ils adhèrent à une vision globale qui ne rejette pas la médecine conventionnelle mais l’inclut dans une réalité plus vaste. Du coup, le patient n’est plus invité à subir passivement les traitements mais à collaborer activement à sa guérison et à son apprentissage de la santé holistique. Au lieu de seulement soigner et effacer les symptômes, le thérapeute devient un éducateur motivé qui cherche à rendre son patient indépendant de lui le plus rapidement possible.
    N’est-ce pas une ouverture vers une médecine plus humaine et plus spirituelle ?

    Réponse
  14. Moi j’ai de l’osteoporose et depuis 10 ans je prend des médicaments. J’aimerais arrêter ces medicaments mais les médecins me déconseillent pourtant je sens qu’ill y a un problème émotionnel sous jascent mais je ne sais pas comment le déceler et surtout comment m’en débarrasser…

    Réponse
    • Il y a un scandale sur la notion d’ostéoporose (le concept même de mesurer la densité minérale osseuse) et il y a beaucoup de choses à dire sur les médicaments contre l’ostéoporose ! Attention, quand on arrête certains médicaments contre l’ostéoporose, les os peuvent devenir extrêmement fragiles ! C’est comme une prise en otage de tes os. J’en reparlerai prochainement !

      Réponse
  15. La médecine conventionnelle a détruit ma santé en ignorant les causes de mes problèmes trop longtemps. Maintenant je souffre, je souffre, je souffre et j’essaie tant bien que mal de réparer les dommages causés cette médecine. C’est révoltant pcq ce sont nos impôts qui payent pour cette médecine de l’enfer.

    Réponse
    • Que t’es-t-il arrivé ?
      Effectivement, la sécu est devenue un organisme de subvention à l’industrie pharmaceutique… c’est le hold-up du siècle !

      Réponse
  16. Je souffre d’un problème mental ( diagnostique : schizophrénie ) et suis  » bourré » de médicaments du genre anxiolytiques , neuroleptiques, hypnotiques ; mais je ne trouve pas la cause de ma maladie . Je crois que je ne guérirai jamais. Que puis je faire pour m’en sortir? Cher Jérémie je vous pose la question . Bien entendu je suis suivi par un psychiatre mais j’ai l’impression qu’il ne sert a rien.

    Réponse
    • Bonjour Hervé,
      Je ne sais pas quelles sont les causes de ta schizophrénie (ou ce qui est diagnostiqué comme tel).
      Je ne sais pas non plus si tous les médicaments que tu prends te font vraiment du bien.
      J’ai eu des retours de personnes qui ont eu de belles améliorations sur leur santé mentale grâce à des changements alimentaires, notamment en retirant totalement produits laitiers et blé. Tu as déjà testé ça ?

      Réponse
  17. Trouver un médecin cherchant les causes de maladie est devenu mission impossible

    Réponse
    • C’est malheureusement exact ! Il y en a quelques uns, il faut bien chercher :)

      Réponse
  18. bonsoir!Voici ce que je vis en ce moment.Un horrible zona me fait souffrir depuis trois semaines.Comme je suis tarologue humaniste,j’ai demandé au tarot de me dire ce qu’il en pensait.Le  » diable  » est sorti,le diable étant l’arcane de feu par excellence et qui PARLE aussi DE PLAISIRS! Je dois bien admettre que je ne m’octroie pas assez de plaisirs dans la vie. (des plaisirs en tout genre!) Pas mal d’ émotions m’ont aussi bouleversées…Tout ce qu’il faut pour faire poindre ce genre de maladie Je dois avoir maintenant la patience que celle-ci s’arrête pour que je puisse enfin prendre soin de moi et écouter mes vrais plaisirs et quel qu’en soit le prix!Dire de temps à autre « j’m’en fou! »est une bonne solution.Je connais les causes de ce zona!Il m’appartient de ne plus vivre ce calvaire.

    Réponse
    • Ok, ça peut être intéressant d’avoir une vision de l’origine symmbolique des troubles de santé. Pourquoi pas !
      Sinon, il y a plein d’approches naturelles qui semblent être efficaces pour diminuer les symptômes du zona (quitte à traiter les vraies causes si on ne les connait pas vraiment). A toi de tester et de voir ce qui fonctionne pour toi !

