Iatrogène : le mot qui coûte la vie à près de 70 000 personnes par an !

par | 15 Nov 2016 | Actualités, Non classé | 65 commentaires

L’origine d’une hécatombe qu’on te cache 

 

Dans un e-mail précédent, tu as découvert le mot “holistique”, ou la manière de considérer un sujet sous tous ses angles.

Tu as pu voir que ce mot s’opposait complètement à la médecine d’aujourd’hui (je la qualifie de “moderne”, “classique” ou “conventionnelle” de façon indifférenciée) qui vise à cacher les symptômes plutôt qu’à les guérir.

Si seulement c’était l’unique problème de la médecine “moderne” ! 

Mais tu t’en doutes, c’est loin d’être le cas !

Car oui, dans un instant, tu vas voir qu’en France, certaines pratiques provoquent des dizaines de milliers de morts par an…

Des morts dues à des maladies et effets dits iatrogènes.

(Oui, tu ajoutes un nouveau terme barbare à ton vocabulaire.)

Mais tu dois te demander : quel est (encore) ce mot obscur ?

Voici quelques explications :

Iatrogène vient de iatros (médecin) et de genês (engendrer).

Iatrogène veut donc dire : qui est provoqué par le médecin.

Le Larousse donne cette définition :

“Se dit d’un trouble, d’une maladie provoqués par un acte médical ou par les médicaments, même en l’absence d’erreur du médecin”. [1]

Pour faire simple : le mot iatrogène désigne les effets indésirables suite à des décisions de médecins.

Mais attends. Tu es en train de me dire que les professionnels de santé censés me sauver… peuvent me rendre malade ?

C’est plus compliqué que ça.

La médecine conventionnelle a aussi des avantages ! Elle peut être très efficace dans des cas d’urgences et de traumatismes physiques par exemple.

Pour autant, les effets iatrogènes de la médecine conventionnelle sont très nombreux, mal chiffrés et sous-estimés.

Evidemment, le système de santé veut garder une bonne image, donc il va minimiser et même cacher ces effets !

Au détriment de la santé de la population… Au détriment de TA santé.

Pour que tu comprennes mieux l’ampleur du problème, commençons par…

 

Les 3 effets iatrogènes les plus connus et responsables de près de 70 000 morts par an

 

1. Les infections nosocomiales

Oui, encore un terme “savant”. 🙃

Ce sont les infections qui se produisent à l’hôpital.

En France, selon l’Inserm, elles représentent 750 000 infections et 4 000 décès par an. [2]

750 000 infections. Soit plus de 1 % de la population française infectée à l’hôpital. Chaque année.

 

2. Les effets indésirables des médicaments

Bernard Bégaud est médecin et professeur de pharmacologie à l’Université de Bordeaux. Il a été entendu comme témoin dans le procès du Mediator.

Voici ce qu’il dit : les médicaments causeraient au moins 18 000 morts par an en France. [3]

Le problème avec les cachets que tu prends ? Certains mélanges ont des effets peu connus et souvent explosifs.

D’ailleurs, si tu prends régulièrement des médicaments, tu ingères certainement des molécules nocives pour ton corps… A la fin de cet e-mail, tu trouveras un moyen de t’en débarrasser.

 

3. Les erreurs médicales à l’hôpital

Encore une statistique qui fait peur…

Selon Claude Rambaud, auteure du livre “Trop soigner rend malade” :

1 personne hospitalisée sur 300 décèderait d’une erreur médicale. [4]

Et ce chiffre effarant concerne les pays développés !

En France, ça correspond à 43 000 décès par an.

Les chiffres ont l’air irréels, et pourtant… 😵

Si tu ajoutes les données des 3 causes précédentes, tu conclus que la médecine conventionnelle cause pas loin de 70 000 morts par an en France.

C’est une vraie hécatombe !

Et à côté de ça, les médias te bassinent en permanence avec le Covid, le terrorisme ou encore les accidents de la route…

Pourtant, ces effets iatrogènes devraient être un sujet d’actualité brûlant.

Pour comparer, voici des statistiques sur d’autres causes de mortalité :

Attentats : 263 morts entre 2012 et 2019 ; [5]

Accidents de la route : 3 239 morts en 2019 ; [6]

Covid : 30 661 morts entre le 1er mars et le 1er septembre 2020 (chiffre hautement sujet à caution et largement surestimé, je reviendrai dessus ultérieurement). [7]

Soit dit en passant, à propos du Covid : le gouvernement impose des mesures “sanitaires” aux effets iatrogènes gravissimes (dépression, suicide, sédentarité, perte de lien social)… et pourtant non pris en compte actuellement. [8]

 

Les effets iatrogènes sont un enjeu majeur de santé publique… et sont bien plus répandus que tu ne le penses

Bien sûr, il ne s’agit pas de minimiser les autres causes de décès.

Mais ça met les choses en perspective. Tu dois comprendre que les effets iatrogènes sont inconnus du grand public alors qu’ils représentent une cause majeure de mortalité et de maladies.

Ils peuvent même atteindre les finances des personnes concernées !

Par exemple, il y a des pays (notamment les Etats-Unis) où les soins sont payants ou mal remboursés. Là-bas, des personnes vendent leur maison ou s’endettent pour tenter de soigner (de façon conventionnelle) une maladie “grave”, et c’est considéré comme “normal”.

Ce phénomène, c’est la pauvreté iatrogénique (pauvreté causée par le coût de l’intervention médicale).

Heureusement, cette pauvreté iatrogénique atteint pour le moment relativement peu les français.

Je pense que tu commences à bien comprendre les problèmes de la médecine “moderne”.

L’idéal serait que le constat s’arrête là.

Mais il y a beaucoup d’autres effets iatrogènes moins connus qui créent aussi de sérieux problèmes de santé…

En voici 5 que tu ignores sûrement, et qui risquent de te concerner tôt ou tard.

 

1. Le dépistage et le surdiagnostic des cancers

Les surdiagnostics peuvent mener à des surtraitements… avec des conséquences graves.

