Octobre Rose : pourquoi ce mouvement se paye ta tête ?

par | 25 Sep 2018 | Actualités | 125 commentaires

L’arnaque derrière le dépistage du cancer du sein

Julie a 50 ans. Julie est heureuse dans sa vie. Elle a un mari, deux enfants et un travail qu’elle aime. Elle passe beaucoup de temps avec sa famille, mais elle a toujours un moment de libre pour sa passion : l’athlétisme. Elle adore courir. Elle enfile ses chaussures de sport au moins deux fois par semaine pour faire un footing. En plus, c’est bon pour la santé. D’ailleurs, Julie est en très bonne santé. A 50 ans, elle peut faire des semi-marathons et elle tombe rarement malade. Bien sûr, il lui arrive d’avoir un petit rhume, mais jamais rien de bien méchant. D’ailleurs, son entourage est surpris par sa vitalité… Tout comme son médecin traitant. Bref, Julie est heureuse. Mais Julie est aussi une femme. Et elle tient à ce que les femmes aient de meilleurs droits et vivent leur vie au mieux. C’est pour ça qu’il y a deux jours, elle a couru dans le cadre de l’opération Octobre Rose. Octobre Rose, elle trouve que c’est très important. Car cette opération permet de récolter des fonds pour mieux combattre le cancer du sein. Toutes les femmes devraient pouvoir guérir de cette terrible maladie. Donc si elle peut aider les femmes et courir en même temps, Julie dit oui ! En parlant de cancer du sein, Julie doit se rendre à son rendez-vous pour se faire dépister. Cet examen est une chance et Octobre Rose milite pour que chaque femme à partir de 50 ans puisse faire ce dépistage gratuit qui sauve tant de vies.  Elle est sûre d’elle car elle est en pleine forme. Tout son entourage la rassure. Car évidemment, Julie stresse un petit peu. Mais c’est important. Elle l’entend partout (il n’y a pas que Octobre Rose qui le dit) : il faut se faire dépister régulièrement. Elle arrive donc chez le radiologue… Et le médecin, très sympathique, lui explique la procédure. Elle place donc son premier sein sur le mammographe. Une deuxième plaque vient compresser le sein. C’est désagréable, mais Julie sait que c’est important pour sa santé. Même procédure avec le deuxième sein. Le médecin inspecte les clichés et tout semble aller pour le mieux. Ouf. Il lui dit qu’elle recevra les résultats chez elle d’ici deux semaines. Julie, très contente, rentre chez elle et oublie rapidement cet épisode. Deux semaines plus tard, elle regarde son courrier et voit la lettre avec les résultats de son dépistage. “Ah oui, c’est vrai !” Elle ouvre la lettre. Difficile de comprendre quelque chose… Mais elle tombe sur ceci :

“problème d’une zone hétérogène sur le sein gauche”

Certes, cette phrase est un peu mystérieuse, mais le mot “problème”, ça elle comprend. Julie rappelle donc le médecin et fait des examens complémentaires. Après ces autres examens, le résultat est sans appel. Julie a un cancer du sein. Plus précisément au sein gauche. “Rien de grave”, lui dit le médecin. “Une opération, une petite chimio et un peu de radiothérapie permettront de s’en débarrasser rapidement.” Après ces traitements, tout de même assez éprouvants, et qui auront duré 6 mois, les médecins lui annoncent finalement qu’elle est sauvée !  Julie a vaincu son cancer ! Mais ce que Julie ignorait, c’est que la radiothérapie qu’elle a subie lui a irradié non seulement le sein, mais aussi certaines coronaires (artères qui vascularisent le cœur). Ce que Julie ignorait, c’est qu’elle aurait vécu longtemps sans être embêtée par ce cancer qui serait resté inoffensif. Mais le “soigner” lui a finalement amené d’autres problèmes plus graves encore (notamment des problèmes cardiaques suite à l’irradiation).  Ce que Julie ignorait, c’est qu’elle s’est fait berner sur toute la ligne avec cette histoire de dépistage de cancer du sein. Scandale auquel elle a contribué sans le savoir !
Toi ou l’un de tes proches a sûrement connu quelqu’un atteint par ce cancer. Et c’est important de mieux comprendre cette maladie et de savoir comment la prévenir ou guérir. D’autant plus que chaque année, tout le monde a le droit à l’opération Octobre Rose. Avec les rubans et les affiches roses à foison…difficile d’y échapper ! Cette opération est simple :  Les femmes courent en rose pour lever des fonds pour la “recherche contre le cancer du sein” et sensibiliser aux mammographies de dépistage. Une mammographie de dépistage est destinée à des femmes sans aucun symptôme. Elle permet de chercher un petit cancer, dans l’espoir de le repérer avant qu’il soit problématique. Dit comme ça, ça paraît génial. Tu te débarrasses du problème avant qu’il soit embêtant. Même la Sécu promeut le dépistage. Elle envoie un courrier tous les 2 ans pour rappeler aux femmes entre 50 et 74 ans de prendre rendez-vous. [1] Aussi, comment se douter que ce dépistage puisse être dangereux ? Pourtant, tu pourrais le savoir… Plusieurs études internationales mettent en lumière l’arnaque du dépistage du cancer du sein. [2-8] Et par la même occasion, la mascarade qu’est Octobre Rose.

Ce dépistage est inutile : voici pourquoi

Le chirurgien et cancérologue Gérard Delépine explique clairement pourquoi ce dépistage est inutile. Tu peux voir dès maintenant cette interview en cliquant sur l’image ci-dessous :  Dans la vidéo, tu découvriras que :
  • Le dépistage du cancer du sein est une loterie dont les femmes sortent statistiquement perdantes ;

  • Le dépistage du cancer du sein augmente les profits de l’industrie du cancer avec la complicité du Ministère de la “Santé” ;

  • Le dépistage du cancer du sein est inutile.

Tu auras aussi des réponses aux questions suivantes :
  • Pourquoi les méthodes de dépistage sont “trop” efficaces ?

  • Pourquoi le dépistage peut mener à un surtraitement ?

  • Pourquoi beaucoup de femmes qui disent avoir survécu au cancer ont en fait survécu au traitement ?
Enfin, tu auras des révélations étonnantes sur :

  • Les raisons pour lesquelles le dépistage du cancer du sein continue à être promu ;

  • La formidable rentabilité des mammographies pour plusieurs professions ;

  • L’arnaque qui se cache derrière Octobre Rose…


Tu dois regarder cette vidéo au plus vite, car tout est fait pour que ce dépistage soit bien vu… Pourtant, un énorme scandale se cache derrière !

C’est peu de le dire !

Et sans cette vidéo, tu vas continuer à t’enfoncer dans des croyances dangereuses

Oh, et sache que les hommes aussi sont concernés par un dépistage de cancer en particulier (ce sera l’objet d’un prochain mail)… Ce problème des dépistages abusifs touche tout le monde !

Alors as-tu vécu une situation similaire à celle de Julie ? Te mobilises-tu pour Octobre Rose ?

Regarde la vidéo sans plus attendre et donne ton avis ! À très vite, Jérémie Sources : [1] Dépistage gratuit du cancer du sein pour les femmes entre 50 et 74 ans. Assurance Maladie. Updated May 10, 2021. https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/cancer-sein/depistage-gratuit-50-74-ans [2] Miller AB, Wall C, Baines CJ, Sun P, To T, Narod SA. Twenty five year follow-up for breast cancer incidence and mortality of the Canadian National Breast Screening Study: randomised screening trial. BMJ. 2014;348. doi:10.1136/bmj.g366 [3] Jørgensen KJ, Gøtzsche PC, Kalager M, Zahl P-H. Breast Cancer Screening in Denmark: A Cohort Study of Tumor Size and Overdiagnosis. Ann Intern Med. 2017;166(5):313-323. doi:10.7326/M16-0270 [4] Baum M. Harms from breast cancer screening outweigh benefits if death caused by treatment is included. BMJ. 2013;346:f385. doi:10.1136/bmj.f385 [5] Gøtzsche PC, Jørgensen KJ. Screening for breast cancer with mammography. Cochrane Database Syst Rev. 2013;(6):CD001877. doi:10.1002/14651858.CD001877.pub5 [6] Gøtzsche PC, Jørgensen KJ. Effect of population-based screening on breast cancer mortality. The Lancet. 2012;379(9823):1297; author reply 1298. doi:10.1016/S0140-6736(12)60039-7 [7] Thornton H. Effect of population-based screening on breast cancer mortality. The Lancet. 2012;379(9823):1296-1297. doi:10.1016/S0140-6736(12)60550-9 [8] Riva C, Biollaz J, Foucras P, Junod B, Nicot P, Spinosa J-P. Effect of population-based screening on breast cancer mortality. The Lancet. 2012;379(9823):1296. doi:10.1016/S0140-6736(12)60548-0
Voici la transcription de mon interview avec Gérard Delépine ci-dessous :