      Réponse
  19. Bonjour,
    Votre approche est tellement vraie !
    Il y a près de vingt ans, à l’adolescence, j’ai développé différents symptômes : douleurs articulaires, fatigue, maux de tête, troubles digestifs et troubles hépatiques (fortes nausées, céphalées, somnolence après les repas). Au fil des années, les symptômes se sont considérablement aggravés.
    Pour mes troubles hépatiques, on m’a fait des prises de sang et une échographie du foie qui n’ont rien révélé. Sans chercher plus loin, les médecins m’ont annoncé (presque satisfaits) que mon foie allait bien et je suis repartie sans aide. Pour les autres symptômes, les divers examens n’étant pas concluants, on m’a diagnostiqué une fibromyalgie. Pratique, c’est la case où l’on met toutes les personnes avec des douleurs dont on n’arrive pas à déterminer l’origine.
    Il y a environ trois semaines, je suis allée chez une réflexologue pour mes problèmes digestifs. Après un questionnaire global et approfondi sur ma santé ainsi qu’un examen de ma langue, elle m’a dit que je souffrais d’une humidité de la rate. J’ignore s’il existe des analyses médicales qui permettraient de confirmer ce diagnostic mais en faisant quelques recherches, j’ai découvert que l’humidité de la rate peut être responsable de tous les symptômes dont je souffre depuis plus de vingt ans.
    Aujourd’hui, j’ai beaucoup de difficultés à m’alimenter car manger me rend presque systématiquement malade. C’est aussi très dur psychologiquement.
    J’espère encore pouvoir retrouver un jour une alimentation normale mais ça risque d’être très long car on ne m’a prescrit aucun traitement, juste des conseils diététiques (éviter les produits laitiers, l’alcool, le sucre, les aliments crus, etc.) que je suivais déjà pour la plupart, ce qui me laisse peu d’espoir.
    Si seulement tous ces médecins avaient creusé un peu plus et regardé le problème dans son ensemble au lieu d’analyser chaque symptôme indépendamment, je n’en serais peut-être pas là aujourd’hui. Quel gâchis !

    Réponse
    • Fibromyalgie, c’est effectivement un bon fourre-tout qui permet d’éviter de se poser des questions et de réfléchir…
      Ce que t’a dit ta réflexologue, ça ressemble à une approche de médecine traditionnelle chinoise. Je ne suis pas sûr que scientifiquement on parle de rate humide. L’alimentation est effectivement une très bonne piste, mais la liste qu’on t’a donnée est assez incomplète.
      Sinon, ce que tu décris me fait penser à pas mal de symptômes liés au foie et pour lesquels le nettoyage du foie peut être efficace pour le coup (je ne connais pas de « nettoyage de la rate ». J’en parle plus ici : https://www.jeremie-mercier.org/decuplez-votre-energie-grace-au-nettoyage-du-foie/?aff=ug3xen&cpg=5b8c01

      Réponse
  20. 12 ans que je fais des aller retour chez les médecins, que j’en sors avec une ordonnance qui ne résout pas le problème et mon état empire en attendant. Je ne vis plus, je survie. Mon quotidien est difficile et je ne parle même pas de pouvoir réprendre un travail. Maintenant on me propose des anti dépresseurs. La belle blague !!!

    Réponse
    • Oups. Je ne sais pas de quelle problématique tu parles, mais vu ce que tu décris, on est dans le cas typique d’une approche symptomatique et d’un problème dont on ne traite pas les causes. Je te souhaite de déterminer quel est le problème actuel que tu as, quelles sont ses causes et de t’attaquer aux causes. Cela demande d’avoir l’esprit ouvert et de faire son enquête. Ce n’est pas forcément facile et ça peut prendre du temps. Mais c’est avec cette approche qu’on a les meilleurs résultats !

      Réponse
    • Bjr Sissou
      Je ne connais pas votre diagnostic, mais un conseil essayer une consultation auprès d’un hypnothérapeute certifié, voir sur le site Medoucine sur Paris ou Doctolib . La cause de vos problèmes de santé sera mieux cernées. Courage
      Martine

      Réponse
  21. Traité pour des grosses migraines avec du « Zomig » j’ai été reçu par la remplaçante de mon généraliste (absent ce jour là)… Je redemande du « Zomig » n’en ayant plus..elle me dit que je dois prendre ce médicament avec parcimonie..
    Je lui dit que le Dr…me le prescrit depuis des années, avec possibilité d’en prendre jusqu’à 4 par jour…. Ne voulant pas (je pense) dénigrer son confrère, mais son attitude m’a laissé entendre que ce médicament n’était pas anodin. Je suis donc après divers examens,dont un Holter toute une nuit pour surveiller ma tension, suivi et traité pour de l’hypertension sévère (Coaprovel) et je n’ai plus de migraines!! C’est certes un autre médicament, mais grâce à ce changement de médecin, j’ai peut être évité un problème cardiovasculaire ou un AVC. Un professionnel de santé peut lui aussi faire des erreur de diagnostique, grave!!
    PS: L’appareil de controle a montré une tension qui pouvait monter à 16/10….
    Maintenant ma tension est normal.