C’est par exemple le cas des cancers inoffensifs… Eh oui, même si le mot “cancer” fait peur, il est fréquent d’avoir des cellules cancéreuses en soi, qui ne posent aucun problème !

Le dépistage de cancers – c’est-à-dire chercher un cancer chez une personne ne présentant aucun symptôme – mène effectivement trop souvent à des opérations chirurgicales ou des chimiothérapies lourdes et inutiles.

Les patients subissent les effets néfastes de ces pratiques… alors qu’ils auraient pu être évités !

Finalement, dans ces cas, les personnes survivent à leurs traitements plutôt qu’à leur cancer !

Tu peux en savoir plus dans les interviews que j’ai faites de :

  • Gérard Delépine, cancérologue, et Cécile Bour, radiologue et présidente de l’association “Cancer Rose”, sur le scandale du dépistage organisé du cancer du sein ; [9]

 

  • Gérard Delépine sur le non-sens du dépistage du cancer de la prostate. [10]

 

2. Les séquelles liées aux rayons dans les traitements des cancers

C’est un double problème :

1. C’est une thérapie dont l’efficacité est souvent limitée : par exemple, elle contribue à l’effet abscopal [11,12] (quand les cellules non irradiées présentent des effets de la radiation) ou peut causer une lymphopénie [13] (nombre de lymphocytes (= globules blancs) inférieur à la normale) ;

2. Elle est douloureuse et dangereuse : elle a de nombreux effets secondaires, tels que des problèmes de peau, une perte de poils et de cheveux, de l’anémie, de la fatigue, des nausées et vomissements, etc. [14]

Finalement, il arrive souvent que le patient souffre voire décède des suites du traitement, et non pas du cancer.

C’est glauque…

 

3. Les problèmes de santé liés à la pilule contraceptive

Rends-toi compte : 4 femmes sur 10 prennent la pilule. [15]

Et les risques de maladie sont multiples : cancers, embolie pulmonaire, phlébite, dépression, risque accru de maladies cardiovasculaires… Ce sera le sujet d’un prochain e-mail.

Encore plein de joyeusetés…

 

4. Les complications liées à l’accouchement

Tu l’ignores sûrement…

Mais le problème, c’est la position allongée.

Pourquoi ?

Cette position favorise les douleurs et augmente l’emploi de la péridurale.

La péridurale ralentit le “travail”… ce qui favorise logiquement le recours à la césarienne.

Une méthode plutôt barbare de donner la vie alors qu’on pourrait faire plus simple, plus physiologique et plus agréable pour tout le monde…

 

5. La création de maladies psychiatriques

Eh oui, comme s’il manquait des maladies sur notre planète, certaines personnes ont décidé d’en inventer de nouvelles !

Tu te demandes ce qui pousse des médecins à se casser autant la tête

La réponse (attention ça fait froid dans le dos) :

Pouvoir développer de nouveaux traitements.

Les psychiatres ont une sorte de bible : le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders).

Cet ouvrage catégorise les “maladies mentales” et leur associe un traitement… Avec des médocs bien sûr !

Mais il est très critiqué : il serait un prétexte pour prescrire des médicaments souvent dangereux, aux effets indésirables, et pour des “troubles” qui n’en sont pas… [16]

 

Les antibiotiques médicaments, c’est pas automatique !

Tu l’auras compris : un vrai problème se cache derrière le mot méconnu “iatrogène”.

La médecine conventionnelle présente de gros défauts.

Et qui est-ce qui trinque ?

Oui, c’est bibi !

Pour éviter ça, voici les conseils à retenir :

Évite de prendre des médicaments : limite-toi à ceux qui te sont réellement indispensables ;

Soigne ton hygiène de vie pour être en bonne santé : nourriture saine, “cures de santé”, extériorisation des émotions, voir la vie du bon côté… ;

Débarrasse-toi des résidus de médicaments en nettoyant ton foie.

C’est d’une logique implacable : les gens en bonne santé vont rarement voir un médecin.

Alors, que penses-tu de ces effets iatrogènes ? As-tu déjà été affecté(e) par l’un d’eux ?

Est-ce que les médicaments sont automatiques pour toi ?

 

Jérémie

PS : Partager ton expérience permet d’aider ceux qui connaissent le même problème… C’est donc très important ! 


Sources :

[1] Définitions : iatrogène – Dictionnaire de français Larousse. https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/iatrog%C3%A8ne/41322

[2] Infections nosocomiales. Inserm. Published February 1, 2015. https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/infections-nosocomiales

[3] Les médicaments causent “au moins 18 000 morts par an en France.” Le Monde. Published May 27, 2013. https://www.lemonde.fr/sante/article/2013/05/27/les-medicaments-causent-au-moins-18-000-morts-en-france_3418273_1651302.html

[4] Mari E. Erreurs médicales : « Il faut faire tomber l’omerta ». Le Parisien. Published November 23, 2017. https://www.leparisien.fr/societe/erreurs-medicales-il-faut-faire-tomber-l-omerta-23-11-2017-7409418.php

[5] Feertchak A. Depuis 2012, 263 personnes sont mortes dans des attentats islamistes en France. Le Figaro. Published October 7, 2019. https://www.lefigaro.fr/international/depuis-2012-263-personnes-sont-mortes-dans-des-attentats-islamistes-en-france-20191007

[6] Ministère de l’Intérieur. Les chiffres de la sécurité routière en 2019 : des résultats consolidés en métropole, la nécessité d’une action résolue dans les outre-mer. Interieur Gouv. Published February 1, 2020.  https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/Communiques/Les-chiffres-de-la-securite-routiere-en-2019-des-resultats-consolides-en-metropole-la-necessite-d-une-action-resolue-dans-les-outre-mer

[7] COVID-19 : point épidémiologique du 3 septembre 2020. Santé Publique France. Published September 3, 2020. https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-3-septembre-2020