L’arnaque Octobre Rose dénoncée par un cancérologue

Jérémie Mercier : Bonjour c’est Jérémie Mercier, je suis ravi aujourd’hui d’être avec Gérard Delépine qui avec sa femme a écrit le livre « Cancer : les bonnes questions à poser à votre médecin », ainsi que d’autres livres, une petite série quand même, je mettrai les noms dans la vidéo. Donc je suis aujourd’hui avec Gérard Delépine pour parler notamment du cancer du sein parce qu’il y a Octobre Rose qui va bientôt arriver. Donc une grande opération de communication sur l’importance du dépistage automatique du cancer du sein. Ça se fait depuis 1985 aux États-Unis. C’est arrivé un petit peu plus tard en France. Et j’aimerais un peu voir quel est l’intérêt ou pas ? Quels sont les bénéfices et quels sont les inconvénients de ce type de campagne. Et donc ma première question déjà pour Gérard Delépine est la suivante : Donc vous vous avez été cancérologue ? Gérard Delépine : Chirurgien et Cancérologue. Jérémie Mercier : Est-ce que vous pouvez parler en quelques minutes de qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce que vous avez découvert et où est-ce que vous en êtes aujourd’hui par rapport au cancer et en particulier par rapport au cancer du sein ? Gérard Delépine : Oh, moi je n’ai rien découvert dans ces domaines. J’ai simplement fait la littérature. Jérémie Mercier : D’accord un état de l’art en fait.  Gérard Delépine : C’est l’état de la science, l’état actuel de la science.  Jérémie Mercier : Recherche bibliographique. Gérard Delépine : Recherche bibliographique assez exhaustive et malheureusement autant quand  j’étais jeune, je croyais aux vertus du dépistage parce qu’il est extrêmement logique de chercher les cancers les plus petits possible car on sait que les plus petits donnent les meilleurs résultats. Du moins c’était vrai dans les années quand j’ai commencé, dans les années 70. Depuis qu’il y a de la chimiothérapie, depuis qu’il y a la radiothérapie et depuis que l’imagerie médicale a fait des progrès considérables, les choses ont complètement changé et actuellement il faut d’abord rassurer les gens : on guérit en moyenne entre 80 et 90% des malades qui souffrent d’un cancer du sein. Les seuls qui posent problème, ce sont les métastatiques, qui heureusement sont quand même relativement rares. Jérémie Mercier :  D’accord. Gérard Delépine :  Et depuis qu’on a ces méthodes de traitement modernes, le dépistage n’a plus aucun intérêt. Jérémie Mercier : Ok ! Alors pourquoi est-ce qu’il n’a plus d’intérêt et par rapport aux méthodes de dépistage modernes ? Gérard Delépine : Ce n’est pas par rapport aux dépistages modernes. Jérémie Mercier : Plus exactement, par rapport aux technologies modernes plutôt. Gérard Delépine : C’est simplement parce que avant on ne savait pas traiter les gros cancers alors que maintenant, on sait les traiter avec des chances de guérison tout à fait favorables. Jérémie Mercier : D’accord. Gérard Delépine : Et que deuxièmement les méthodes de dépistage sont devenues trop efficaces. On découvre beaucoup de petits cancers, qui en fait n’auraient jamais ennuyé le malade de sa vie durant. Elle avait un cancer et elle l’ignorait, et ce cancer, elle l’aurait ignoré toute sa vie. Elle serait morte avec son cancer, mais pas de son cancer et malheureusement quand on dépiste, personne n’ose ne pas traiter et donc le dépistage est un gros inconvénient, parce qu’il entraîne des traitements. Et ces traitements ne sont pas anodins. Et ces traitements peuvent même tuer les gens. La chimiothérapie très rarement mais une à deux fois pour cent tue le malade. L’hormonothérapie qui est un traitement excellent dans certaines formes de cancer du sein entraîne des complications osseuses et peut entraîner des phlébites et peut également tuer la malade. La radiothérapie qui est un traitement essentiel du cancer du sein, malheureusement quand elle est du côté gauche, elle irradie non seulement le sein, mais aussi ce qu’il y a derrière : le cœur et surtout les petites artères qui nourrissent le cœur : les coronaires. Et elle augmente considérablement le risque de faire plus tard, cinq, dix, quinze ans plus tard une coronarite autrement dit un infarctus et d’en mourir. Autrement dit tous les traitements qui sont indiqués, à juste titre, dans certaines formes de cancer du sein ont des inconvénients, et lorsqu’on fait un traitement pour une maladie qui met en jeu la vie, on gagne quelque chose pour le malade, mais lorsqu’on fait un traitement inutile on lui fait perdre des chances, c’est ce qu’on appelle le surtraitement. Jérémie Mercier : D’accord, donc pour résumer, en fait les méthodes de dépistage, d’imagerie médicale en particulier sont tellement efficaces qu’on découvre donc des petits cancers qui pour certains n’auraient pas évolué. Quel est le pourcentage de petits cancers qui n’auraient pas évolué par rapport à … ? Gérard Delépine : Ces petits cancers dormants, c’est-à-dire qui n’évoluent pas… Jérémie Mercier : Sans symptômes, sans… Gérard Delépine : Qu’on n’a aucun moyen malheureusement de diagnostiquer, par aucun moyen technique, microscopique, chronomosomique et tout ce que vous voulez inventer, on ne sait pas les reconnaître de ceux qui vont évoluer. Leur taux dépend un peu des études. Les plus optimistes et c’est ce qu’il y a dans l’INCa, l’Institut National du Cancer, ils disent que c’est très rare, que c’est 10 à 15%. Certaines séries américaines disent que c’est 40 %. Autrement dit, beaucoup de gens qui se croient avoir été guéris grâce au dépistage de leur cancer, ont en fait survécu uniquement au traitement qu’on leur a imposé inutilement. Jérémie Mercier : (rires gênés) Ils ont pas survécu au cancer mais ils ont survécu au traitement ! Gérard Delépine : Et ils ont perdu le sein à cette occasion et cetera. Jérémie Mercier : Alors maintenant, la question qu’on peut se poser du coup c’est pourquoi est-ce qu’on promeut ce type de dépistage malgré cette abondance de surdiagnostics ? Gérard Delépine : Alors c’est un problème politique et financier. C’est d’abord un problème politique. Jérémie Mercier : (ironique) Ah bon ? Gérard Delépine : Oui parce que les organisations qui sont pour la médecine sociale et pour le droit des femmes disent : « C’est la seule politique spécifiquement dédiée aux femmes que l’on peut leur proposer, c’est le seul avantage qu’on leur donne ». Drôle d’avantage que de perdre son sein inutilement, mais bon ! Chacun voit midi à sa porte et nos politiques ont dit ça, clairement : « Il faut sauver le dépistage parce que c’est la seule chose que l’on peut offrir aux femmes actuellement ». Et puis malheureusement il y a aussi le poids des lobbys. Malheureusement le cancer tue beaucoup de gens mais il en fait vivre également beaucoup plus. Et les mammographies sont une activité extrêmement rentable, la chimiothérapie, les tests, les chirurgiens qui font des chirurgies reconstructives, tous ces gens-là vivent bien du cancer et en particulier des cancers de dépistage qui sont les plus petits et les plus faciles à traiter, puisqu’ils n’ont pas besoin d’être traités. Et donc malheureusement cette dépense qui peut être évaluée entre un milliard, et un milliard et demi par an n’est pas perdue pour tout le monde. Lorsque j’avais essayé avec un ancien directeur de l’INCa d’aborder le problème du dépistage en lui disant « Mais Monsieur, les statistiques actuelles, en particulier la grande étude canadienne qui montre que ça n’apporte aucun gain en survie d’être dépisté ou pas ». Il m’a tout de suite arrêté en disant « Attention Delépine ! Il n’est pas question de toucher au dépistage du cancer du sein ». Jérémie Mercier : Ah oui, c’est sacré. En fait, c’est même presque tabou même ! Gérard Delépine : C’est un tabou.  Jérémie Mercier : On ne peut pas remettre en question quelque chose, ni même étudier l’intérêt que ça pourrait avoir sur les gens. C’est de base positif. Gérard Delépine : En France, vous êtes exclu de la bonne société du cancer si vous osez dire que le dépistage est dangereux ! Heureusement, il y a quand même certains épidémiologistes français qui ont eu le courage, eux n’ont pas le poids du lobby médical sur le dos facilement, et puis Il y a beaucoup d’études en Amérique où les choses sont plus ouvertes, à l’étranger et aux Pays-Bas, au Danemark, et heureusement la médecine est mondialisée et donc, toutes ces connaissances et toutes ces études sont disponibles pour tous si on les creuse. Jérémie Mercier : C’est-à-dire qu’en France, on a moins de liberté de pensée d’un point de vue médical par rapport au cancer en tout cas. Gérard Delépine : Nous sommes réellement dans une tyrannie totale en France, puisque maintenant ce ne sont plus les médecins qui décident des traitements, mais c’est l’État, par l’intermédiaire de l’Agence Régionale de Santé. Jérémie Mercier : D’accord. Gérard Delépine : Et qui décide si vous êtes autorisé à traiter telle ou telle maladie. Des gens qui ne connaissent rien à la médecine. Jérémie Mercier : D’accord, en fait c’est devenu bureaucratique quelque part. Gérard Delépine : C’est totalement bureaucratique. C’est la raison pour laquelle la santé va si mal. Et j’ai bien peur que le « Grand Plan Santé » de notre ministre Buzyn qui a été annoncé aujourd’hui ne fasse que rajouter une couche de bureaucratie aux multiples couches qui existaient avant. Et donc de décourager un peu plus les médecins de travailler. Jérémie Mercier :  Et alors qu’est-ce qu’on peut en penser maintenant d’ Octobre Rose donc, cette manifestation qui est très mise en avant chaque année, avec toutes ces femmes qui vont courir en rose, faire des semi-marathons ou je ne sais quoi pour rapporter de l’argent ? Qu’est-ce qu’on peut penser de ça ? Est-ce que ça a un intérêt ou pas ? Gérard Delépine : Pour les malades ça n’a strictement aucun intérêt et ça me fait énormément de peine de voir ces femmes qui sont bien intentionnées, qui croient pouvoir faire quelque chose, qui sont trompées, on se moque d’elles, on les fait courir pour une mauvaise cause et c’est totalement désolant de promouvoir actuellement le dépistage alors que, toutes les données médicales sérieuses récentes. Je ne parle pas de ce qui a été fait il y a 25 ou 30 ans à l’époque on n’avait pas de traitement, il faut bien voir que les choses ont évolué. Mais toute l’analyse médicale actuelle montre que le dépistage est plus nuisible qu’utile aux femmes. Le nombre de mammectomies, d’ablations du sein a augmenté depuis le dépistage. Contrairement à ce qui est marqué dans toutes les affiches : « Faites-vous dépister et vous perdrez pas vos seins ». C’est un mensonge. Jérémie Mercier : Donc c’est le contraire qui se passe en fait ! Gérard Delépine : C’est le contraire qui s’est passé et pas seulement en France, dans tous les pays et en Amérique aussi il y a des livres qu’ont été écrits là-dessus par des professeurs d’université, pas par des olibrius dans leur coin qui ont cru ça. L’étude canadienne, qui est une étude universitaire par l’université de Toronto faite à la demande du gouvernement canadien pour savoir si c’était utile a conclu que le dépistage ne sauvait aucune vie, puisque la survie des malades qui n’étaient pas dépistés était la survie globale j’entends, quand on regarde à 25 ans sur les quarante cinq mille malades de part et d’autre : combien sont toujours vivantes. Il y a davantage de vivantes chez les femmes qui n’ont pas subi de dépistage. (référence de l’étude : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3921437/) C’est quand même angoissant, et je ne parle pas bien entendu des mammectomies où il y a eu 20% de plus chez les femmes qui sont dépistées. Donc toutes les données sérieuses sont à l’encontre du dépistage, mais on continue.  Jérémie Mercier : D’accord. Est-ce que ça pourrait avoir un lien avec le fait qu’Octobre Rose a été créé initialement par des entreprises, notamment AstraZeneca qui est connue pour avoir commercialisé le tamoxifène qui est un antiœstrogène qui était prescrit en masse pour le cancer du sein ? Gérard Delépine : Il est certain que les grandes entreprises du médicament ont tout à gagner d’un dépistage qui donne donc des surdiagnostics, des diagnostics de cancer histologiquement vrais, mais qui ne sont pas des cancers évolutifs, parce qu’on consomme après des médicaments, puisqu’on les traite tous ces malades. Donc « Big Pharma » gagne beaucoup avec Octobre Rose, c’est évident ! Mais c’est plus que ça, c’est tout un ensemble d’associations qui sont en général payées par le gouvernement ou subventionnées par le gouvernement. Et on a l’impression de faire quelque chose d’utile. Malheureusement, tout ça est lié à une désinformation du public. Je ne dis pas un manque d’informations ! C’est une désinformation du public et si on donnait aux femmes à qui on propose le dépistage les chiffres vrais comme les suisses le proposent actuellement. Ils donnent les chiffres vrais. Jérémie Mercier : Avoir accès à l’information ! Gérard Delépine : Si on a accès à l’information, les femmes ne seraient pas dépistées et le gouvernement doit être assez conscient de l’affaire, parce qu’il faut que nos concitoyennes sachent que lorsqu’elles vont voir un médecin qui leur dit : « Vous devez aller à la mammographie parce que vous avez l’âge d’aller à la mammographie » – je parle bien de dépistage systématique chez des gens qui n’ont aucun signe – ce n’est pas du diagnostic précoce pour quelqu’un qui a un signe, il faut faire des mammographies quand on a des signes – mais je parle de quelqu’un, qui en parfaite santé, qui n’a aucun signe, et qui va aller se faire faire une mammographie  pour faire du dépistage. Eh bien, cette malade, cette personne-là se met en danger. C’est ça qu’il faut éviter, il faut qu’elle sache, que le médecin qui lui conseille de se dépister touchera une prime, parce qu’il aura rempli son « Objectif Prioritaire de Santé » décidé par le gouvernement. Que si le médecin est obéissant, il touche de l’argent qui pouvait aller jusqu’à dix mille euros par an. Jérémie Mercier : C’est ça que je pense que la plupart des patients n’ont absolument pas conscience. C’est que le médecin est encouragé financièrement par l’État à inciter ses patients d’aller se faire dépister pour le cancer du sein. C’est bien ça hein ? Gérard Delépine : Parfaitement, et c’est absolument dramatique car, si une action de santé était utile et indiscutablement utile, tous les médecins la conseilleraient. Donc, il n’y a aucune raison de lui donner de l’argent. Donc, si le gouvernement donne de l’argent à des médecins pour les inciter à dépister, c’est que l’intérêt du dépistage est douteux. Je pense qu’il faut que les gens le sachent. Jérémie Mercier : Donc finalement, ce qu’on peut dire par rapport à Octobre Rose, donc qui arrive très prochainement, c’est que finalement c’est une arnaque ! Gérard Delépine : C’est une totale arnaque. Et c’est vraiment triste pour ces pauvres femmes qui y croient, qui sont sincères ! J’en ai vu plusieurs et ça me fend le cœur. Jérémie Mercier : Puis moi je pense, malheureusement, alors je ne sais pas si c’est de la naïveté ou simplement le fait que les gens n’ont pas accès à l’information et se posent pas plus de questions que ça mais, courir pour Octobre Rose, faire des dons pour Octobre Rose, tout ça c’est vraiment, c’est contre vous! Enfin, les femmes font ça contre elles finalement. Gérard Delépine : Absolument ! Jérémie Mercier : Elles  financent quelque chose qui va être défavorable à leur santé, à leur vie, mais par contre qui va favoriser grandement les vendeurs de Big Pharma, de mammographie… Gérard Delépine : … les radiologues, les radiothérapeutes, Jérémie Mercier : Par contre les radiologues sont très contents effectivement. Gérard Delépine : Les chirurgiens aussi font des reconstructions du sein, c’est quand même un business beaucoup plus rentable puisque les reconstructions n’étant pas aux tarifs de la Sécurité Sociale… Jérémie Mercier : On peut se faire plaisir là. Gérard Delépine : On peut se faire plaisir ! Jérémie Mercier : D’accord, ok, donc voilà ! Gérard Delépine : Octobre Rose est quand même utile à un certain nombre de personnes. Jérémie Mercier : C’est ça, d’accord. Donc c’est pas utile pour les femmes, les patientes. Gérard Delépine : C’est nuisible pour les femmes en bonne santé, pas pour des patientes. On les transforme en malades. Jérémie Mercier : Elles se transforment en malades, ok ! Donc du coup, voilà en tout cas donc c’est hyper important de prendre conscience, de vraiment faire vos recherches, je vais faire une autre vidéo sur Octobre Rose en particulier, mais c’est une des grosses arnaques desquelles il faut vraiment se défaire aujourd’hui, et si vous regardez cette vidéo aujourd’hui donc, surtout aucun don à Octobre Rose, n’allez pas courir pour Octobre Rose et essayez de transmettre cette information autour de vous parce que ce n’est juste pas possible de continuer comme ça, il y en a marre qu’en 2018 on en soit encore à ce niveau-là par rapport au niveau de la médecine. Gérard Delépine : J’ajouterais juste une petite chose qui est destinée à nos politiques : il y a dix ans la représentation nationale s’était émue du fait qu’on pousse sur le dépistage et qu’il n’y ait strictement aucune évaluation du dépistage. Chaque année vous avez un opuscule qui fait environ 100 pages qui font le point du dépistage et je le regarde chaque année avec intérêt, et je ne vois jamais de résultats. Dire qu’on nous dit : « Attention, on a fait de gros progrès sur la technique de dépistage. Attention, il faut faire le truc tous les six mois plus un jour, ou tous les six mois moins un jour ». Mais, rien sur « combien on a fait de mammographie, combien on a sauvé de seins, combien on a sauvé de vies », ce qui est quand même la base principale. Les Canadiens ont fait cette étude à la demande du gouvernement canadien ils ont conclu que ça servait à rien. Il est quand même triste que la France n’ait pas fait l’équivalent alors que nous avons une Sécurité Sociale qui permettrait de savoir exactement qui a fait les mammographies et qu’est-ce que ça a donné. Jérémie Mercier : Parce que c’est très suivi, très fiché tout ça. Gérard Delépine : Totalement fléché. Jérémie Mercier : Et est-ce que au Canada du coup ça a changé la politique de santé ? Gérard Delépine : Je ne sais pas. Jérémie Mercier : D’accord. Gérard Delépine : Je n’en sais rien, je ne crois pas. Jérémie Mercier : D’accord. Mais en tout cas l’information passe, grâce à elle. Ok et je mettrai un lien aussi par rapport à un film qui a été fait par Léa Pool sur l’industrie du cancer du sein, et vous allez voir que ce n’est pas joli joli cette histoire. Bon ! En tout cas, Octobre Rose, énorme arnaque il est temps de reprendre en main votre santé. Ne laissez pas vos seins se faire détruire pour rien et surtout allez chercher les informations par vous-même. Gérard Delépine : Ne faites des mammographies que si vous avez des signes d’appel et non pas parce que vous recevez une lettre et qu’on vous dit que c’est gratuit. Quand c’est gratuit, c’est vous le produit. Jérémie Mercier : Ok ! C’est très bien dit. Allez merci à bientôt ! Gérard Delépine : À bientôt ! 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125 Commentaires