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    • Merci pour ton témoignage !
      Les médecins ont une obligation de « confraternité », d’où la réponse de la remplacante ;)
      C’est top d’avoir déterminé que l’origine de tes migraines pouvait être liée à ton hypertension, mais ce serait encore mieux de remonter plus loin et de voir pourquoi tu as une hypertension. La plupart du temps, c’est à cause d’une alimentation trop riche en protéines animales !
      A suivre donc, mais comme le Coaprovel comme tous les médicaments, ne sont pas anodins !

      Réponse
  22. Je suis entièrement d’accord avec ce que tu dis, et je me soigne depuis des années en écoutant mon corps me donner des alertes. Malgré cela, il y a parfois des maux difficiles à soigner .

    Réponse
    • Les causes ne sont pas toujours faciles à trouver, et l’approche symptomatique est alors la seule qu’on peut suivre… mais l’idée est au maximum de chercher pour déterminer les causes et traiter les causes ! Bravo pour ta démarche :)

      Réponse
  23. Salut Jérémie ! Le bon Dieu, dans sa miséricorde infinie ne peut pas avoir créé ce monde pour nous avec des maladies incurables. Sinon il ne serait pas vraiment miséricordieux. Quiconque parle de maladie incurable devient consciemment ou inconsciemment l’attaché de presse de l’industrie pharmaceutique. Je connais plus de 100 plantes, herbes, arbres et arbustes qui ont des vertus thérapeutiques incroyables.
    Bien à vous.

    Réponse
    • Merci Christian pour ton message.
      En tant que scientifique, je n’aime pas utiliser des arguments qui font intervenir un Dieu quel qu’il soit, je préfère me baser sur mes observations et sur les résultats d’études scientifiques de qualité quand elles existent. J’ai observé que la bonne alimentation (parfois des changements radicaux) et effectivement l’utilisation de certaines plantes pouvaient avoir d’excellents résultats, chez certaines personnes, pour des maladies normalement considérées comme « incurables ». Donc, effectivement, plein de choses sont possibles et ça me remplit d’espoir :)

      Réponse
  24. Bonjour,
    je connais cela avec un souci qui est apparu pour la deuxième fois : un lichen.
    Celui-ci étant mal placé (génital) il entraine des douleurs de frottement très gênantes et pas réellement faciles à vivre.
    Ce qui est prescris dans ce cas est une crème à base de corticoïdes (CLARELUX). Impossible de savoir auprès de mon médecin ou dermatologue l’origine de cette maladie apparemment auto-immune.
    Je ne leur jette pas la pierre car moi même je ne comprends pas pourquoi je l’ai. Autant à le première apparition oui car je n’avais pas une bonne hygiène de vie. Mais depuis août 2019 je pratique le jeûne alternatif de 16H (et une fois par semaine 24H), je ne mange quasiment plus de sucre, je me fais chaque jour un jus de légume à l’extracteur, je mange des produits bio etc etc…17kg en moins, en grande forme et avec pleins de petits soucis qui ont disparus dont en septembre 2019 le lichen. J’en étais ravi.
    Et depuis 3 semaines c’est revenu ! Mon grand souci mis à part le fort désagrément procuré par les douleurs aux frottements, c’est de ne pas comprendre le pourquoi. Et la médecine à ce sujet est fort dépourvue et ne sais quoi me dire.
    Bien à vous.

    Réponse
    • Merci pour ton retour Stéphane,
      Je suis d’accord qu’on ne sait pas forcément toujours le pourquoi. Mais revoir son hygiène de vie comme tu l’as fait permet de s’attaquer aux causes les plus courantes de nos problèmes de santé : notre alimentation inadaptée.
      Donc, déjà c’est top ce que tu as fait car tu règles déjà pas mal de causes possibles avec ton changement d’alimentation !
      Ensuite, quand on ne connait pas la cause, par défaut c’est possible de passer à l’approche symptomatique, mais c’est souvent plus intéressant de la faire avec des produits naturels, genre huiles essentielles (bien choisies, avec discernement, etc.).
      Enfin, pour les maladies « auto-immunes », certains disent que ça peut être une histoire de parasites.
      Et pour le lichen plan, il semblerait aussi qu’il y ait des histoires de foie à régler.
      Donc, je serais tenté par une approche nettoyage du foie + cure des reins + cure antiparasitaire comme j’en parle ici : https://www.jeremie-mercier.org/fb-boostez-votre-energie-nettoyage-du-foie-inscription/?aff=ug3xen&cpg=5b8c01
      Tant qu’on n’a pas trouvé… il faut continuer de chercher !
      Bon courage et bonnes expérimentations !