[8] Rancourt D. All-cause mortality during COVID-19: No plague and a likely signature of mass homicide by government response. ResearchGate. Published online June 2, 2020. doi:10.13140/RG.2.2.24350.77125

[9] Mercier J. Dépistage organisé du cancer du sein : inutile et dangereux ! Published October 14, 2018. https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/

[10] Mercier J. Dépistage du cancer de la prostate : le grand mensonge ! Published September 23, 2019. https://www.jeremie-mercier.com/depistage-cancer-prostate-grand-mensonge/

[11] Mukherjee S, Chakraborty A. Radiation-induced bystander phenomenon: insight and implications in radiotherapy. Int J Radiat Biol. 2019;95(3):243-263. doi:10.1080/09553002.2019.1547440

[12] Marín A, Martín M, Liñán O, et al. Bystander effects and radiotherapy. Rep Pract Oncol Radiother. 2014;20(1):12-21. doi:10.1016/j.rpor.2014.08.004

[13] Kleinberg L, Sloan L, Grossman S, Lim M. Radiotherapy, Lymphopenia, and Host Immune Capacity in Glioblastoma: A Potentially Actionable Toxicity Associated With Reduced Efficacy of Radiotherapy. Neurosurgery. 2019;85(4):441-453. doi:10.1093/neuros/nyz198

[14] Société canadienne du cancer. Effets secondaires de la radiothérapie. https://www.cancer.ca:443/fr-ca/cancer-information/diagnosis-and-treatment/radiation-therapy/side-effects-of-radiation-therapy/?region=qc

[15] Rouden E. La contraception en France en 10 chiffres. Femina. Published September 26, 2018. https://www.femina.fr/article/la-contraception-en-france-en-10-chiffres

[16] Kelland K. New mental health manual is “dangerous” say experts. Reuters. Published February 9, 2012. https://www.reuters.com/article/us-mental-illness-diagnosis-idUSTRE8181WX20120209

65 Commentaires

  1. Coucou quand on a fait un infarctus avec grosse nécrose, bonne récupération au bout de 4 mois avec casi arrêt du traitement auquel je ne crois pas, puis rechute (taticardie ventriculaire) cette semaine. Ressortie avec un lourd traitement et grosse culpabilisation des médecins, je fais comment ?

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    • Bonjour Laurent, je ne sais pas quoi vous répondre. Un infarctus indique qu’un problème dans le mode de vie (au sens très large) était présent. Je ne sais pas si le traitement post-infarctus était inutile comme vous le pensez, mais s’il y a tachycardie ventriculaire, c’est que tout n’a pas été réglé, ou que les dégâts liés à l’infarctus nécessitent malgré tout un traitement, ou d’autres changements dans votre mode de vie – toujours au sens très large – que ceux qui ont été faits. Bonne recherche et bonne expérimentation !

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  2. J’a subi un triple pontage coronarien en urgence en juin dernier.
    C’est la radiothérapie pour mon cancer du sein, effectuée il y a 6 ans, qui a endommagé mon cœur.
    Probablement un surdosage de rayons…

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  3. Effet iatrogène d’une biopsie du sein : j’avais connaissance par le toucher d’un petit nodule dans mon sein gauche depuis début 2017. Une IRM thoracique pratiquée en janvier 2020 pour pneumopathologie (en fait, le SARS-cov-2 à ses tout débuts, nié par les médecins puisque la ministre de la Santé d’alors avait dédaigneusement affirmé que ce qui arrivait à ces pauvres italiens du Nord n’arriverait en aucun cas en France) l’a mise en évidence médicalisée, ainsi qu’un autre petit nodule dans un quadrant opposé ; ce qui a conduit les médecins à me proposer une biopsie. J’ai fini, de guerre lasse, par accepter en janvier 2021. Suite à cet examen invasif et agressif, les deux nodules, caractérisés comme malins, de stade I, ont doublé de volume en moins de trois mois, alors qu’ils dormaient depuis au moins quatre ans.
    Depuis, j’ai trouvé le courage et la présence d’esprit de refuser la tétralogie délétère de la médecine officielle : mutilation, empoisonnement chimique, irradiation, hormono-“thérapie”. Pour combien de temps ? je ne le sais.
    le diagnostic, opéré au prix d’une aggravation, m’a du moins permis de faire des recherches et tenter d’autres méthodes de soin que cette tétralogie. Ce n’est pas le lieu ici de les exposer. Comme ce sont des méthodes que les instances sanitaires refusent de prendre en considération (pas assez coûteuses, peut-être), et que l’omerta qui les frappe est de plus en plus féroce, j’erre seule sur Internet à la recherche de confirmations ou de confrontations. Tout au plus puis-je supposer que ces méthodes semblent avoir freiné l’évolution de la maladie.
    Une chose est sûre : je n’accepterai plus aucun examen invasif et déséquilibrant au nom d’un diagnostic ouvrant à mon cas les portes des statistiques officielles…

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  4. Oui, très malheureusement, ma fille ainée a des lésions cérébrales suite à un accouchement trop long (33 heures de contractions pour finir avec une césarienne, ma fille ayant le cordon ombilical entouré autour du cou) et par la suite la vaccination a aggravé son cas, donc depuis je la soigne beaucoup par les plantes et les huiles essentielles et nourriture saine. On a eu le covid toutes les 2 en septembre avec très peu de symptômes, elle encore moins que moi mais j’ai encore beaucoup à apprendre… merci pour ce partage de connaissances !

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    • Merci et bonnes découvertes dans le chemin de la réappropriation de votre santé à toutes les deux !

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  5. Bonjour. En 2015, mon mari a été diagnostiqué avec un cancer à la vessie, stage 4. On lui a enlevé 3 tumeurs dont une maligne. On lui a proposé chimeo, radio. et traitement BCG à base du bascillus de la tuberculose. Il a refusé tous les traitements et a plutôt choisit d’éliminer le sucre(il avait la dent sucrée) – sucre qui acidifie le système. Il prenait le soir avant de dormir, 1 c.à Thé de soda avec une c.à thé de mélasse ou sirop d’érable dans un grand verre d’eau c pendant 1an et demi, mais depuis à tous les 2 soirs. Cystoscopie tous les 3 mois depuis 2015 = pas de cancer. Y’a pas un médecin qui lui aurait suggéré cela – il n’y a pas d’$$ à faire avec ce traitement naturel. Passez le mot, amis mondiaux de la nature. Pas besoin de big pharma.