  1. Bonjour,
    Merci pour ces informations très utiles. À priori ok d’utiliser le dépistage uniquement en cas de symptômes même légers. Je reste cependant perplexe sur la marche à suivre en cas de cancers qui s’avèrent ensuite graves et ne présentant pas de symptômes? (Ou présentant des symptômes quand le cancer est trop avancé et que c’est trop tard.) Beaucoup de personnes sont dans ce cas-là.
    Avez-vous, ou les médecins que vous interviewé, des conseils ou une marche à suivre dans ce genre de cas?
    Merci beaucoup pour votre retour Jeremie!
    Cordialement,

    Réponse
    • Si symptômes très légers, on ne parle pas de dépistage, mais de diagnostic précoce. Le dépistage, c’est quand on va se faire écraser les seins parce que la Sécu nous a envoyé un courrier, alors qu’on n’a aucun symptôme (même léger).

      Si cancers graves et sans symptômes préalables, le dépistage ne sert pas non plus (voir la vidéo avec Cécile Bour : https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/).

      L’hygiène de vie, en particulier l’alimentation, peut faire la différence. Je l’ai vu à de nombreuses reprises lors de ma formation à l’Institut Hippocrate quand j’étais au contact des curistes qui venaient se soigner. J’ai aussi côtoyé une personne qui s’est guérie de son cancer du sein et a écrit un best-seller outre-Manche sur ce qu’elle a fait. La bonne alimentation clairement change la donne. J’en parle dans cette conférence : https://www.jeremie-mercier.org/inscription-conference-alimentation-vraiment-saine/?aff=ug3xen&cpg=5bb325).

      Bonne lecture, bon visionnage de la conférence, et à bientôt !

      Réponse
      • Merci beaucoup Jérémie pour ces informations utiles et rassurantes donc, avec des pistes de solutions. Je regarderai cela dès que possible. À bientôt,

        Réponse
  2. Un grand merci pour cet article que je vais largement partager autour de moi…
    met pour cause j’ai eu la chance de lire l’article canadien dont vous parlez et ça a été une révélation à un moment crucial pour moi sur le choix que j’ai pu faire en connaissance de cause…
    j’ai été dépisté il y a 8 ans d’un problème au sein après mammographie annuelle à partir de mes 50 ans
    j’ai commencé à comprendre l’arnaque quand après deux radios sur le sein qui présentait un problème on m’a recommandé d’aller dans une clinique privée soignant les cancers, sans rendez vous j’y étais donc deux heures après.
    Cette clinique m’a fait à nouveau une autre radio de chaque sein à peine arrivé alors que j’avais mes précédentes radios datant de quelques heures avec moi, et que je n’avais même pas vu le médecin pour les lui présenter, quel choc !!!
    je me suis dit alors c’est ça la médecine du cancer on te bourre de rayons pour faire du fric sur ton dos !!!
    De suite j’ai compris que le système n’était pas là pour me soigner mais faire du pognon sur ma santé et là j’ai eu un déclic
    Apres avoir vu le médecin de cette clinique qui m’a recommandé une intervention, j’ai décidé que je n’allais pas me laisser berner par ce cirque, j’ai fait des recherches sur internet et je suis tombée sur cet article canadien dont vous parlez, mais par acquis de conscience j’ai juste fait une ponction dans la zone concernée qui s’est révélée négative de cellules cancéreuses, suite à ça terminé, j’ai refusé l’ intervention qui m’était conseillée, et depuis je n’ai aucun regret, mieux encore je suis sereine d’avoir résisté à ces pompes à fric, mais surtout d’avoir sauvé mon sein qu’ils auraient charcuté, depuis je surveille mes seins de temps en temps par palpation et c’est tout, et je ne veux même plus entendre parler de mammographie, me faire écraser les glandes mammaires leur faire prendre des doses de rayons pour faire vivre toute une clique de médecins, hors de question ce sera sans moi et ça m’a libéré d’un stress énorme supplémentaire, je n’y pense quasiment plus
    Le pire à été de faire face à la pression familiale, mari et enfants qui ne comprenaient pas mon choix, et s’inquiétaient, mais là rien ne m’a fait fléchir, j’ai compris que la santé des gens c’est un business et que mon meilleur soin est une vie saine et sportive et de me tenir à l’écart des médicaments et autres saloperie chimiques ce que je fais depuis très longtemps

    J’ai 60 ans je suis en pleine santé, ne vais jamais chez le médecin, et chaque jour je remercie cette chirurgien canadienne d’avoir dénoncé ces abus car ça m’a aidé à faire ce choix important qui sans cela m’aurait entraîné très certainement dans une spirale infernale de soins et qui sait de suites déplorables sur ma santé

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    • Merci pour votre partage, bravo pour vos recherches et pour avoir résisté à la pression familiale (l’ignorance + les bonnes intentions font un cocktail très dangereux…) !

      Réponse
  3. J’ai 72 ans et, il y a 16 ans suite à une proposition de dépistage, le radiologue a voulu me faire une échographie supplémentaire (83€ de ma poche car pas de mutuelle !) car j’avais moi aussi « une masse hétérogène »… Je ne suis pas allée consulter ma gynécologue comme il me l’avait vivement conseillé.
    8 ans plus tard, je me décide à me faire dépister à nouveau dans un département où je venais de me domicilier ; la radiologue me rejoue exactement le même scénario !!
    Je n’ai toujours rien fait et la Sécu. ne m’adresse plus « d’invitation au dépistage » depuis 5 ans…
    Un ami médecin m’a affirmé que la mammographie était plus dangereuse que de ne rien faire.
    Un palpation régulière des seins permet de déceler soi-même un ganglion suspect. Mais il vaut mieux attendre quelques jours avant de se précipiter chez le gynécologue si vous sentez une petite boulle : elle peut disparaître très rapidement !
    (J’ai eu le cas d’un kyste sur un ovaire pour lequel on m’a opérée inutilement : il avait disparu avant l’opération…).

    Réponse
    • Un diagnostic précoce (si symptômes) peut être utile. Un dépistage systématique (pas de symptôme, mais vous avez tel âge, donc c’est parti pour la mammo) est nuisible.

      Effectivement, notre corps peut réparer plein de choses, si on lui en donne l’opportunité (chose non connue par les médecins).

      Merci pour votre témoignage !

      Réponse
  4. Merci pour ces éléments.
    Après avoir participé une ou deux fois à des scéances de dépistage, je n’ai pas vu l’intérêt de donner suite aux envois récurrents de la CNAM.
    Les propositions de dépistage vont directement à la poubelle.
    Mon médecin est surpris de ma bonne santé, j’essaye d’être attentive même si trop souvent, à mon goût, je succombe à quelques sucreries… Je n’ignore pas cependant qu’elles sont plutôt à éviter, la non modération pouvant générer des cancers. Etes vous d’accord avec ce dernier point ?

    Réponse
  5. J’ai découvert vos publications avec la « crise sanitaire » qui m a fait prendre conscience du lobby de Big Pharma. Malgré tout, je n ai pas fait tilt sur ce sujet et récemment j ai eu droit à 2 mammo et 2 radio. Je devrais recevoir une autre « invitation » pour janvier à laquelle je n irai pas. Cependant Jeremie comment peut on apprendre par nous mêmes à nous autodiagnostiquer (palpation…) ? Merci !

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    • Bonjour, je ne sais même pas s’il est prouvé que l’auto-palpation a un bénéfice. Cependant, c’est toujours bon d’être en contact avec son corps et le connaître (sans pour autant flipper au moindre changement). En faisant une recherche sur internet avec les mots clés autopalpation et sein, vous devriez voir des conseils sur comment le faire.
      Sinon, la meilleure prévention est un mode de vie sain, et en particulier une alimentation réellement saine comme présentée ici : https://www.jeremie-mercier.org/inscription-conference-alimentation-vraiment-saine/?aff=ug3xen&cpg=5bb325

      Réponse
  6. Fière d avoir résisté, fière d être toujours vivante ! Très touchée de lire que la surdiagnostication médicale sans plus de succès de guérison a terme est documentée par des études !!! Nous passerons moins pour des abruties .

    Réponse
    • Octobre Rose cherche à faire passer pour des abruties toutes les femmes qui résistent à leur propagande. Pas facile de résister, mais le jeu en vaut la chandelle !