      Réponse
  25. Bonjour, je me suis retrouvée un jour pleine de fièvre et très fatiguée mais je n’avais pas d’endroit précis où la douleur aurait pu me conduire à dire je souffre de ça. Mon médecin est venue me voir 4 fois sur la semaine et m’a prescrit des dagalgan 1gr pour la t°car j’allais de plus en plus mal et je dormais tout le temps tellement j’étais fatiguée. A la 5ème fois elle à demandé à mon mari d’appeler l’ambulance. Arrivé à la clinique, j’étais complètement déshydratée et je n’avais plus assez de potassium. Après avoir fait un scanner complet, on m’a trouvé une bactérie infectieuse dans les intestins. Là la galère a commencé car aucun antibiotique ne faisait effet et mon taux de CRP était très élevé. Puis un assistant a demandé au médecin pour qu’on me prescrive un antibiotique en poudre dans une petite bouteille et que normalement on mélange avec du sérum physiologique mais qui coûte très chère. On me l’a donné en poudre avec un verre d’eau et miracle j’ai commencé à avoir un CRP qui commençait à baisser et pour finir qui m’a guérit. J’ai été malade en vacance en Tunisie car la grippe courrait dans l’hôtel et évidemment je l’ai attrapé et le médecin de là m’a prescrit un antibiotique de chez eux qui m’a retapée assez vite. Les médecins belges m’ont dit que j’avais attrapée cette bactérie à cause des mauvais antibiotiques que j’ai pris en Tunisie. Du coup, je me retrouve avec une liste d’antibiotiques que je peux plus prendre. J’ai gardé des séquelles car régulièrement j’ai des douleurs exactement au même endroit et ça fait un œdème par moment et je suis obligée à retourner en clinique pour me soigner. Ils ne comprennent pas pourquoi et moi encore moins mais lorsqu’on me fait une colonoscopie, ils me mettent au régime une semaine avant l’examen quand moi je ne ressens plus rien alors ils me disent quils ne trouve pas mais mon CRP ne monte pas pour rien? Et il n’y a que là que j’ai mal. Je ne comprends plus rien et se n’est pas à cause des aliments car je notais tout ce que je mangeais ou buvait et ça m’arrivait comme ça alors que j’avais mangé plusieurs fois les mêmes aliments sans rien avoir. Je suis complètement perdue car c’est de plus en plus souvent et j’ai beaucoup de problèmes d’intestins. Rien qu’en décembre, j’ai eu 4 fois la gastro-entérite. J’ai eu un by-pass par agrafes et tout a sauté et j’ai fait une péritonite. 6 mois plus tard on me faisait un vrai by-pass relié aux intestins en tout j’ai été ouverte de la poitrine jusqu’au dessous de mon nombril 7 fois et chaque fois pour différentes raison et la dernière à été très loin car j’ai eu 2 gros abcès à la cicatrice pleine de pus et on m’a mis sous un appareil qu’on appelle un vac avec des mèches spéciales. Il à fallut des semaines pour en venir à bout. Maintenant quand je m’abaisse, mes intestins sortent en forme de boule que je remets moi-même avec mes doigts mais quand ça se passe, je crie un coup tellement ça fait mal et j’ai difficile à respirer jusqu’à temps que j’arrive à rentrer tout et à masser. Voilà ce qu’il m’arrive et personne ne sait quoi faire ou me dire ce qui se passe malgré de nombreux examens. Bien à vous

    Réponse
  26. Lorsque que j ai fait un burn out , on m ‘a prescrit un médicament le Risperdal! Sans avertissement sur les effets secondaires de la médications. Parkinson sévère durant 3 ans! Aujourd’hui guérison totale grâce à ma neurologue . La cause à effet !!

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    • Oups. Les effets secondaires du médicaments ont été diagnostiqués comme étant du Parkinson ? C’est dingue… En tout cas, on retire la cause, et MAGIE, les symptômes disparaissent ! Bravo à votre neurologue qui a fait preuve d’intelligence pour vous sortir de ce piège médicamenteux !

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