Il n’y a pas de virus !

Si tu me suis depuis un moment, tu as compris que toutes les politiques « sanitaires » mises en place supposément pour protéger notre santé et nos vies depuis mars 2020 sont du grand n’importe quoi. J’ai eu l’occasion de revenir sur ce point à de très nombreuses reprises ;)
 
L’histoire rabâchée par tous les médias de propagande de la pandémie qui est en train de décimer l’humanité ou qui serait une menace pour l’humanité ne résiste pas à l’épreuve des faits.
 
Très bien.
 
Malgré tout, beaucoup de gens pensent qu’il y a quand même un virus qui traîne et qu’il faut quand même faire gaffe.
 
Ok, un virus… mais de quoi parle-t-on vraiment ?
 
Il est bon parfois de revenir aux fondamentaux, et c’est ce que j’ai fait avec Urmie Ray lors de l’émission « Science en Conscience » n°19 du 3 janvier dernier (une bonne façon de démarrer l’année 2022).
 
Avec Urmie, nous sommes revenus sur la notion-même de virus et de contagion.
 
Si tu ne t’es jamais penché sur la question des « virus », tu vas sans doute te prendre une claque, si je puis dire ;)
 https://odysee.com/@jeremiemercier:0/l%27effondrement-de-l%27hypoth%C3%A8se-virale:e
Sinon, la vidéo est aussi sur CrowdBunker et sur Odysee bien sûr.
 
Voici les références mentionnées par Urmie Ray :
 
  • 40min46s : Article dans le journal Viruses qui dit qu’il n’existe pas de méthode fiable qui puisse réellement garantir une séparation complète entre un virus et un exosome : https://www.mdpi.com/1999-4915/12/5/571/htm (à la fin de la section 3 : « to date, a reliable method that can actually guarantee a complete separation [a distinction between viruses and EVs] does not exist. »)

 

 

  • 1h19min10s : Les taux de pesticides maximums ont été retirés par les Nations Unies en août 2019 : source à venir

 

 

Voir aussi :

https://www.blueman.name/Des_Videos_Remarquables.php?NumVideo=7116#NAVIGATION

et https://zerogeoengineering.com/2018/celebrating-life-rosalind-peterson/

 

 


Enfin, je serai ravi d’avoir ton avis sur la question de l’ « hypothèse virale » en commentaire de cet article !
*****
Retranscription de l’interview :

L’effondrement de l’hypothèse virale

[Jérémie Mercier] : Bonsoir à tous, bonsoir à toutes. C’est Jérémie Mercier. Je suis ravi d’être avec vous ce soir pour cette première émission « Science en Conscience » de 2022. On est le lundi 3 janvier 2022. Il est 21 heures passées de quelques petites minutes. Je serai donc aujourd’hui avec Urmie Ray et nous allons parler de l’effondrement de la thèse dite virale ou l’hypothèse virale. C’est un sujet juste gigantesque et qui pourrait profondément modifier les paradigmes de la médecine et en particulier celui de la vaccinologie. On va commencer dans quelques secondes. Mais tout d’abord, générique. [Générique] Bonsoir à tous et bonne année 2022 ! Je pense que ça va être une année particulièrement intéressante qui va se passer et je vous souhaite à tous de bien continuer à résister parce que les temps ne sont pas faciles, et pourtant, il faut résister plus que jamais. J’ai le plaisir d’avoir avec moi ce soir Urmie Ray. Bonsoir Urmie !

[Urmie Ray] : Bonsoir Jérémie et merci beaucoup de donner la parole aux personnes qui essayent de vraiment trouver la vérité dans tout ce qui se passe.