      Réponse
  7. Merci pour cette vidéo, je suis convaincue de cela depuis des années. Malheureusement, il y a 3 ans j’ai découverts moi-même une petite grosseur sur le côté du sein. Après annalyse… « cancer in sutu »des beaux termes pour nous mettre dans le flou mais » cancer invasif » étant plus persuasif, on a fait l’opération. J’aurrais dù subir ensuite la chimio et la radio. J’ai été ferme , j’ai refusé( j’ai vu des amies mourir après des années de traitement. Chaque fois qu’elle reprenaient la forme… annalyses et retraitement. Donc, j’ai refusé les traitements , chimio et radio. Les infirmières m’ont respectée mais m’ont dit que l’on serait toujours là pour moi…. ces jours-ci, 3 ans plus tard, j’ai eu des problèmes de respiration je ne pouvais plus respirer. Déjà avant ma cure pour le foie de JEROME MERCIER Maintenant, je dois aller à l’hôpital faire enlever cette eau. Oui, mais, mon dossier m’a suivi, même si ce n’est pas le même hôpital…ils savent tout de moi. L’électrocardiogramme est bon, donc on
    a l’oeil sur…des métastases de cancer( petites, bien sûr) . On va m’envoyer l’oncolo quand je serai là-bas. C’est Lui qui sait!!! Vais-je sortir de cette orchestration pour ne pas dire protocole en restant ferme comme la première fois? J’ai 75 ans. C’était juste un partage. Merci dem’avoir lue, Andrée

    Réponse
    • Bonjour Andrée, (j’avais zappé votre message)
      Quand on ressent des symptômes qui peuvent faire penser à un cancer du sein, là ça peut être intéressant de faire un diagnostic (très différent du dépistage, qui se fait sur des femmes sans aucun symptôme !).
      On peut à titre personnel préférer des approches alternatives plutôt que la chirurgie, la chimio et les rayons. C’est une décision personnelle. Mais dans ce cas, je pense qu’il est important d’aller vraiment tester des approches alternatives qui peuvent être efficaces, effectivement comme le nettoyage du foie, mais aussi l’alimentation ou encore de nouvelles façons d’envisager son stress et ses éventuelles émotions « coincées ». Vraiment avoir une approche la plus holistique possible.
      Bon courage pour les examens à venir la suite, et je vous souhaite de prendre les décisions qui sont vraiment en accord avec vous !

      Réponse
  8. Je suis d’accord avec votre position et d’ailleurs je m’engueule tous les ans avec ma gynéco car je refuse ce dépistage. J’ajoute que mettre les personnes en bonne santé dans une situation de malade potentiel a certainement un impact psychologique très négatif. Et l’on sait bien à quel point la bonne santé se fabrique aussi dans le mental.

    Réponse
    • Merci pour votre message et bravo !
      Si vous le pouvez, trouvez une gynéco qui ne soit pas dans la propagande… ça vous évitera l’engueulade annuelle !
      À bientôt !

      Réponse
  9. Bonjour,
    Ayant un traitement « médical » pour l’hypothyroïdie durant 4 ans, je ne pouvais pas passer outre les mammographies, etc…
    Depuis 5 ans j’ai repris ma santé en mains, j’ai mis 2 ans à me débarrasser seule de ce traitement polluant, contraignant mais malgré tout confortable. J’ai eu beaucoup de mal à m’en séparer mais maintenant c’est fait et je revis. J’évite et je boycotte la médecine allopathique !

    Réponse
    • Bravo pour avoir réussi à vous débarrasser naturellement du traitement pour la thyroïde. Quels outils avez-vous utilisé pour cela ?
      Maintenant, vous avez aussi compris l’arnaque des mammographies de dépistage aussi. Bravo !

      Réponse
  10. Merci Jérémie pour votre formidable travail de ré-information, indispensable en ces temps de dictature médicale.
    Parce que ma cousine est décédée d’un cancer du sein il y a 20 ans et que ma soeur a eu un cancer du sein, la médecine voudrait m’obliger à faire une Mamo chaque année !
    Cet examen est très douloureux. Comme j’ai été beaucoup irradiée par des radios des poumons dans mon enfance, alors que les appareils nous bombardaient de rayons malfaisants à l’époque (j’ai 62 ans), suite à une primo-infection à laquelle j’ai survécu à l’âge de 2 mois, j’utilise cet argument pour refuser les mammographies annuelles : mes seins ont déjà été bien trop irradiés, Stop ! J’accepte de faire des échographies mammaires, indolores, chaque année.
    J’ai changé de région récemment et ai du entendre à nouveau le discours culpabilisant de ma nouvelle gynécologue et du nouveau radiologue consultés. Mais je résiste !
    J’ai même réussi à trouver le courage de demander un tablier protecteur pour mes seins lors d’une radio dentaire récemment. La dernière fois que j’avais osé demander ce tablier chez un autre dentiste, ce dernier m’avait fait une colère impensable, m’accusant de ne pas lui faire confiance et me répétant qu’il savait ce qu’il avait à faire. Mon nouveau dentiste, plus jeune, a immédiatement accepté sans faire d’histoires. Cela va m’encourager à renouveler ma demande lors d’une prochaine radio.
    Mesdames, vos seins vous appartiennent ! Protégez-les ! Ne vous laissez plus mener en bateau.
    Portez des soutiens-gorges sans baleine. La meilleure prévention du cancer est l’alimentation (peu ou pas de laitages, peu de sucre), l’exercice physique et la gestion du stress (par le yoga, le Qi Gong ou la méditation par exemple). Je vous souhaite une bonne santé en 2021 !

    Réponse
    • Bravo pour votre démarche ! Attention tout de même à l’échographie des seins, qui si elle n’émet pas de rayons dangereux pour les tissus, peut elle aussi détecter des « cancers » très petits, inoffensifs, et donc aussi mener au surdiagnostic et au surtraitement.
      La meilleure solution est toujours la prévention, que le dépistage n’est pas.
      Enfin, je vous conseille de changer de médecin et de gynéco et de trouver des soignants qui s’intéressent vraiment à votre santé ! Ils sont rares mais ça vaut le coup de les chercher ;)

      Réponse
  11. Bonjour Jérémie ,
    J’ai « obéi » aux dictacts de mammographies obligatoires 2 fois ! Ils m’ont tellement fait mal en recommençant 4 fois que je n’y suis plus retourné depuis ! Mon médecin me dit : » Est si vous avez un cancer du sein ??? » je lui ai répondu : » Je verrais à ce moment là , pour l’instant tout va bien !!! » et ça fait 10 ans que je déchire la feuille de rappel quand je la reçois !!!!
    Quand à l’enrichissement de BIG PHARMA , c’est une évidence pour moi !
    A bientôt pour des retours sur ma cure antiparasitaires + reins + foie !!!

    Réponse
    • La manipulation par la peur, c’est vraiment l’outil préféré des médecins conventionnels inféodés à l’industrie de la maladie.
      Bravo pour ta démarche et bonnes cures !

      Réponse
  12. Bonjour à toutes et à Jérémie. J’ai subi la pression de ma gynécologue pendant des années depuis mes 50 ans donc j’ai passé des mammographies tous les 2 ans et échographies. C’était l’horreur pour moi, des jours d’angoisse avant le RDV et pire le jour de l’examen. La mammo me faisait très mal à cause de la densité de mes seins, une vraie torture, alors un jour, j’ai demandé plutôt une écho. Ce fut chose faite mais tout de suite après, 3 médecins sont arrivés et m’ont bien pris la tête pour faire ensuite la mammo. Comme une idiote je me suis soumise ! Mais depuis, c’est à dire 4 ans maintenant, je ne veux plus rien faire ! Ma gynéco me parle sèchement et me fait les gros yeux à chaque fois qu’elle me demande si j’ai fait la mammo donc je n’y vais plus. Je vais avoir 62 ans, très jeune j’ai eu des douleurs passagères au sein gauche car j’avais déjà un déséquilibre hormonal. Aujourd’hui, cela m’arrive encore mais je suis un peu traumatisée par les discours des médecins donc je stresse à chaque fois et bien sûr la douleur augmente. Je suis de nature anxieuse donc je préfère éviter tous ces examens. Si un jour je dois avoir un cancer, tant pis, je gèrerai comme je pourrai mais hors de question de me faire charcuter, encore moins de faire une chimio ou des rayons. Je n’ai pas peur de mourir, j’ai juste peur de souffrir. Ce n’est que mon avis bien sûr.

    Réponse
    • Merci pour votre partage. Maintenant vous savez que les pressions que vous subissez de la part de vos soignants pour passer ces tests de dépistages ne sont pas fondées. Prenez soin de vous, nourrissez-vous bien, ayez une bonne hygiène de vie et fuyez les médecins pro-dépistage qui refusent la réalité de leur inutilité. Il existe quelques rares gynéco humains et bons. Il faut bien chercher :) Bonnes recherches et à bientôt !

      Réponse
  13. Ma maman est décédée du cancer du sein, autant dire que j’en ai peur. Pourtant je ne me fais plus dépister car ces interventions sont douloureuses, anxiogènes et invasives (rayons x). J’ai une petite poitrine et donc je fais soigneusement les palpations y compris sous les aisselles. Ma gynéco m’approuve compte tenu de mon physique (examens faciles). J’ai par ailleurs lu un livre d’une scientifique anglaise dont j’ai oublié le nom qui a eu ce cancer dans la quarantaine et a guéri. Elle a fait des recherches sur les causes. Pour elle le grand responsable est le lait et les laitages. J’ai fortement réduit ma consommation. Depuis je n’ai plus de douleurs dans les seins mais cela reprend dès que j’arrête ce régime. Il y a d’autres moyens pour ne pas être carencé en calcium et bien sûr je fais attention. Récemment la fille d’une amie a eu un cancer du sein très invasif juste 3 mois après qu’on lui ait dit que ses examens étaient parfaits. Alors à quoi cela sert il ? Et les rayons X ne seraient-ils pas la goutte d’eau qui fait déborder le vase ? Bien à vous. Florence

    Réponse
    • Merci pour votre retour Florence ! L’anglaise en question, c’est Jane Plant (j’ai bossé dans son labo pendant ma thèse à Imperial College !).
      Les mammos de dépistage loupent les cancers vraiment agressifs (qui grossissent très vite) mais repèrent ceux qui ne posent aucun problème. C’est comme ça qu’on « sauve » des milliers de femmes chaque année de cancer qui ne leur auraient jamais posé de problème, et qu’on justifie le dépistage du cancer du sein… Le jour où la raison sera revenue en médecine, elle aura un tout autre visage !

      Réponse
      • bien entendu. Étant infirmière et ayant travaillé en sénologie, pourtant, je n’ai fait qu’une mammographie, suivie d’un échographie, il y a déjà un moment parce que je sentais une boule et que je voulais en avoir le cœur net. Adénome, pas de souci, j’y ai pas touché, j’ai plus fait de mammo depuis et je déchire soigneusement leur lettre tous les deux ans depuis quelques années déjà. exposer ainsi un sein aux rayons régulièrement , surtout en période péri-ménopause, c’est un scandale!

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        • Haha, merci pour ton partage ! Eh oui, c’est le scandale du dépistage du cancer du sein. Scandaleux en période péri-ménopause, mais aussi toute la vie en fait ;)

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  14. Bonjour ! Après visualisation puis lecture de cet article, j’ai souhaité partager cette vidéo à l’association locale d’Octobre Rose que je soutiens depuis des années ! les réactions ont été d’une telle violence que j’aurais pu me faire lyncher si j’avais eu en face certaines personnes. Je me suis excusée de les avoir dérangées, blessées peut-être !!! dans leurs certitudes ( qui étaient miennes avant, je dois le dire !) Je suis dans une ville de 4500 habitants et les associations sont convaincues du bien-fondé de leurs causes . Ca ne me pose aucun problème. J’essaie juste d’alerter sur ces sujets qui demandent un peu de questionnement . Heureusement pour moi, il y a de nombreuses années , en centre de cancérologie, certains médecins essayaient de me convaincre de faire des ponctions mammaires et autres, et j’ai toujours refusé ! Les mammos que j’ai acceptées m’ont donné raison mais je pense que j’ai touché à un sujet TABOU et il va être difficile de faire accepter à certaines que les dépistages systématiques peuvent être plus dangereux que le cancer lui-même. Dans tous les cas merci d’essayer d’ouvrir les yeux aux femmes pour leur éviter des ablations des seins parfois même par soit disant prévention !