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    • Génial ! Bravo pour ces changements simples qui ont eu des résultats impossibles avec l’approche médicale actuelle ;)

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    • j adore, à rependre sur la toile et partout. I faut ralentir big prout au max. les petits cours d’eau font les grandes rivières

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  6. bonjour Jérémy, je connaissais ces mots….cela va faire trente que je ne prend aucun médoc,évidement aucun vaccin,j’ai 74 ans…tout va bien,argile…. le matin a jeun, méditation matin et soir,acupuncture,philosophie yoga…
    que la vie te soit douce

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  7. Il y a quelques années je me suis retrouvée aux urgences pour une grosse douleur dans le dos et des fourmillements dans les pieds qui ne passaient pas. Les urgentistes m’ont perfusée et je me suis sentie « planante ». Quelques examens plus tard ils ont décidé de mon hospitalisation en service de neurologie. Mon état empirait. J’avais des sueurs froides, je n’arrivais plus à marcher, la paresthésie s’était étendue sur mes deux jambes, et j’avais des difficultés de concentration. J’ai rencontré le médecin très inquiet de n’avoir rien trouvé jusqu’ici. Incompréhension. Il faut dire qu’à 22ans j’avais développé une méningite lymphocytaire (auto-immune soignée par cortisone c’est une plus longue histoire encore) 3 mois après une vaccination. Voilà qui me rappelait donc de mauvais souvenirs. Mais je n’ai pas cédé à la panique. C’est à ce moment là, seulement, que j’ai regardé la nature du produit perfusé. Du Tramadol. J’ai regardé sur mon portable les effets secondaires du médicament. Bingo. Tout y était. C’est vrai qu’une semaine plus tôt, pour ce fichu mal de dos, le remplaçant de mon généraliste m’avait aussi prescrit du Tramadol en comprimés. Je ne connaissais pas ce médicament et l’avais pris en toute confiance. Lorsque j’en ai parlé à l’équipe médicale, ils m’ont dit que ça ne pouvait pas être ça. Mais ils n’avaient pourtant aucune autre explication. J’ai arrêté le traitement de moi-même tout en étant hospitalisée. J’ai ressenti un effet de manque très fort. J’ai été un zombie pendant 3 jours puis mon état est revenu à la normale. Vous pouvez rentrer chez vous, circulez, il n’y a plus rien à voir. Fin de l’histoire. J’ai été hospitalisée une dizaine de jours. Cette expérience m’a donné une bonne leçon. À présent je demande que l’on m’explique chaque stratégie thérapeutique. Et cela m’a conduite vers d’autres rebondissements, hélas :)

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    • Quelle aventure ! Bravo d’avoir réussi à faire cela toute seule, et presque contre le corps médical, qui vous aurait empoisonné sans sourciller (« on suit le protocole »). En tout cas, c’est effectivement une bonne leçon pour la suite !

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  8. La pillule contraseptive que j’avais prise en Australie. J’ai risqué d’y passer au milieu de la nuit. Mon coeur s’est arrêté et puis est repartit. Ce n’était pas la première fois mais on se dit qu’on a rèvé. Heureusement que je travaillais la nuit, sinon je ne l’aurait jamais su. Je l’ai dit au gynéco et de me changer de pillule x contre y, ce qu’il a fait sans état d’âme particulier. 10ans, plus tard, en Suisse où je réside désormais, je remarque un petit article au coin d’un journal, la pillule x est retirée du marché(quelques cas d’insuffisances cardiaques.) Elle était également vendue dans d’autres pays tels que ABC et en Australie sous le nom de x. Voilà l’histoire, on n’est pas là pour dire des mensonges et puis, il y a prescription. Je me souviendrai toujours de cette femme de médecin qui avait déjá 3 enfants qui est tombée devant nous tous, morte au super-marché son panier à la main. On n’a pas fait d’autopsie mais pendant des années on s’est répèté qu’elle était en pleine forme….

    Réponse
    • L’industrie pharmaceutique et la médecine tuent énormément de personnes chaque années, mais sont très fortes pour le cacher.
      Le mieux est d’éviter au max ces industries ultra corrompues qui se fichent de la santé des gens et apprendre par soi-même comment être en pleine santé, et ne recourir aux solutions efficaces (il en existe quand même) de ces industries qu’en dernier recours ;)

      Réponse
  9. Pour « reprendre sa santé en main », je conseille à tous le FABULEUX Système Norbekov
    (Méthode d’Auto rétablissement de la santé et de la vue), encore peu connu en France.
    Présentation de Norbekov et du travail énergétique proposé :
    Lien du replay https://www.youtube.com/watch?v=ruhYHg7xKag

    Selon la Médecine Ancestrale, la maladie n’existe pas en elle-même ; ce qui la provoque est un profond désaccord entre notre corps, nos émotions et nos pensées. Dans la mémoire du corps, il y a un modèle de santé idéal que chaque personne peut activer en suivant un algortihme très précis. Un algorithme à travers lequel chacun peut, par des gestes conscients, influencer les processus inconscients, dont le fonctionnement cellulaire et organique ! L’organisme a de telles forces de régénération qu’il est vraiment dommage qu’elles restent inutilisées.