[Jérémie Mercier] : C’est un énorme travail, mais je te remercie aussi d’avoir accepté mon invitation parce que là, on est vraiment sur un sujet absolument fondamental, qui pourrait, si on allait au bout de cette réflexion-là, ça remettrait en question une très grande partie, finalement, de la médecine, une très grande partie des croyances sur les épidémies, les maladies contagieuses, etc. Et ça nous permettrait de revoir complètement ce qu’on pense de la santé de manière générale. Donc, très gros sujet que celui de l’hypothèse virale. Est-ce que tu peux nous rappeler qui tu es ? Donc rapidement, tu as fait un doctorat en mathématiques à l’Université de Cambridge. Tu as été professeur, tu as été d’abord chercheuse à Cambridge et ensuite professeur à l’Université de Reims et tu as aussi fait des missions à l’Institut Max Planck de Bonn, en Allemagne, notamment. Donc, toi, à la base, c’est les maths. C’est vraiment, tu es une matheuse à fond.

[Urmie Ray] : Oui, oui. Absolument.

[Jérémie Mercier] : Il y a quelques années, donc, tu as démissionné, c’était quand ? Tu as démissionné de ton poste…

[Urmie Ray] : J’ai démissionné en 2013.

[Jérémie Mercier] : En 2013 donc, tu as démissionné de ton poste de professeur d’université, donc à l’Université de Reims. Pour quelles raisons ?

[Urmie Ray] : J’ai démissionné pour écrire. Donc, premièrement, j’avais commencé à écrire en 2011 et petit à petit, je faisais moins de mathématiques. Et en 2013, mon premier bouquin non mathématique a été publié et c’était en français ici, un éditeur de Paris. Et donc, à ce moment-là, je me suis dit, vraiment, c’est ce qui m’intéressait, c’est-à-dire d’essayer de comprendre les fonctionnements de la société moderne et en particulier les aspects culturels, sociopolitiques, etc. Et ça a été dans toute ma vie, comme je suis de diverses cultures et j’ai vécu dans pas mal d’endroits dans le monde, travaillé dans pas mal de pays, pour moi, c’est un aspect qui fait partie de ma vie.

[Jérémie Mercier] : Donc, ce que tu voulais à l’origine, c’était mieux comprendre la société de manière générale.

[Urmie Ray] : Oui, oui.

[Jérémie Mercier] : En tant que mathématicienne et donc en tant que scientifique, tu t’intéresses à un sujet aussi très fort qui est celui de : comment la science – qui normalement, est une discipline où le débat est constant, où les personnes devraient avoir un état d’esprit extrêmement ouvert – est devenue une forme de dogmatisme et de religion. C’est bien ça ?

[Urmie Ray] : Oui, donc, parce que moi, dans mon premier livre, non mathématique – parce que j’ai fait un livre en mathématiques il y a longtemps – j’abordais la question de comment, dans un contexte démocratique, on peut venir à régler ou à maîtriser les problèmes urgents, que ce soit les problèmes de pollution, que ce soit les problèmes militaires, dans tous les problèmes qui vraiment sont des problèmes d’urgence pour la survie de l’humanité.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Et après, je me suis dit pour comprendre même les fondements de la société moderne, il faut vraiment étudier le rôle de la science, ce qu’est la science. Et je dois avouer que bon, j’avais déjà quand 2020 est arrivé, mon livre a été publié en fin décembre 2020, donc j’avais déjà un certain… J’avais fait pendant 4-5 ans un travail sur ce qu’est la science, ce que n’est pas la science, la limite de la science et donc de comment et pourquoi la science a été, au cours de l’histoire, déformée en pseudo-science, pour utiliser l’expression de Tolstoï. Donc j’avais déjà des bases pour un peu comprendre ce qui se passait en médecine. D’ailleurs, j’aborde la question de la médecine comme exemple positive et aussi négative. Dans le livre, j’illustre la bonne science, ce qu’on appelle la science basée sur l’observation reproductible et reproduite. Mais en même temps, le fait de venir des mathématiques, les mathématiques donnent une base très, très rigoureuse pour aborder d’autres sujets et a une approche une très, très logique. Donc, en fait, je ne suis pas spécialiste de tout ce qui est virologie et tout ça, mais je peux peut-être apporter un regard externe et un regard très logique.