    Réponse
    • L’industrie du cancer a fait un travail méthodique de manipulation émotionnelle des gens. L’évocation seule du mot « cancer » fait peur. Avec cette peur utilisée à tout va par le monde médical, il faut donc absolument, par tous les moyens, trouver le plus tôt possible et l’éradiquer.
      Octobre Rose a été construit de cette façon, avec la fausse croyance que détecter des cancers qui ne causent pas encore de symptômes chez les femmes permettrait de les sauver de cancers plus évolués et donc dangereux.
      Sauf que c’est faux et que toutes les études qui regardent la mortalité toutes causes confondues des femmes qui se font dépister ou pas ne voient pas de différence (voire une légère surmortalité chez les femmes qui se sont fait dépister).
      Octobre Rose participe donc à créer un surdiagnostic énorme, une épidémie de cancers non dangereux, qui n’auraient jamais posé aucun problème aux femmes, mais qui en deviennent un une fois dépistés. Cependant, ce dépistage ne sauve pas les femmes qui ont des vrais cancers agressifs comme l’indique bien Cécile Bour ici https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/
      Regarder la réalité en face chez des femmes qui croient avoir été sauvées grâce au dépistage, leur montrer qu’il y a de fortes chances qu’on les ai traitées pour rien et qu’elles ont juste survécu aux traitements inutiles, ça peut être très difficile. Tellement que les femmes concernées vont préférer rester dans l’illusion qu’elles ont été sauvées par le dépistage et les traitements.
      Les bénévoles de ces associations, qui ont l’illusion d’avoir un rôle important à jouer en croyant aider les femmes, n’ont pas non plus envie de voir la réalité et préfèrent croire les mensonges de l’industrie du cancer. C’est ainsi qu’on a un magnifique triangle dramatique en place (l’industrie du cancer persécute les femmes qui se font dépister – mais la plupart des gens pensent que ce sont des sauveurs -, les associations croient sauver les femmes – en fait elles sont complices du persécuteur -, et les femmes sont les pauvres victimes de ce système). En acceptant de regarder la réalité, en revenant à la science sérieuse qui observe les résultats du dépistage du cancer du sein sur la durée, on peut retrouver ses esprit et sortir de ce triangle dramatique ! Mais ça demande un effort que peu de gens sont prêts à faire.
      Du coup, bravo pour votre démarche et merci d’avoir partagé l’information !

      Réponse
  15. Tout ceci est compliqué. Comme vous le dite entre la réalité des statistiques et ce qu on veut nous faire croire… J’ai entendu 2 ou 3 autres propos sur ce sujet de la part de médecin ou naturopathe que j entend parfaitement. Mais quelle décision prendre pour la personne à qui on découvre « un petit truc » qui n évoluera peut être jamais

    Réponse
    • L’idéal est de ne pas participer à ces dépistages et d’adopter une bonne hygiène de vie, notamment une alimentation vraiment saine, tout simplement. Car si on vous trouve un « petit truc » lors de ce type de dépistage, vous devenez une proie idéale pour l’industrie du cancer et toutes les blouses blanches qui lui sont inféodées (et ne s’en rendent même pas compte). Elles vont alors tout faire pour vous « sauver ». Voir cette autre vidéo pour bien comprendre que le dépistage du cancer du sein est une pure arnaque (je ne parle pas du diagnostic chez une femme qui a des symptômes et a besoin de savoir quelle en est la cause !) : https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/

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  16. La recherche sur le cancer ne progressera jamais tant que les énormes bénéfices de la chimiothérapie et de la radiothérapie rapporteront de l’argent au monde médical !Celà fait une bonne cinquantaine d’années que la recherche est activée.S’il devait y avoir progrès dans le domaine,celà aurait déjà avoir eu lieu !

    Réponse
    • Oui ! Il y a eu quelques progrès dans les années 80 pour certains cancers, puis quasiment plus rien, contrairement à ce que les annonces marketing de l’industrie du cancer laissent entendre (cf. le livre de Gérard et Nicole Delépine : Cancer – les bonnes questions à poser à son médecin : https://amzn.to/2EsmNSw)…

      Réponse
  17. Bonjour Jérémie
    Merci pour tes partages, ton franc-parler, ta bonne humeur et ta bienveillance à notre égard. Comme tout le monde je suis passée par la mammographie à 40 ans et la coloscopie cette année à 53 ans suite au décès de ma mère d’un cancer du colon et du risque potentiel de « l’hérédité » (pour rassurer mon entourage). Maman de 4 enfants (3 filles et 1 garçon) je suis heureuse d’avoir pu écouter la vidéo et lire les commentaires qui consolident l’idée que j’avais d’une grosse manipulation au sujet de la santé. Je me tourne de plus en plus vers des solutions naturelles et déplorent ce qui se passe dans notre pays au sujet de ces médecines parallèles…
    Grâce à vous tous et toutes je saurai comment aborder ces sujets avec mes enfants et les aider à être le propre artisan de leur santé et pour cela je vous remercie.
    Belle journée à toi, à vous tous et comme le dit le proverbe : bon sang ne saurait mentir, le mien étant breton, je dirai juste : RÉVOLUTION !!!

    Réponse
    • Oui à la révolution et à la reprise en main de notre santé avec une approche intelligente et globale ! Sortons de la naïveté et de l’emprise de l’industrie pharmaceutique !

      Réponse
  18. Merci pour cette vidéo. J’ai déjà lu divers articles sur ce scandale qui touche également le cancer de la prostate et qui résulte sur de nombreuses femmes et de nombreux hommes mutilés s’ils ne sont pas décédés après de grandes souffrances tant physiques que morales. Quand cela va-t-il cesser ?

    Réponse
    • Cela cessera quand suffisamment seront informés et diront stop au carnage. Tant que de nombreuses personnes acceptent par ignorance le dépistage, elles encouragent le système !

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  19. Je me suis fait raser la tête à 50 et 55 ans pour une amie qui est décédée depuis. Depuis j’ai eu une mammographie, très douloureux en passant, et depuis j’ai toujours refuser les rappels. Je préfère jouer la carte de la prévention et d’une alimentation.

    Réponse
    • Super la prévention et l’alimentation. Là on est sur une approche intelligente. Le dépistage quant à lui n’apporte aucun bénéfice, à part donner la fausse impression d’aider les femmes et créer un énorme business pour l’industrie du cancer qui est derrière !

      Réponse
  20. Bonjour Jérémie, merci de dénoncer ce type de pratiques qui ne rapporte qu’à l’industrie pharmaceutique et ses partenaires. Je travaille dans un service d’Imagerie Médicale, je réalise des mammographies de dépistage et j’y ai longtemps cru, au fait qu’elles pouvaient sauver des vies… jusqu’au jour où le radiologue m’a dit que cette examen, réalisé de façon systématique, a partir de 40 ans, serait peut-être lui-même à l’origine de certains cancers du sein suite aux rayons X délivrés lors de la mammographie… Le sein est un organe sensible et les rayons peuvent engendrer des cancers que l’on appelle  » radio-induits »… et si la femme a la malchance d’avoir un sein « dense », l’appareil de mammographie doit délivrer plus de rayons pour « traverser » la glande… Sur le compte rendu de l’examen, la dose de rayons reçue doit être inscrite, mais évidemment, personne n’y connait rien et on ne sait pas si on a reçu beaucoup ou pas et quelles sont les conséquences… Quant aux problèmes cardiovasculaires liés à la radiothérapie dans la zone du sein gauche, je l’ai lu récemment dans une revue professionnelle… Hélas, les rayons ont des conséquences qui sont parfois trop prises à la légère… Cela fait presque 15 ans que la dose de rayon X pour les examens d’Imagerie Médicale doit être notifiée dans les comptes-rendus. Non seulement ce n’est pas toujours fait, mais cela n’apporte rien, car il n’y a aucun suivi, aucun calcul de dose cumulée qui pourrait être responsable de certaines pathologies… Une soit-disant prévention qui n’est autre que contrainte pour les professionnels et lamentable farce pour les patients… Et des examens irradiants de plus en plus nombreux, avec comme seule justification, la peur de passer à côté de quelque chose et que le patient porte plainte…. Je crois d’ailleurs qu’on en est là, les médecins prescrivent pour qu’on ne leur reproche pas de ne pas l’avoir fait et la peur des tribunaux prend le dessus sur la prévention…
    Pour ma part, la politique de santé m’a également bien écœurée du rôle de soignant que j’étais venue jouer…
    Je me tourne à présent vers des solutions plus naturelles et c’est pourquoi je reste à l’affût de toutes vos publications fort intéressantes.
    Belle journée

    Réponse
    • Merci pour ton témoignage et bravo pour ta décision d’aller vers des approches plus naturelles (et plus efficaces aussi !).
      On parle ici surtout du risque de ce dépistage de cancers qui n’auraient pas posé de problèmes et qu’on va traiter comme s’ils étaient dangereux, ce qui va avoir un impact très dommageable sur la santé de la personne qui s’embarque dans ces traitements.
      Effectivement, on va aussi probablement avec ces rayons créer des problèmes chez les femmes surtout aux seins « denses » chez qui c’est la double pleine : plus de rayons pour la mammo, et plus de risque qu’on « voie » quelque chose et donc qu’on crée la panique pour rien ou pour un quelque chose qui n’en aurait pas valu la peine.
      Bref, la mammo de dépistage, c’est inutile et dangereux… une sorte de roulette russe, remboursée par la sécu pour le plus grand plaisir des cabinets de radiologie et l’industrie du cancer qui attend impatiemment derrière la chair fraîche qui arrive !

      Je ne connaissais pas cet autre scandale des doses de rayons qui n’étaient pas pris en compte. Il n’est pas impossible que cette non-prise en compte des rayons détruise la vie de quelques milliers de personnes chaque année. Enfin bon, il y a tellement de scandales en cours… on ne sait plus où donner de la tête !
      Ceux qui ne veulent pas reprendre en main leur santé ou font naïvement confiance au milieu médical en seront pour leurs frais, comme d’habitude !

      À bientôt ! :)

      Réponse
  21. J’ étais au courant par les revues Santé Nature Innovation que la mammographie avaient été abandonnée dans de nombreux pays USA, Angleterre, Dannemark avec les explications prouvant que la détection de petits cancers qui se résolvaient tout seul était inutile. De ce fait je ne me fais plus mammographie depuis 3/4 ans.
    En plus le radiologue qui les pratiquaient était désagréable au plus au point. Pas un bonjour, pas un mot !. Un CON fini.

    Réponse
    • Bonjour Brigitte,
      Je ne crois pas que la mammographie ait été abandonnée dans les pays que tu listes. Par exemple, au Royaume-Uni : https://www.england.nhs.uk/cancer/early-diagnosis/screening-and-earlier-diagnosis/#breast-screening
      Je ne sais pas si des pays ne recommandent plus officiellement ce dépistage, mais les études scientifiques sérieuses sur le sujet sont claires : ce « dépistage » n’apporte aucun bénéfice, à part pour l’industrie du cancer qui se gave ;)
      Sinon, il faut comprendre le radiologue : il fait un boulot ingrat, fait croire qu’il va sauver des femmes alors qu’il va favoriser des mutilations et traitements inutiles. Son comportement vous a peut-être sauvé la vie ou la santé ;)

      Réponse
  22. Bonjour Jeremy, merci pour toutes tes recherches et vidéos. J’ai été opérée aux seins pour des kystes bénins suite à une mammographie en 2001. En ce qui me concerne, cela m’a permis de faire une chirurgie réparatrice, la chirurgienne a fait un travail de couturière. Elle a enlevé 160gr de lait coagule en grappe de raisin à chaque sein, elle n’avait jamais vu cela en 25 ans de chirurgie, la valeur d’une grosse pomme. Cela pesait très lourd, je n’osais plus me regarder dans une glace tellement ils étaient tombants, donc elle a découpe les mamelons et les a remontés de 10cm. Magnifique résultat, le lendemain elle m’a dit que je ne récupérerais pas la sensibili- te des mamelons. Je n’ai pas accepté son affirmation et j’ai commencé immédiatement à me carresser les bouts tous les jours et j’ai retrouvé toute la sensibilité environ 6 mois plus tard. La croyance est fondamentale. Je commençais à avoir les mêmes problèmes que ma mère aux seins plusieurs mois avant la mammographie. J’avais un écoulement jaune au sein gauche.Ma mère est décédée du cancer dès os et généralisé en 1978. J’ai fait le choix de trai-ter l’émotionnel avec la kinesiologie. En 3 séances c’était réglé. En décodage, le sein gauche est en lien avec les enfants et le droit avec le conjoint. Depuis 2001 je refuse la mammographie pour les raisons que tu as évoqué. Toutes les maladies ont une raison émotionnelle. Je suis une passionnée de ces techniques holistiques, le corps a son langage : le-mal-a-dit. Il est essentiel de connaître son langage et le considérer dans son ensemble, la vie est belle. Maryline

    Réponse
    • Merci pour ton message. Super si tu as trouvé les approches qui te conviennent et bravo pour ta démarche qui t’a permis de déjouer le pronostic de ton médecin sur la perte de sensibilité des tétons !