    Comment devenir son propre médecin. Une belle pratique de Médecine quantique !
    Améliorer sa vue et restaurer sa santé | Eva Beltant

    Et pour vous mettre l’eau à la bouche, voici un exercice de gym articulaire.
    Gym curative, avec essorage des tissus : micro-mouvements qui activent tout le
    système circulatoire, chassent la lymphe et renforcent les tendons et ligaments https://youtu.be/DGPeziQMrRU

    Réponse
  10. Bonjour Jérémie,
    Personnellement, je n’ai eu a subir les effets iatrogene. Par contre la mère qui est décédée au mois de mai dernier, je suis pratiquement sûr, qu’elle a subie cet effet. Moi par contre je je vais pas souvent chez le médecin, c’était aussi le cas de ma mère mais je pense qu’il faut être très attentif et faire très attention.
    Victoire

    Réponse
    • Décès suite à quel type d’intervention ou traitement du coup ?

      Réponse
  11. Merci Jérémie pour tes vidéos.
    Il y a belle lurette que je suis très méfiante avec les médecins et l’apothéose de cette méfiance est ce qui se passe en ce moment avec la covid. Si je n’ai pas peur de ce truc je suis terrifiée par la tournure que prennent les décisions politiques en France. Continue à nous faire rêver des bord de la Baltique.
    Je reste très intéressée par le nettoyage du foie

    Réponse
    • Merci ! Ici c’est incroyable la vie sans aucune restriction « Covid »… espérons que ça dure.
      Le nettoyage du foie, c’est vrai que c’est un protocole assez fou, avec plein de supers bons résultats. J’adore !

      Réponse
  12. Je suis d’accord qu’il faut privilégier la prévention et l’hygiène de vie et éviter la surconsommation de médicaments. Néanmoins n’oublions pas que notre médecine et notre confort de vie actuels nous ont quand même permis d’augmenter notre longévité de nombreuses années. Tout n’est pas à jeter.
    Et puis que proposes tu comme alternative à la pilule contraceptive ? Ce n’est pas parfait loin de là, mais on est quand même bien contents de pouvoir bénéficier de cette liberté qu’elle nous procure.
    Par contre je suis totalement d’accord concernant le surdépistage du cancer. Je me suis fait poser un harpon dans le sein, sous anesthésie bien sûr, pour faire une biopsie d’une soi-disant tumeur qu’on n’a jamais trouvée ! Et lors de la radio suivante du sein, elle avait disparu ! Peut-être et même sûrement jamais existé. Pour la prostate j’ai moins d’avis, n’ayant pas été confrontée au problème et ne l’ayant pas étudié.
    Pour ce qui est de la crise du covid, je suis bien sûr effarée par la gestion de celle-ci, le remède nous étant proposé (enfermements, vaccins…) est bien pire que le mal. Mais là nous dépassons le domaine de la médecine pour entrer dans celui de la politique et des gros sous.

    Réponse
    • Ce que tu dis au début est exactement la croyance que l’industrie médicale veut que tu aies. Minimiser l’intérêt de l’amélioration des conditions de vie, d’hygiène et l’augmentation du confort de manière générale.

      La pilule génère bcp de pbs. Préservatifs sont ce qu’il y a de moins problématiques pour ceux qui veulent faire simple. Après, il y a aussi la symptothermie.

      Merci pour ton partage sur ce « harpon » suite à un dépistage de cancer du sein. On est dans le délire avec ces pseudo-dépistages.

      Sur le cancer de la prostate, c’est encore pire : https://www.jeremie-mercier.com/depistage-cancer-prostate-grand-mensonge/

      Pour les histoires de Covid, on va encore plus loin dans le délire effectivement… et c’est pas fini !

      Réponse
  13. Bonjour Jérémie
    Oui, j’ai subi des effets iatrogènes au cours de ma vie. Le plus important est mon accouchement, en décembre 1987 – c’est surtout ma fille qui a trinqué : forceps et certainement d’autres grandes souffrances car cela a duré une dizaine d’heures, avec trois injections de péridurale à cause de l’accueil horrible, à 4h du matin, alors que j’étais assez sereine en ayant commencé la respiration apprise pendant la préparation (avec l’intention d’éviter la péridurale, justement). Cela a irrité la sage-femme qui m’a mise en attente dans ma chambre sans me dire quand j’en sortirais, car mon col n’était quasiment pas ouvert. J’ai été si contrariée qu’il est resté à 1 alors que je commençais à avoir des contractions importantes et que j’avais perdu les eaux à 3h. Du coup, ils m’ont administré le produit pour accélérer les choses et j’ai échappé de peu à la césarienne ! – puis j’étais tellement sonnée par les injections que j’ai eu un « trou » entre le moment où on m’a séparée de ma fille, vers 15h30, et le lendemain 6h quand on me l’a ramenée en râlant parce qu’elle avait « hurlé toute la nuit » – j’en pleure en y repensant – sans parler de l’épisiotomie – et de la déchirure malgré cela -, et sans parler de l’interdiction ensuite de donner des biberons pendant la première nuit avec le bébé (en complément du lait maternel) – biberons que j’ai été piquer sur le conseil d’une camarade de chambre super sympa. Bref… Puis on m’a recommandé un embout en silicone sous prétexte que j’avais les mamelons trop petits (tu parles !) Mais j’étais seule et paumée alors… Du coup mon bébé a souffert pendant des semaines d’aérophagie à cause de l’appel d’air de cet embout qu’on devait, en plus, tremper dans du désinfectant avant chaque tétée. Pas étonnant qu’elle ait fini par refuser le sein ! Ensuite elle ne supportait pas le lait maternisé. J’ai trouvé comme solution du lait de soja et ça s’est bien passé. C’était il y a longtemps et on pourrait penser que les choses se sont largement améliorées, mais en 2006, je suis allée voir une amie qui venait d’accoucher et ce n’était pas la joie… L’autre effet iatrogène est le reflux gastro-œsophagien survenu suite à un traitement médicamenteux classique pour une gastrite, en 2015. J’avais mangé trop d’ail en poudre pendant un repas hyper-stressant au self de mon boulot (je ne vais pas détailler) et bonjour la brûlure, pendant des jours, d’où ma consultation car je déteste aller chez le médecin et n’y étais pas allée depuis des années ! Depuis, je n’ai plus pris AUCUN médicament et continue de miser sur mon alimentation pour éviter ces désagréments. J’avais en effet déjà un mode de vie assez sain avant 2015 mais après cette malheureuse expérience je l’ai amélioré encore beaucoup, j’ai vu une naturopathe débutante dont un des conseils seulement a été suivi d’effet positif : la prise de gel d’aloe vera le matin à jeun ; mais je dois continuer encore en 2021 car le RGO continue, légèrement, sans jamais avoir été intense certes. Bref je mange essentiellement des produits végétaux de saison, bios, peu de poisson, des œufs rarement, peu de gluten, pas du tout de pain, aucune sucrerie ni plat tout prêt. J’aime éplucher mes légumes et me faire la cuisine – très simplement. Et je me régale ! J’abuse des amandes et des bananes. Je sale très peu. Je ne bois que de l’eau (et des tisanes). Et j’évite tout ce qui me fait du mal, globalement, dans la mesure du possible. L’écriture, le chant, la marche, le contact avec la nature et les animaux, tout cela m’apporte beaucoup. Quant aux relations humaines, elles sont aussi bénéfiques que possible, compte tenu du fait que je n’accepte plus certains compromis m’empêchant de m’écouter, d’être moi-même, ce qui réduit considérablement les fréquentations.