[Jérémie Mercier] : J’ai envie de dire, justement, c’est ça qui est intéressant. C’est quand, en tant que scientifique hyper rigoureux – parce que les maths, je pense que c’est la discipline où il y a besoin d’une rigueur absolue – ce regard-là sur la discipline dite « virologie » est essentielle parce que là, finalement, ce que tu vas nous dire, je pense dans quelques instants, c’est que la virologie, ça ne ressemble pas vraiment à de la science.

[Urmie Ray] : [Rires] Oui, oui, c’est l’un des… Et moi-même, j’ai été étonnée en mars 2020, moi, comme tout le monde, je n’ai jamais été dans ma vie, intéressée par les maladies. J’ai touché du bois, beaucoup de chance et je ne suis jamais tombée malade, vraiment. Donc j’ai toujours évité les soi-disant épidémies précédentes. Je n’en avais même pas entendu parler, ni dans mon entourage, ni là où je travaillais, ni en Allemagne. Je me souviens, l’une des épidémies, j’étais à l’Institut Max Planck à Bonn et je dois dire que ce n’était pas du tout un sujet de conversation. On n’était même pas au courant, donc…

[Jérémie Mercier] : En tout cas, moi, je trouve ça… Souvent, beaucoup de gens, notamment non scientifiques se disent « ah, si il ou elle n’est pas de telle discipline, il n’est pas légitime pour parler ou s’exprimer dans cette discipline », alors que c’est le contraire. Alors que j’ai envie de dire, c’est presque le contraire. Une approche scientifique d’une vraie personne scientifique s’adapte à toutes les disciplines.

[Urmie Ray] : Et d’ailleurs, la définition de la science donnée par Richard Feynman – qui est l’un des grands physiciens du 20ème siècle – il la définit comme « la science est la croyance en l’ignorance des experts », c’est-à-dire questionner, questionner vous-même, allez voir vous-même ce qu’il en est. Et en fait, tout le monde, avec un peu de logique, peut lire les papiers scientifiques. Il faut laisser un petit peu la technique mathématique de côté, si on ne comprend pas, mais sinon, tout est abordable, les descriptions des expériences et après, c’est question de logique. Est-ce que d’une certaine expérience, on peut en arriver ou non à certaines conclusions ?

[Jérémie Mercier] : Ok, bon, très bien. Écoute, on va… Je vais te laisser démarrer ta présentation donc, sur ce thème fondamental, je le redis encore une fois, mais pour moi, c’est très important de dire à quel point c’est important, de la thèse virale. Tu as peut-être des notifications à supprimer, si tu ne veux pas être embêtée par…

[Urmie Ray] : Oui, là, je ne sais pas pourquoi, il y a quelqu’un qui m’envoie constamment des… non, pas ça, attendez. Excuse-moi, je vais aller dans Telegram et je vais…

[Jérémie Mercier] : Moi, je vais…

[Urmie Ray] : Je viens de supprimer les notifications. Voilà, ça devrait aller.

[Jérémie Mercier] : Très bien. Ok. Donc, je peux te laisser donc commencer dans ta présentation sur l’effondrement de la thèse virale. Bam !

[Urmie Ray] : Donc, en fait, toutes les mesures inédites, donc toute la politique depuis 2020 est basée sur l’existence d’une maladie, dont la contagiosité est supposée être effroyable. Cette contagiosité est dite se faire à travers des agents pathogènes nanoscopiques qu’un individu infecté transmettrait par voie externe à un hôte. Donc pour comprendre  » est-ce que vraiment cette thèse d’une cause virale tient la route ? « , tout d’abord, je crois qu’il faut qu’on débatte un peu de ce qu’est la causalité. Donc, sans ça, on ne peut pas vraiment évaluer la qualité d’un travail scientifique. La logique et le bon sens nous dit, c’est que la simple invariance, antériorité ou concomitance n’entraîne pas la pertinence. Ça, ce n’est pas parce qu’il y a deux événements et un qui est avant, que ça veut dire qu’ils sont liés. Et donc, il faut absolument assurer l’inconditionnalité pour éliminer les antécédents ou les co-effets invariables, mais non pertinents. Donc, qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que si tu mets alors la première diapositive.