      Réponse
  23. Bonjour, dépistée d’un cancer hormono dépendant en novembre 2015. Massectomie du sein gauche en janvier 2016. Ablation de nombreux ganglions lymphatiques. Radiothérapie pendant 6 semaines. Traitement Letrozole pendant 5 ans et contrôles tous les 6 mois dans 2 hôpitaux différents.
    Sans ce dépistage, ce cancer aurait progressé et je ne serai probablement plus là.
    C’est une grosse épreuve, mais cela m’a permis d’ouvrir les yeux et de regarder la vie autrement.
    Je ne suis donc pas tout à fait d’accord avec l’article…
    Je ne conteste pas l’abus du dépistage mais ne le rejette pas en bloc.

    Réponse
    • Merci pour votre message et au partage de votre expérience et de ce que vous en avez retenu. Cependant, penser que vous avez été sauvée par le dépistage (je sais que toutes les femmes qui se font traiter suite à la découverte d’un cancer du sein après un dépistage ont droit à ce discours) reste une croyance, à laquelle nous répondons dans cette 2ème vidéo : https://youtu.be/Tar_075PeV4
      Bonne découverte !

      Réponse
  24. ça fait des années que je le sais.
    Et que je jette les courriers de la CPAM qui me demandent d’aller faire des mammographies.
    Je me souviens d’ailleurs d’un gynéco, après la naissance de mon 2ème enfant, qui m’avait donné une ordonnance pour une mammographie, parce que j’avais 41 ans. Je l’ai regardé en lui disant que j’allais l’allaiter longtemps, et que je n’irais pas faire cette mammographie.
    De même après 50 ans on reçoit une demande de coproculture gratuite aussi. Est-ce qu’il y a le même genre d’entourloupe à ce sujet ?

    Réponse
  25. Naturopathe depuis 25 ans, ayant vu les pratiques d’intimidation des médecins, les radiologues, je suis prise pour une folle lorsque j’aborde Octobre la bêtise et l’aberration d’octobée rose
    Je continue à dénoncer les sommes d’argent considérables que peuvent toucher ce beau monde de la médecine d’hypocrite et non Hypocrate sans oublier les laboratoires qui s’engraissent au passage, merci pour ce courage de dénoncer cette arnaque invraisemblable

    Réponse
    • Merci pour ton message Annie et bravo pour ton engagement !
      L’arnaque est tellement bien ficelée, l’esprit critique des gens tellement étouffé dès l’enfance, que ça passe sans difficulté malheureusement.
      Il est temps qu’on sorte de l’ère de la toute-puissance des labos construite aux dépens de la santé humaine !

      Réponse
  26. le cancer arrive quand le terrain devient acide..par ex manger trop sucré acidifie

    Réponse
    • Ici, je n’évoque que le dépistage du cancer de la prostate, qui est déjà un sujet en soi.
      Les causes du cancer, c’est une autre chose. L’alimentation est une des premières causes des cancers, et il est probable que manger trop sucré est un facteur, mais probablement moins important que manger beaucoup de produits animaux (viande et produits laitiers), qui sont encore plus « acidifiants » :)

      Réponse
  27. Bonjour,

    J’ai les yeux ouverts depuis longtemps, merci à vous de dénoncer ces pratiques médicales anti-deontologiques.
    Opérée d’une réduction mammaire en 2016, mon gynéco m’avait prescrit une mammographie pour dépister des choses en 2018…
    J’ai refusé, parce que je sais pertinemment que je n’ai rien et que les rayons sont mauvais.
    A chaque fois que j’y retourne il me met la pression, mais ma réponse est toujours la même…bah oui, il la voudrait cette prime sur mon dos…et bien non, je ne suis pas un mouton !
    Ensuite mon mari a eu un cancer des intestins en 2005, cancer qui vient très probablement de son usine puisqu’il brasait des radiateurs avec des, produits dangereux cancérigènes.
    L’on dit que c’est héréditaire…mais personne ne l’a…mon fils devrait passer, selon les medecins, sa 1ere coloscopie à l’âge de 20 ans…
    Et bien non….car j’ai de la jugeote, ce n’est pas héréditaire, personne n’ira trifouiller mon fils pour ce prétexte!
    En parlant des frais des medecins, on en parle des chirurgies ambulatoires qui descendent au bloc pour un kyste, une verrues, un grain de beauté retirable en cabinet? On en parle de la facture du lit pour toute une journée alors que ce même lit, si vous avez eu l’intervention tôt, est occupé par une autre personne dans la journée ?
    Quel marché lucratif!
    Pourquoi n’y a t’il plus d’herboristeries en France? Pourquoi l’État commence à mettre des vétos sur l’aromathérapie et l’homéopathie ?
    Et j’ai d’autres pourquoi, mais je sais qu’au final cela fait partie d’une grande fumisterie des lobbies, et de l’État, et que nous sommes trop sur cette terre.

    Merci à vous et continuez de dénoncer, les moutons continueront de suivre ceux qu’ils ne faut pas, et les autres vous écoutent.

    Réponse
    • Bonjour Lydia et merci pour votre partage.
      Vu ce que vous dites, je crois qu’il est temps pour vous de changer de gynéco. Il doit bien y en avoir qui ne sont pas juste des pions de l’industrie du cancer. Il faut chercher !
      Pour votre mari, votre hypothèse comme quoi l’origine de son cancer serait les produits dangereux utilisés dans l’usine est plausible.
      Faire des coloscopies à un jeune homme dès ses 20 ans, je ne suis pas sûr que ce soit une excellente idée, et il faudrait vérifier que les coloscopies de dépistages soient une bonne idée tout court. Rien n’est moins sûr !
      Enfin, effectivement, l’Etat et la Sécurité Sociale font tout pour détruire ou marginaliser les approches naturelles de santé depuis le début du 20ème siècle et les abus à l’hôpital sont légion. Mais les petites opérations que vous évoquez sont une goutte d’eau par rapport aux dépenses faramineuses en médicaments hors de prix que l’industrie pharmaceutique vend et fait rembourser par la sécu pour les pathologies lourdes qu’elle prétend sauver…
      Je ne pense pas que nous soyons trop sur Terre, sauf si nous continuons à avoir une alimentation trop riche en produits d’origine animale, comme je l’ai évoqué dans cet article : https://www.jeremie-mercier.com/manger-pour-le-climat/
      Merci et bravo pour vos prises de conscience !

      Réponse
  28. J’ai pas encore pris le temps de regarder mais je voulais juste faire partager mon experience en tant professionnelle travaillant dans le milieu medico social. Les Médecins sont payés par des labos, pour aller participer à des congrès, colloques et autres. Ils sont nourris, logés, on s’occupe de tout, mais par contre à votre prochaine consultation vous donnerez aux patients notre médicament avec cette molécule fait par notre labo…. Il y a des visiteuses médicales qui viennent régulièrement à l’hôpital pour marchander avec les professionnels de santé, idem en liberal. Oui en effet il y a des études de cohorte mais franchement quand je vois comment c’est réalisé, les bidouillages, la régularité et le respect des protocoles de recherche pour moi ça ne démontre rien. On y met ce qu’on veut, ce qui arrange. Ce qu’on demande aux professionnels de santé c’est des chiffres des chiffres, des patients des patients, mais pas trop d’empathie car sinon on prend trop de temps avec les patients les familles c’est pas bon l’empathie dans le milieu medico sociale on n’a pas choisi ce métier pour ça…. À bon pourquoi alors ???? Quel honte, je suis dégoutée de travailler dans ce milieu et j’ai vraiment une mauvaise image du service public. Je vais prendre le temps ce soir le visionner la vidéo.

    Réponse
    • Merci pour ce partage et ces réflexions qui me semblent très justes. Je comprends votre amertume par rapport à votre milieu de travail. Les patients sont effectivement devenus des pions, et les médecins des machines à prescrire, avec peu d’esprit critique par rapport aux labos, voire pas du tout. Vous allez voir, la vidéo est un gros coup de pied dans cette idée reçue que le dépistage d’un cancer est forcément quelque chose de positif. Les études épidémiologiques sur de grands échantillons de population montrent que c’est faux en ce qui concerne le dépistage du cancer du sein, et pourtant, chaque année on nous sort Octobre Rose à toutes les sauces !

      Réponse
  29. Merci pour toutes ces informations. Convaincue depuis longtemps de tout ce que tu dis . J’ai récemment reçu ma 1ere « invitation » a passer une mammographie. Direction poubelle pour moi.

    Réponse
    • Parfait ! Ce courrier est à la place qu’il mérite. Ce n’est qu’une incitation à la mise en danger de la vie d’autrui, au profit de l’industrie du cancer !

      Réponse
  30. Merci de décortiquer ces sujets avec toute ta pertinence, ton entrain et ton sérieux..! Chacune de tes vidéos que j’ai vue m’apprend et me nourrit énormément… BRAVO et MERCI !

    Réponse
    • Merci beaucoup Fleur ! Je fais de mon mieux :) En tout cas ça me fait super plaisir ces encouragements !

      Réponse
  31. Bonjour Jérémie,

    Suite au mail que tu m’as adressé sur le dépistage du cancer du sein, j’aimerais te faire part d’une méthode d’investigation du cancer du sein.
    Connais tu l’ostéopathie ? Notamment la méthode de Maurice Poyet, qui développe et approfondi la pratique de W G Sutherland où il est question du M R P ( mouvement respiratoire primaire ).
    Chaque os possède son propre mouvement, le grille costale composé de côtes est chez les femmes, compressé une bonne partie de la journée par un soutien gorge. Ce soutien gorge est à mon avis, responsable de bon nombre de cancer du sein, sans pour cela contredire ton message sur l’alimentation.
    Ce soutien gorge, comprime le grille costale, avec l’aide des fameuses baleines métalliques. Le mouvement respiratoire primaire est complètement inexistant à la hauteur des seins, la circulation de la lymphe ne se faisant plus, des kystes se développent et évoluent.
    L’ostéopathie peux aider en remettant en mouvement chaque côte n’ayant plus cette respiration interne.
    Une piste supplémentaire à ne pas dénigrer et négliger.
    J’espère que tu as retrouvé ton nez d’avant toute ces opérations. Une séance d’ostéopathie en plus pour que la partie nasale respire de nouveau, après tous ces traumatismes que sont les opérations, serait la bienvenue.
    J’espère que mon message sera lu et que tu te penchera sur l’ostéopathie, qui à mon sens peux apporter beaucoup et contribuer à la non prise de médicaments.

    Bonne santé à toi.

    Réponse
    • Merci Jean-Pierre pour ton message !
      Oui, je prends régulièrement (2 à 3 fois par an) rdv avec un ostéopathe. Je ne connais pas particulièrement la méthode Poyet cependant.
      Tu as raison, le soutien-gorge est probablement est problème chez beaucoup de femmes, car il empêche la circulation lymphatique de se faire correctement dans cette région du corps. L’ostéopathie semble une bonne idée dans le cas où la cause est bien une stagnation de la lymphe ou ce problème de « mouvement respiratoire primaire » qui ne se fait pas correctement (je ne sais pas si ces 2 notions sont liées, tu me diras !).
      Merci aussi pour le conseil pour l’ostéopathie postopératoire pour le nez. Il va être en évolution pendant 2 mois environ. Je sais pas quel est le bon moment pour faire cette séance par contre ? Peut-être que je vais laisser encore reposer quelques semaines avant cette séance ;)

      Réponse
      • Bien entendu le mouvement respiratoire primaire est en lien direct avec la stagnation de la lymphe, ou la non circulation de la lymphe entre les fascias. Une remise en route du mouvement intrinsèque des cotes, des vertèbres correspondantes, ainsi que toutes les insertions.
        Pour ton nez le plus tôt sera le mieux. Plus vite le mouvement est remis en route, plus vite les tissus se remettent en place.

        Réponse
        • Merci Jean-Pierre pour cette confirmation et ces précisions ! Je vais prendre rdv de ce pas du coup ;)

          Réponse
  32. je n’en ai fait qu’une, pour cause d’avoir eu des sortes de kystes. En fait rien, bien. MAIS…. ça fait mal et j’ai peu de seins donc elle s’y ai pris a 2 fois. Apres la premiere…. elle revient avec une tete catastrophee, donc moi qui etait tranquile, je stresse, et en fait c’etait juste qu’elle devait en faire une autre!
    Et en plus elle m’a engueulee du savon que je lui ai passe!
    Quand elle revient en disant que se sont des kystes… (et allusion a mon precedent commentaire sur la necessite de rire…) je lui dit « Heureusement, car sinon ils auraient ete encore plus petits sans les kystes, pour faire votre travail! »
    Le plus incroyable c’est le nombre de secondes de silence avant qu’elle n’eclate de rire!
    Et bien decide a ne pas y repasser!