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    • Merci pour ton partage et bravo pour ton parcours !
      La naissance est malheureusement encore trop souvent une épreuve médicale difficile pour les mamans et les bébés. On a même vu récemment des salles d’accouchement où les femmes devaient porter le masque pendant le travail (je ne sais pas si c’est courant ni si ça se fait encore).
      Cependant, les sages-femmes sont en général beaucoup plus aidantes et respectueuses des femmes que les médecins, et on trouve des cliniques ou des petits hôpitaux qui sont de plus en plus respectueux du processus physiologique de l’accouchement. En parallèle des dérives de l’hôpital, il y a des belles choses qui se passent, mais encore à bien trop petite échelle. À bientôt !

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  14. Oui, avec le levothyrox NF, médicament iatrogène. Nombreux patients ont été impactés en 2017, effets secondaires très graves non reconnus par le ministère de la santé et Merck. Avec l’ANSM en procès pénal.

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    • Les autorités de santé nous auraient donc menti et seraient complices des labos ?
      Effectivement, c’est bien ce qui se passe en France et dans la plupart des pays depuis bien longtemps : une corruption systémique du monde de la santé, et un mépris total pour la santé des patients.
      Heureusement, on peut souvent se débarrasser du Lévothyrox avec une hygiène de vie adaptée.
      À bientôt !

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  15. Depuis que j’ai pris du Brexin (molécule Piroxicam) pour une tendinite à l’épaule, j’ai des acouphènes (sifflements dans les oreilles ou la tête en permanence).
    Ça m’empêche de m’endormir et me rend folle nuit et jour…je ne comprends pas comment des médicaments qui affectent à ce point le confort de vie peuvent être prescrits alors que les effets secondaires sont connus.
    J’aurais largement préféré garder ma tendinite.

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  16. J ai tellement d exemples!….entre autres hépatite médicamenteuse et candidoses dues aux antibiotiques, pertes de mémoire liées aux somnifères,
    Récemment lors d’une anesthésie locale un choc à la xylocaine, je me suis tétanisée de la tête aux pieds, j entendais une sirène très fort et ne voyais plus rien. Depuis j ai l’impression de ramer intellectuellement

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    • Waw. Au moins tu connais l’envers du décor…
      Sinon, le nettoyage du foie pourrait aider à récupérer et à remettre ton corps en bon état de marche ?
      À voir.
      À bientôt !

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  17. Non mais j’aurai pu. Heureusement que j’ai écouté mon corps quand on m’a prescrit des antidépresseurs suite à une allergie à la fumée de cigarette (Dieu merci, la loi interdisant de fumer en public est parue 2 mois après) et suite à une allergie à un additif dans le pain ce que bien sûr le médecin refusait de croire (j’ai préféré arrêter le pain et je n’ai plus eu de problème !).
    Je me suis toujours refusé à prendre des antidépresseurs (pourtant prescrits très aisément par les médecins !) et j’ai préféré investiguer plus en profondeur et surtout écouter mon corps… Aux dires du médecin, je suis « impossible à soigner » ! Mais tout va bien, merci !

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    • Bravo pour ces découvertes. Le gluten dans le pain pourrait être responsable de pas mal de problème d’ordre « psy » chez les personnes qui y sont sensibles, donc c’est sans doute un bon choix que d’avoir arrêté le pain ! À bientôt !

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  18. Bonjour, je connais depuis longtemps ce terme et je regarde toujours les effets secondaires des médicaments avant de les prendre. J’avais pris des médicaments pour une dyskinésie vésiculaire (vésicule biliaire) et j’ai eu une cystite. Je ne fais pas le rapprochement tout de suite mais le médecin et moi l’avons fait quand un an après je reprends ce médicament qui m’a provoqué la même infection urinaire. Je me soigne principalement avec l’homéopathie et les huiles essentielles qui ne sont pas neutres non plus. « Plexus solaire » en dose homéopathique m’a provoqué une crise d’angoisse. L’idéal serait de ne rien prendre du tout ;)

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    • Bravo pour cette attention aux médicaments que tu prends. Bonne idée de se soigner avec des approches plus naturelles, plus douces, et avec moins d’effets secondaires. L’idéal est toujours de chercher les causes et de résoudre les problèmes non pas en masquant les symptômes, mais en éliminant la cause, de la façon la plus respectueuse possible pour notre corps :)

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  19. Bonjour Jérémie, (mille excuses pour mon précédent post où j’ai mal orthographié ton prénom… honte sur moi !)
    Je ne connaissais pas ce terme, mais j’ai failli faire partie (ainsi que ma soeur) du scandale du médiator (heureusement pour nous, nous n’en avions pas pris sur du long terme).
    Ma fille adoptive, elle, a subi les conséquences de la Dépakine prise à haute dose par sa mère biologique qui était épileptique.
    Alors je me pose la question : qui doit-on incriminé ? Les médecins pour avoir cautionné cela ? Etaient-ils seulement au courant des incidences de ces médicaments sur la santé ou ont-ils subi eux aussi la « vérité toute puissante » de nos chers laboratoires pharmaceutiques ? Je ne sais….