[Jérémie Mercier] : Alors est-ce que ça se voit ? Alors, attends un instant. Ok, voilà, ça y est, c’est bon, je peux le faire, ça y est, voilà, comme ça.

[Urmie Ray] : Donc la première chose, c’est qu’il faut s’assurer que lorsque la cause présumée est présente, le phénomène sous étude se produit à chaque fois.

[Jérémie Mercier] : Oui.

[Urmie Ray] : Et par ailleurs, qu’est-ce que ça veut dire aussi… Logiquement, c’est équivalent à dire qu’il faut s’assurer que l’absence du phénomène implique l’absence de la cause. C’est ce qu’on appelle en mathématiques la contraposée et c’est logiquement équivalent. Donc il y a la présence. Il y a aussi l’absence, c’est-à-dire qu’il faut aussi s’assurer qu’en l’absence de la cause, le phénomène est absent. Ça, c’est ce qu’on appelle la nécessité de la cause. Et la première chose, c’est ce qu’on appelle la suffisance de la cause. Et logiquement, cette deuxième partie, elle est équivalente à dire que la présence du phénomène implique la présence de la cause. Donc, plus particulièrement pour vérifier l' »accord en présence », il faut en particulier s’assurer qu’aucun autre facteur n’est invariablement présent et pour l' »accord en absence » que tous les autres facteurs restent présents, en l’absence de la cause qu’on cherche, qu’on étudie et c’est-à-dire, en d’autres termes, qu’on fasse une expérience contrôle sans le facteur causal suspecté pour montrer que dans ce cas, le phénomène étudié ne se produit pas. Logiquement et simplement, le bon sens nous dit que ça, c’est la causalité. Maintenant, dans les faits, la causalité est très difficile à vérifier dans un monde aussi complexe que celui dans lequel on est dans la vie. Donc en ce qui concerne la médecine, qu’est-ce qui s’est passé ? Donc, au 19ème siècle, quand l’hypothèse d’un agent externe qui infecterait les gens par contagion a été émis. Donc, dans ce contexte-là, le travail de Koch suggère qu’il était principalement intéressé à prouver que les bacilles étaient nécessaires pour l’anthrax et la tuberculose. Mais ce que Koch n’a pas fait, a moins compris, c’est la suffisance comme un élément tout aussi important. Donc, ces postulats nous donnent, nous permettent, si on arrive à les prouver dans des cas particuliers, à avoir la nécessité d’une cause, mais pas nécessairement sa suffisance. Donc quels sont ces postulats de Koch que nous considérons aujourd’hui ? Cela date de son article de 1884 sur la tuberculose. Donc, le premier postulat dit que  » le microorganisme doit être présent dans tous les cas de la maladie « . En fait, ici, ce qu’on a, c’est simplement que… S’il y a maladie, donc si le phénomène se produit, ça implique que le microorganisme est présent. Donc, le deuxième postulat nous dit que  » le microorganisme qu’on a trouvé doit être distinct des microorganismes causant d’autres maladies « . Et il vaut mieux garder cette version-là parce que ce que le troisième postulat – parce qu’on dit souvent les quatre postulats de Koch sont ceci-cela, mais il faut aller voir son papier pour vraiment savoir ce qu’ils sont. Et ce qu’il dit, c’est que la distribution des microorganismes doit correspondre à la maladie et l’expliquer. C’est-à-dire que quand il a fait ses expériences avec l’anthrax, il a vu que, en petit nombre, le microorganisme qu’il pensait causer l’anthrax, quand il était présent en petit nombre dans notre corps, eh bien, il ne provoquait rien, il provoquait rien. Donc en fait, ce qu’il a compris et que nous savons aujourd’hui c’est qui il faut que les microorganismes soient présents en grande abondance pour pouvoir conclure qu’ils provoquent une maladie.