    Réponse
    • Haha, bon le moment était pas sympa, mais assez marrant au final :)

      Réponse
    • Ok, merci Benj !
      Je n’ai pas lu le livre  » No Mammo  » mais je vois qu’il a été préfacé par Bernard Junod, un des premiers en France qui a découvert la supercherie du dépistage du cancer du sein (le système médical s’est acharné contre lui du coup !). Et merci pour le partage vers ton site. Peut-être que ça va inspirer des femmes qui lisent ce post :) A bientôt !

      Réponse
  33. Merci pour ces infos qui me confortent ds ma decision de ne pas faire de dépistage. J ai 63 ans, j ai fait le dépistage une fois il y’a plus de dix ans . Cette publicité incessante sur le fait qu’ il faut absolument se faire dépister m a fait comprendre qu’ il s agissait plus d une affaire de gros sous qu’ autre chose. De plus malgre ces depistages a outrance nous entendons de plus en plus parler de personnes atteintes de cancer, donc… Mais il est très difficile de le faire admettre aux plus jeunes.
    Merci à vous. Continuez à nous tenir informés.
    Sylviane

    Réponse
    • Merci Sylviane pour votre partage ! Ce qu’il faut comprendre, c’est que plus on dépiste, plus on trouve de cancer. Plus on cherche la merde, plus on a de chance de la trouver. Le problème, c’est que c’est pas forcément utile… et l’étude canadienne vient nous montrer de manière criante que le dépistage du cancer du sein est une bêtise sans nom, une arnaque, un attrape-nigaud. Tant que les gens (jeunes ou moins jeunes) ne vérifieront pas les informations que leurs médecins leur transmettent, ils seront soumis à la peur à cause de leur ignorance et de celle de leur médecin. Il faut que ça bouge et qu’on en finisse avec cet obscurantisme ! Je suis sûr qu’on va dans le bon sens et qu’on va bientôt faire voir au grand jour la catastrophe sanitaire associée au dépistage du cancer du sein. Juste un peu de patience… :)

      Réponse
  34. Moi aussi j’ai 68 ans et je n’ai jamais de ma vie fait de mammographie… Ni d’ailleurs ma mère, ni les femmes de sa génération. Cela m’a facilité la tâche. A l’époque de ma mère (elle m’a mise au monde à 43 ans, elle était née en 1908) tous ces dépistages n’existaient pas et les femmes se portaient plutôt bien. En tout cas ce que je peux dire, c’est qu’elles ne vivaient pas dans le stress de l’attente de résultats. Ce que j’ai vécu par contre avec la mode des frottis auxquels je n’ai pas pu échapper car je prenais la « pilule ».
    Par contre, je me suis fait régulièrement quasi insultée par des femmes, soumises à l’ordre médical qui elles obéissaient sagement à leur médecin (souvent des hommes, d’ailleurs).
    Je vois qu’il y a des réactions violentes. Ça illustre bien la violence que souvent les femmes retournent contre elles-mêmes par une sorte de soumission, masochiste…eh oui..
    Par contre, concernant le cancer, à mon avis, il n’y a pas que l’hygiène physique qui compte, ou l’alimentation, mais aussi les problèmes psychiques qui s’incarnent dans le corps…

    Réponse
    • Le dépistage quasi généralisé du cancer du sein (et pareil pour la prostate) est la principale explication de l’explosion du nombre de ces cancers. On traite maintenant plein de gens qui ont des lésions cancéreuses qui n’auraient jamais été un problème. Mais comme le mot magique « cancer » est prononcé, on est presque obligé de traiter !
      Effectivement, beaucoup de femmes, par ignorance et conformisme préfèrent soutenir leurs bouchers plutôt que de prendre en main leur santé et revendiquer leurs droits. Je ne sais pas si ça a un rapport avec notre société patriarcale ou pas. Peut-être.
      Enfin, effectivement, le cancer n’a pas qu’une origine purement physique, mais l’alimentation est un pilier fondamental sur lequel on peut agir pour la guérison. Après, si on a une approche globale/holistique, c’est encore mieux !

      Réponse
  35. Je n’ai pas regardé les vidéos… parce que j’en suis convaincue depuis des années!!! J’ai fait des études d’ingénieur en biochimie… et déjà pour que certains puissent faire leurs TFE et les recherches adéquates il fallait qu’ils feintent avec les patients des hôpitaux dans lesquels ils faisaient leurs recherches pour pouvoir leurs prélever une carotte de foie ou un échantillon de sang…Suite à la catastrophe de Tchernobyl maman a dû être opérée des parathyroïdes et de suite les médecins et chirurgiens ont prétendu que c’était héréditaire et qu’il était urgent que nous, ses enfants devions faire tous les ans une scintigraphie de la thyroïde pour dépister…. quelque chose en fait que nous n’avions pas!!!! ensuite, papa a fait un cancer des intestins et là aussi il fallait que nous, ses enfants, passions sur la table d’opération afin de passer un examen de dépistage!!!!… Tout est bon aux lobbying pharmaceutique pour pomper du fric aux gens, à la société, à tout ce qui passe par là en fait… ils s’en foutent de soigner des gens…s’ils peuvent les garder malades plus longtemps ça leurs ramènera plus d’argent… alors pourquoi se priveraient-ils si nombre d’entre nous leurs font confiance les yeux fermés!!!! moi il y a longtemps que je ne me soigne plus par allopathie!!!! et je ne m’en porte que mieux!!! Merci de tenter d’ouvrir les yeux aux autres…mais ne perdez pas trop votre énergie car beaucoup sont aveuglés par les arguments de poids que lâchent certaines professions trop sûres d’elles mêmes…

    Réponse
    • Merci Dominique et bravo pour votre clairvoyance et votre démarche !
      C’est horrible ce que vous dites sur les travaux de fin d’études et les prélèvements qu’on fait chez des patients pour des recherches un peu bidons. Et les histoires soi-disant héréditaires de cancer quand ils veulent forcer tout le monde à passer sous le rouleur compresseur de leurs dépistages…
      Sinon, justement, ce que je montre, c’est qu’en face, contrairement à ce qu’ils font croire, ils n’ont pas d’argument sérieux ! Et pourtant, plein de gens qui vont vers les « médecines douces » cèdent encore à la pression sociétale et font des dépistages de cancer inutiles et pour lesquels ils risquent gros. Donc il faut que l’info passe. Remarque : ça ne m’épuise pas de le faire, au contraire ça m’énergise ! :)
      A bientôt !

      Réponse
  36. Heureusement qu’il y a des personnes comme vous deux qui osez démonter la propagande. Je suis tellement d’accord avec vous qu’à 87 ans je n’ai jamais fait faire une mammographie. Bien sûr, il faut être bien dans sa tête, comme m’a dit un médecin et ne pas céder à la peur ambiante. Merci pour votre témoignage.

    Réponse
    • Merci ! Exactement ! La peur (avec aucun argument justifié) utilisée pour manipuler les gens, c’est terrible. Bravo pour votre démarche et à bientôt !

      Réponse
  37. J’ai lu avec beaucoup d’interet votre texte et je m’apprête a faire un article pour mon journal pour soulber le probléme car chez nous aussi , c’est devenu la grande mode le depistage;salutations

    Réponse
  38. Oui et c est vraiment le pouvoir mauvais de tous les médias qui mettent l ignorance à la table des victimes santé. A bientôt.

    Réponse
    • Effectivement. La plupart des médias ne font pas bien leur boulot de vérification d’informations avant de les diffuser. Soit par incompétence, soit par manque de temps, soit par manque d’éthique. Énorme problème de société !

      Réponse
  39. Bonjour et merci Jérémie pour ces infos et cette vidéo.

    J’ai 68 ans.Je suis passée du stade, « je fais le dépistage tous les 2 ans, il y va de ma santé » à « je fais le dépistage mais quel que soit le résultat, je n’accepterai et ne subirai aucun traitement ». Là, je franchis totalement le pas salvateur(!) et refuserai, tant que je suis en bonne santé, tout dépistage.
    Cette vidéo m’a donné ce courage, car il faut être presque « héroïque » pour refuser ce dépistage, vu tous les arguments matraqués à longueur de temps en sa faveur, l’argument suprême étant qu’il sauve des vies et sans lui, point de salut!

    Vous l’aurez compris, le docteur Delépine et vous-même m’avez totalement convaincue et je vous en remercie .

    Amicalement

    Claude

    Réponse
    • Merci Claude et bravo pour cette décision ! Effectivement, vus la propagande du système médical et les moyens de pressions exercés sur les gens (malades ou non-malades), ça demande beaucoup de force et un esprit de résistance pour ne pas se laisser embarquer. Avec les bonnes infos, ça devient plus facile de faire les bons choix pour soi. Bravo et ravi d’avoir pu t’aider :)

      Réponse
  40. Merci pour cette remarque ,sur le dépistage du cancer du sein,votre vidéo sur l’alimentation est attendue,car le préventif est de mise!
    Bon rétablissement…

    Réponse
    • Merci Bernadette ! Eh oui, et il ne faut pas confondre dépistage précoce et prévention, ça n’a rien à voir contrairement à ce que font croire les partisans crédules et manipulés de Octobre Rose.

      Réponse
  41. Les arguments s’entendent. Je vais me renseigner pour m’assurer des infos données, telles que la prime donnée aux médecins qui envoient des gens se faire dépister… Douteux en effet. J’aime bien le « si c’est gratuit, c’est que c’est vous le produit. » Sérieusement, c’est bien de d’informer.

    Réponse
    • Alors, quel retour de votre enquête ? On ne balance pas des arguments sortis de nulle part dans la vidéo ;)

      Réponse
  42. Merci pour ces vidéos!
    Dommage que beaucoup n’y comprennent rien ou ne les regardent même pas avant de répondre. La médecine moderne, en France est devenue, au fils des années, la secte la plus dangereuse au monde. Et comme dans toutes les sectes, les membres ont eu le cerveau complétement lavé et ne cherchent même plus a comprendre quoi que ce soit.
    Ces gens sont très dangereux, mais ne s’en rendent même plus compte.
    Même si , il arrive, plus que souvent, que ce soit de faux témoignages, distribuées un peu partout sur internet, comme le font les marchands de machine a laver.
    En tout cas bravo, merci et bon courage

    Réponse
    • C’est exactement ça. Les faiseurs de dogmes sont l’industrie pharmaceutique, et ses relais sont les autorités de santé et les médecins formatés (la grande majorité). Rares sont ceux qui arrivent à sortir du dogme et ils sont alors considérés comme des hérétiques !
      Effectivement, la majorité des gens croit de façon religieuse à la parole des médecins formatés, et n’a pas la capacité d’ouvrir son esprit à d’autres possibilités, pourtant basées sur des faits scientifiques (montrés ici). C’est comme ça qu’ils se mettent à juger et à critiquer une vidéo qu’ils n’ont pas regardée, ou pas pu comprendre, coincés qu’ils étaient par leur ignorance… Comme l’école n’apprend pas à penser par soi-même, il y a du boulot !

      Réponse
  43. la réalité scientifique est que j zi été guérie et si j avais écouter ces discours je serai morte alors monsieur arrêtez cette propagande gravissime je ne vous salue pas j arrêté avec vous car vous êtes dangereux et vos arguments répétitifs sont ceux de gens appartenant à une secte je remercie les médecins et la médecine de m avoir sauvé .

    Réponse
    • Si ma secte est la raison, l’argumentation scientifique basée sur des faits et hors de toute propagande de l’industrie pharmaceutique, alors je suis heureux d’être son disciple :)
      Bonne continuation à vous !

      Réponse
  44. J ai tout compris gourou

    Réponse
    • Qui est le gourou selon vous, et pourquoi ?
      La réalité scientifique est trop dure à voir pour vous ?