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    • Pas de souci !
      Pour moi, les médecins qui prescrivent de façon désinvolte des médicaments sans se pencher sérieusement sur leurs dangers potentiels sont coupables. Ils sont fortement manipulés par les labos, mais s’il leur reste une âme, ils doivent toujours s’interroger sur les bienfaits des traitements qu’ils proposent ou non. Attention, un médecin qui commence à se poser de bonnes questions risque de vouloir rapidement changer de métier ! :)

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  20. Bonjour Jérémie, merci pour tes éclaircissements, ça ne fait que confirmer ma démarche de prendre ma santé en main. Pour ma part c’est un vaccin contre l’hépatite qui a provoqué des crises d’urticaire geant jusqu’à œdème , gonflement gorge et évanouissements. Elles deviennent rares depuis que j’ai changé mon alimentation, plus de fruits et de légumes crus, des cures de jeûne régulièrement et dernièrement un processus de 21 jours de nourriture pranique, c’est magique, notre corp regorge naturellement de ressources et à besoin de peu contrairement à ce qu’on nous fait croire. À nous de nettoyer nos émotions pour être moins tenté par la nourriture Merci. Très belle journée . Muriel

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    • Merci pour ce partage Muriel et bravo pour tes résultats grâce à la reprise en main de ta santé :)

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  21. Bonjour Jérémie
    Merci pour cet article extrêmement intéressant. Même si je le savais déjà, ça ne fait que confirmer. Il y a 25 ans, j’ai eu un lymphome assez coriace. J’ai subí d’innombrables chimios (car rechutte), de l’irradiation totale, et une autogreffe de moelle osseuse a été nécessaire pour que je survive. 2 ans après les traitements j’ai pris du poids et ma thyroïde avait forcément diminué, levothyrox à vie, à cause de l’irradiation totale.
    20 ans après on constate une polyneuropathie due aux chimios. Plus une petite fragilité générale due à tous ces produits chimiques. Mais, quand même, sans eux je ne serais plus de ce monde et j’en suis malgré tout reconnaissante.
    Bien à vous et merci pour vos sujets toujours intéressants.

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    • Dans le cas d’un traitement qui n’a pas d’alternative efficace (à voir), il est logique de prendre le traitement, quitte à en subir des conséquences néfastes pour la santé sur le long terme, mais qui évitent de mourir précocement ! On est d’accord sur ce point.

      Réponse
  22. bonjour jeremie,
    j’ai plaisir a lire ton article qui mat des mots savants a mes idees sur la medecine convencionelle et renforce mes convictions.
    personellement je n’ai pas vecu ce genre d’experience mais me suis suffit a entendre toutes sortes d’histoires bizarres chez d’autres.
    je suis une croyante de la medecine naturelle depuis tjs.
    merci
    nathalie

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    • Merci Nathalie ! Et quand on regarde les faits (pas besoin de croire) et on observe souvent les bénéfices des approches naturelles de santé efficaces. et intelligentes ;)

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  23. 100% d’accord … comment lutter contre ?
    la médecine moderne est la norme : forts lobby, remboursée par la sécu, formation des médecins, etc.

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    • Commencer par en prendre conscience, savoir utiliser son discernement pour éviter d’en être victime et savoir reprendre sa santé en main avec les bonnes infos et les bons outils :)

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  24. Salut Jérémie, Merci beaucoup pour ton article très enrichissant.

    Oui j’ai vécu des effets iatrogènes suite à ma prise d’antidépresseurs pendant 3 ans, ils m’ont provoqués des troubles mentaux pendant toute la durée de mon traitement.
    Tu as été le déclic qui m’a permis de décider d’arrêter ces médicaments :) je te remercie énormément pour cela Jérémie ! :)

    J’ai une question suite à ton article : ma copine prend la pilule contraceptive, il faut donc que je lui conseille d’arrêter ?

    Merci.

    Réponse
    • Merci pour ton retour Arthur. Les médicaments psychotropes font partie des plus gros scandales (non médiatisés) de l’industrie pharmaceutiques.
      Bravo d’avoir réussi à t’en libérer !
      Pour la pilule contraceptive, les effets sur la santé ne me paraissent pas géniaux. Mon assistante recherche avait fait une revue de la littérature scientifique sur le sujet, et il y avait une augmentation significative du risque de pas mal de problèmes de santé avec la pilule. On fera un article de blog là-dessus.
      Aujourd’hui, la méthode de contraception la plus simple et sans risque pour la santé de chacun des partenaires reste le préservatif, sinon pour les plus avancés il y a la méthode « symptothermique ».

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      • Merci de ta réponse Jérémie, je vais en parler à ma copine

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  25. Merci pour ta réponse avec la vidéo du dentiste toulousain. Les conséquences latrogenes des 11 amalgames dentaires. Après un bilan énergétique de la méthode mora, j’étais pour ainsi dire branché au radar de francasal à l’époque pendant une vingtaine d’années. Donc j’ai du me trouver un dentiste qui veuille bien le faire à cause de la déçu. Malgré la prise de chlorella et spiruline pendant plus d’une année j’en ai eu des séquelles musculaires (fybromialgie) que j’ai traité avec un protocole de la revue alternative santé. Les douleurs ont presque disparu 2 semaines plus tard. Je vais donc me renseigner auprès de ce dentiste. Le problème pour moi est que ces thérapeutes sont gourmands dans leurs tarifs. Donc j’ai accepté des appareils avec du métal et cela ne me convient pas du tout. Merci pour cette bouffée d’oxygène. Maryline Pouderoux

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    • Merci pour ce retour. Quel type de protocole as-tu suivi et qui ont permis de faire partir les douleurs de fibromyalgie en 2 semaines ?