      Réponse
  45. quelle honte de raconter des balivernes vous êtes des mecs dangereux du j ai guéri d un cancer du sein grâce au dépistage on m à pas enlevé le sein il y a de nouvelles pratiques maintenant tous les cancers du sein ne se ressemblent pas je suis furieuse de vous lire .c est grave vous allez tuer des millions de femmes on est plein à guérir désolée de vous le dire mais j ai eu deux cancers dans lq vie je suis encore en vie merci à mon oncologue de Gustave Roussy très renommée et chercheuse de plus .vous êtes des sales mecs je vous vomis .menteurs .s il vous plait ne les croyez pas une ancienne malade reconnaissante d avoir été guérie en plus y a pas que la Mamo on peut aussi faire faire une écho qui voit mieux et pas dangereuse imbéciles je ne vous salue pas .

    Réponse
    • Bonjour, je pense que vous n’avez pas compris notre message (ou pas regardé la vidéo ?). La réalité n’est pas très belle à voir en ce qui concerne le cancer du sein, et peut-être cette vidéo manque-t-elle de pédagogie (15 minutes, c’est court pour montrer tous les problèmes causés par le dépistage organisé).
      Je vous propose une vidéo (plus longue cette fois, on a le temps de rentrer dans les détails) avec une autre personne sur laquelle vous pourrez vomir (s’il vous reste encore de quoi vomir). Il s’agit de mon interview de Cécile Bour, médecin radiologue, qui s’insurge contre le dépistage du cancer du sein (encore une fois) et montre à quel point il est préjudiciable pour les femmes. Voici le lien : https://youtu.be/Tar_075PeV4
      Vous y découvrirez notamment que la plupart des femmes qui pensent avoir été sauvées par le dépistage ne l’ont pas été (90% du temps). Par contre, près de 40% des femmes sont « sauvées » de cancers non évolutifs, et souffriront plus tard de graves séquelles liées à ce traitement qui n’aurait jamais dû avoir lieu (notamment des problèmes cardiaques graves et des cancers induits par les radiations, qui viennent plus tard).
      Bonne découverte, et désolé de vous faire piquer les yeux. Tout est sur la vidéo et les liens vers les publis scientifiques sont dessous : https://youtu.be/Tar_075PeV4

      Réponse
  46. Bonjour,
    « Plusieurs études scientifiques majeures […] », « […] c’est démontré scientifiquement »
    —> pourriez-vous nous fournir les références de ces études scientifiques majeures, svp ?

    Je vous remercie

    Réponse
  47. Ma mère est décédée d’un cancer du sain il y 37 ans. ce fut une épreuve terrible vu que je fus jeune. Je n’ai jamais oublié ce moment triste et funeste mais le cancer est une maladie pratiquement incurable si je peux le dire ainsi.Je me demande encore quel est le traitement efficace pour combattre cette maladie et nul doute trouver le remède efficace. Un jour avec le progrès de la médecine, les chercheurs, médecins parviendront à déceler le fond du problème qui sera par conséquent résolu peut-être à 100 « . Voila ce que j’ai un peu démontré.

    Réponse
    • Le cancer du sein est assez bien guéri aujourd’hui, sauf quand il est métastasé (là ça se complique). La recherche n’a pas beaucoup avancé depuis 20 ans par contre.
      Je suis personnellement plus en phase avec des approches naturelles, avec lesquelles on peut aussi avoir de très bons résultats également, et moins de risques d’effets secondaires graves des chimios et des rayons notamment.

      Réponse
      • Quelles approches naturelles sont possibles ?

        Merci d’avance pour vos réponses

        Réponse
        • Très bonne question et vaste sujet.

          Je ferai un article spécifiquement sur ce point, mais ce qui me vient comme ça :
          1) alimentation vraiment saine
          2) nettoyage du foie, reins, intestin et cure antiparasitaire
          3) jeûne
          4) extériorisation des émotions
          5) vérifier les matériaux en bouche et les éventuelles dents dévitalisées qui poseraient problème (foyer infectieux)
          6) travail sur les « mémoires transgénérationnelles »
          7) recherche de la symbolique de la maladie
          8) arrêter de porter un soutien-gorge (dans le cas du cancer du sein) et refaire circuler la lymphe dans la région (ostéopathie, brossage à sec, etc.)
          9) est-on sûr que la maladie pose vraiment problème ou bien c’est juste des lésions cancéreuses qui ne bougeront jamais et ont été dépistées mais on aurait mieux fait de pas faire le dépistage (si dépistage il y a eu) ?
          10) encore sans doute beaucoup d’autres approches mais c’est déjà pas mal comme première réponse :)

          Réponse
  48. Je viens de regarder cette vidéo et je suis scandalisée par ce que je viens de voir !! Ce « médecin » a le culot de dire que le dépistage du cancer du sein est dangereux pour les femmes !!!! Qu’à cause de cela des femmes sont traitées pour des « petits » cancers qui s’ils n’avaient pas été détectés ne se seraient peut-être jamais complètement déclarés et que du coup les femmes subissent des traitements pour rien ! Et si ce n’est pas un cancer anodin alors ??? Dans ce cas, on a plus qu’à crever car ce cher monsieur nous aura dit que le dépistage ne sert à rien ???!!! C’est honteux pour toutes les femmes qui se battent tous les jours pour survivre !! Et quand je vois ces 2 hommes rigoler ça me dégoûte totalement honte à vous ! IGNOBLE

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    • Vous avez manifestement mal compris notre propos. Je vous invite à voir cette vidéo plus pédagogique (mais aussi plus longue du coup) afin de comprendre en quoi le dépistage est un gros problème : https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/
      Je maintiens que le dépistage organisé du cancer du sein tue plus de femmes qu’il en « sauve ». C’est démontré scientifiquement. Une grande partie des petits cancers sont traités comme s’ils étaient problématiques, alors qu’ils ne le sont pas, mais leur traitement va devenir un gros problème pour la personne traitée. C’est la triste réalité. Je me bats et je continuerai à me battre contre le lavage de cerveaux opéré par octobre rose et le ministère de la santé.

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      • Désolée mais je suis obligée de maintenir mes propos ci-dessus. J’ai plusieurs personnes autour de moi dont le cancer, loin d’être anodin, à été découvert grâce au dépistage !!! Certaines d’entre elles en sont mortes car dépistées trop tard ! Et ce qui m’a choquée dans votre vidéo c’est que tous les deux, par moments, vous rigoliez alors qu’il s’agit d’un sujet grave ! Aucun respect pour les femmes malades. J’ai quelqu’un de très proche qui se fait soigner pour un cancer du sein et je peux vous dire que c’est une lutte de tous les instants, c’est très dur physiquement et psychologiquement. Ma belle-mère est décédée d’un cancer du sein et elle me disait qu’il fallait se faire dépister car elle n’avait eu aucun signe avant coureur, jamais elle n’avait imaginé être malade et une fois que les médecins l’ont découvert, il était malheureusement trop tard.

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        • Le dépistage arrive de toutes façons trop tard quand le cancer du sein est vraiment agressif. Il reste inutile même dans ce cas. Regardez ma vidéo avec Cécile Bour : https://www.jeremie-mercier.com/depistage-organise-du-cancer-du-sein-inutile-et-dangereux/
          Quant à nos rires, ils sont aussi là pour désamorcer un sujet sensible sur lequel il y a beaucoup de mensonges et de manipulations… que nous révélons avec de la vraie science, issue de données épidémiologiques et non de cas individuels transformés en vérité.
          Cela ne retire en rien du fait que le cancer du sein pour les personnes qui sont touchées est une épreuve bien difficile, voire une tragédie. Ce qui est dur à comprendre sans prendre de recul, c’est que 40% des femmes « malades » le sont des traitements, et non du cancer !

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          • Etant specialisee dans le systeme nerveux, je confirme que le rire n’est pas une moquerie mais une reduction de l’activation, pour baisser l’adrenaline pour dire simple.
            En fait il est triste qu’on ne puisse plus rire de tout a cause des susceptibilites, car c’est vraiment utile et fait tomber les tensions.

          • Ha ! Merci pour cette explication scientifique. En fait, parler de sujets lourds comme ça, ça tend. Et rire permet de faire lâcher la pression, tout simplement. Je pensais que tout le monde le comprendrait mais visiblement non !

        • Une amie qui ne pouvait pas avoir d’enfant à subi un traitement hormonal : elle a subi ´deux ablations des seins à cause de ce traitement ! Vous ne pensez pas qu’il aurait été plus logique, plus humain, moins douloureux mais aussi moins coûteux de soigner la cause en évitant ce traitement plutôt que de persévérer dans cette solution qui a fait bcp de dégâts et n’a pas du tout résolu son problème initial !?

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          • Ça dépend de quel point de vue on se place. Du côté de l’industrie de la maladie, c’est tout bénéf

    • J’aimerais que mon expérience puisse ajouter un éclairage ici. J’ai 72 ans et à 40 ans on m’a dépisté un cancer du sein par ponction sur plusieurs boules ( me disant qu’il y avait des cellules atypiques après analyse). J’ai donc subi une ablation partielle dans les deux seins et l’analyse des nodules à prouvé à posteriori que ce n’était pas un cancer. Depuis je n’ai jamais refait aucune mammographie et j’ajoute que je suis bien d’accord avec cet article.

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  49. Bravo de parler !

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  50. Bonjour,
    Je n’ai fait qu’une fois ce dépistage et depuis je refuse d’y aller car je reçois depuis de nombreuses années des mails de ISBN qui met en garde contre toutes ses pratiques de lobbies…

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    • Bravo de résister et de ne pas rentrer dans cette sordide loterie du dépistage organisé !

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  51. Merci pour cette vidéo :) et pour nous aider à ouvrir les yeux ;)
    Natacha

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    • Bonjour,
      Je suis maintenant une fervente adepte des méthodes naturelles en parallèle de la médecine traditionnelle quand il faut (en privilégiant le naturel).
      J’ai 37 ans et j’ai été diagnostiqué d’un cancer du sein de stade 4. Grâce à un changement complet d’alimentation, un gros travail sur moi-même (notamment mon stress) en parallèle d’une chimio lourde, le cancer a quasiment disparu. Je vais faire partie des grandes remissions. Quand j’avais un petit signe evoquateur, ma gynécologue adepte de non dépistage correspond au discours de la vidéo m’a parlé d’un kyste en me disant que c’était bénin. Une très bonne gynécologue par ailleurs. Je pense aujourd’hui qu’il faut un discours raisonné dans les deux sens : apprendre aux femmes à prendre soin de soi, apprendre à s’autopalper (grâce notamment à octobre rose qui a énormément de mérite à sensibiliser), apprécier les bienfaits de la médecine traditionnelle quand il faut et favoriser les mammos au bon moment. Certes, ne pas surdiagnostiquer mais diagnostiquer dès les moindres petits signes même qui semblent bénin. Nous vivons dans une époque qui a changé et nous ne pouvons pas comparer les chiffres avec ceux du passé, tant l’influence de l’environnement, de l’alimentation, du stress, etc a à mon sens un impact majeur sur la santé aujourdhui, bcp plus important qu’avant.

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      • Bravo pour votre démarche santé et je vous souhaite une longue rémission !
        La mammographie de dépistage, c’est-à-dire sur des femmes qui n’ont aucun symptôme, n’apporte aucun bénéfices aux femmes qui s’y soumettent.
        En revanche, en cas de symptôme, c’est une autre histoire.
        Les petits cancers bénins (et sans symptômes) détectés lors des mammographies de dépistage sont malheureusement la cause de ce surtraitement qui nuit aux femmes, mais fait les affaires de l’industrie du cancer et permet de justifier « Octobre Rose ». J’espère que vous avez mieux compris le message de la vidéo.

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    • vendredi alors que j’étais avec des amies ,je reçois un coup de téléphone << vous êtes madame Bonnet nous avons fait l’estimation de votre maison, je sais que vous ne voulez pas vendre, par contre nous avons quelque chose à vous proposer>> <<dites >> oui on voudrais votre autorisation pour mettre une pancarte sur votre maison pour octobre rose>><< qu’est ce que sait je ne comprends rien>> j’ai férocement refusé et ai dis a mes amies je n’ai pas été polie , ça m’a vraiment perturbé et ai passé une mauvaise journée. de quel droit une agence immobilière a t’elle le droit de nous importuner, elle pouvait me donner le cancer du sein

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      • Le « pinkwashing » permet se donner une bonne image en mettant un petit ruban rose partout dans sa comm. Ça coûte rien, ça permet d’aller dans le sens de la propagande, et ça fédère les personnes envoutées par les mensonges d’Octobre Rose. Terrible !

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