      Réponse
  26. Mon mari était un très bel homme. Quand on lui a diagnostiqué un cancer (prostate) il a fait confiance à la médecine malgré mes mises en garde. Il a fait chimio sur chimio. A la 5ème il a dû arrêter. On lui a proposé un nouveau protocole qu’il a accepté. Il est mort 15 jours pus tard.
    Il était devenu un vieillard. Il a voulu se faire soigner dans les règles et il est mort aussi dans les règles.

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    • Le dépistage et les traitements du cancer de la prostate sont un vrai scandale, qui mutilent et tuent inutilement de nombreux hommes. Se soigner dans les règles aujourd’hui pour pas mal de maladies revient à signer son arrêt de mort ou à accepter de nombreuses mutilations à venir. J’espère vous aider à échapper aux griffes d’un système médical largement corrompu, dont une grande partie nuit beaucoup plus aujourd’hui à l’humanité qu’il ne lui est utile.

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  27. Il y a de nombreuses années de cela, je prenais un médicament dont je ne me souviens plus du nom… (douleurs arthrosiques)
    En résumé : je m’apercevais que j’avais de plus en plus de difficultés pour uriner. Ce fut d’abord progressif…
    Je pensais que c’était une nouvelle maladie qui arrivait…
    J’étais à ce moment là (et je le suis toujours) abonnée à une revue médicale (l’ancêtre d’Alternative santé).
    Un soir, je lis (dans la revue) la liste des effets secondaires graves de certains médicaments. L’un d’entre eux indiquait qu’il entraînait des hospitalisations en urgence pour le phénomène décrit ci-dessus. Je fis un bond dans mon lit.
    J’ai arrêté immédiatement de prendre le médicament et tout est rentré dans l’ordre. Depuis ce jour avant de prendre un médicament je lis en large et en travers les notices et d’une manière générale je ne prends plus de médicaments car la liste des effets secondaires est telle que je me tourne vers d’autres médecines.

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    • Merci pour ce témoignage. C’est une bonne chose que cet événement vous ait « réveillé » et donné l’occasion d’aller vers une approche plus naturelle de la santé. A bientôt !

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  28. c’est un vrai sujet .

    Traité pour une Mici par de l’humira durant 2 ans, j’ai déclaré 8 effets secondaires dont 6 ont été retenues par l’agence du médicament.
    En testant les intolérances alimentaires et en changeant du coup d’alimentation ( blé, lait, amandes, algues) j’ai retrouvé la santé et une pêche perdue pendant 5 ans.
    Alors oui, l’alimentation est importante et oui les médicaments peuvent tuer.
    Et c’est bon pour la santé et celle de la sécu.( humira = 1000€ par mois)
    Vous pouvez aussi chercher à comprendre pourquoi le traitement du pr Raoult à 30 € a suscité une levée de bouclier ….
    Bon appétit et bio.

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    • Bravo pour cette prise de conscience et ces changements ! Le système de santé actuel a été pris en otage par l’industrie pharmaceutique, qui a endoctriné les médecins qui sont devenus ses commerciaux (sans s’en rendre compte pour la plupart). Ca demande une sacrée ténacité pour sortir de cet enfermement et retrouver la voie de la santé, par des approches naturelles de bon sens adaptées à sa problématique. Pour la plupart des gens qui ont une MICI, ça va être l’enfer à vie s’ils font confiance à leur gastroentérologue.
      Un traitement peu cher et efficace a peu de chances d’être médiatisé et mis en avant car il ne profite pas à l’industrie pharmaceutique, tout simplement !

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  29. Bonjour Jeremy,
    Je connais ce mot puisque je vis en Grece.
    Il y a quelques annees ai fait une tuberculose assez grave, ayant ete a l’hopital les medecins voulaient absolument me soigner a la penicilline. Le hic est que je suis allergique j’ai recu des antibiotiques moins puissant qui m’ont provoques d’autres problemes plus genants. Ai abandonnes medecins hopitaux et suis rentree chez moi, apres beaucoup de recherche sur des revues medicales et parlant avec des medecins et trouve deux antibiotiques naturels a la portee de tous. Degoutant a avaler pour l’un mais efficace contre tous les microbes. Je l’utilise aussi comme inflammatoire pour l’un. Medicaments chimique loin de moi.
    Bonne continuation Jeremy

    Réponse
    • Merci pour ce retour. Je ne suis pas un expert de la tuberculose et je ne sais pas quels protocoles sont habituellement utilisés pour cette maladie. Quel sont ces antibiotiques naturels qui ont été efficaces chez toi ? A bientôt !

      Réponse
  30. Après un grave accident (piéton contre voiture :( ) et beaucoup d’antibiotiques, j’ai développé une fragilité qui me fait avoir des micoses dès que je prends, à nouveau, des antiotiques ou que je stress un peu trop…
    Je n’avais pas pas de nom à mettre sur ses effets indésirables provenant de la médecine, maintenant c’est fait !
    Merci Jérémie pour tes lumières bienveillantes :)

    Réponse
    • Merci pour ton témoignage et ravi de t’aider à mettre des mots là où il en manquait ! Après, la bonne nouvelle c’est que peu de choses sont irrémédiables et irréparables, en particulier quand on rentre dans une démarche « holistique » de santé :)
      A bientôt !

      Réponse
  31. Mille mercis Jérémy,
    De la gratitude pour la poursuite de ton travail, un courriel avec la vidéo que je m’empresse de partager autour de moi.
    Reçois mon soutien inconditionnel.
    Je suis en jeûne hydrique pour le moment et dès que je peux je commence une cure de foi.
    Guy

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    • Merci beaucoup Guy ! Bonne fin de jeûne et bon nettoyage du foie :)

      Réponse
    • Oui beaucoup suite a mes 3 accouchements par césarienne j,en soufre. Les douleurs intenses au niveau du bas du dos. À bientôt

      Réponse

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