[Jérémie Mercier] : D’accord. C’est-à-dire, si c’est en trop petite quantité, selon le postulat de Koch, il est possible que ça n’occasionne aucune maladie et dès que ça dépasse un certain seuil, là, il peut y avoir maladie. C’est ça ?

[Urmie Ray] : C’est-à-dire que oui, parce qu’on a tous, tous les microbes. Et sans les microbes… Ce qu’on appelle « microbe », mais c’est mal… Le terme n’est pas le bon.

[Jérémie Mercier] : Il est trompeur, il n’est pas bon.

[Urmie Ray] : On a tous des bactéries, on a tous ceux qu’on appelle les microbes, sans eux, on ne pourrait pas vivre. C’est eux qui nous permettent de vivre, de la naissance à la mort.

[Jérémie Mercier] : Ce que tu dis là est essentiel et je pense que la plupart des gens l’oublient. Et on est dans cette volonté d’une société aseptisée dans laquelle les microbes sont nos ennemis et c’est un vrai danger pour notre santé ça.

[Urmie Ray] : Absolument, c’est un véritable danger parce que si on les transforme en notre ennemi, ceux qui nous permettent de vivre, eh bien, vous pouvez imaginer la conséquence, je veux dire, on est en train de détruire notre propre survie en faisant ça.

[Jérémie Mercier] : Absolument.

[Urmie Ray] : Donc comme je disais, il faut qu’il y ait le microbe ou le microorganisme qui soit présent en quantité suffisante dans un corps sain et donc voilà. Et le quatrième postulat, c’est  » le microorganisme doit pouvoir être isolé de tous les produits potentiellement causaux de la maladie et doit être cultivé en culture pure, donc hors de l’organisme malade « . Donc ça, c’est le quatrième postulat. Et le cinquième, c’est : « le microorganisme isolé, pur, doit être inoculé à des organismes sains et ces organismes doivent présenter les mêmes symptômes cliniques que l’organisme malade d’origine « , c’est-à-dire, il doit être réisolé du nouvel hôte infecté et on doit vérifier qu’ils sont identiques à ceux d’origine. Qu’est-ce qu’on a ? Le premier postulat et le troisième consistent évidemment en la causalité nécessaire. C’est-à-dire que la présence de la cause implique – non, non… – plutôt, l’absence de la cause implique l’absence du phénomène. Donc, ça, c’est clair. Ou la présence du phénomène implique la présence de la cause. C’est donc, comme on l’a vu dans la diapositive précédente. Et certes la causalité suffisante, c’est-à-dire que la présence provoque toujours la maladie sous étude implique les trois autres postulats. Mais l’inverse est faux. Les postulats 2, 4 et 5 n’impliquent pas la causalité suffisante. Et comme je viens de le dire, mais tout d’abord, des organismes considérés comme pathogènes peuvent ne pas l’être. Et comme je viens de le dire, le corps a reconnu que les bacilles de la tuberculose pouvaient parfois exister dans un hôte approprié sans causer la maladie. Et comme je viens de le remarquer il y a quelques minutes, on sait maintenant que ce qu’on considère comme des microbes sont essentiels à la vie humaine, en particulier à notre système immunitaire. Et d’autre part, l’agent supposé pathogène peut ne pas être les organismes eux-mêmes, mais une substance avec laquelle ils sont toujours associés dans le cas de maladie, ça peut être aussi le cas, logiquement, donc la présence de cette substance serait alors suffisante, même sans la présence du microorganisme.

[Jérémie Mercier] : Très intéressant.

[Urmie Ray] : Ce qu’on a en amont, les postulats de Koch sont loin de montrer la causalité suffisante. Les postulats de Koch sont bien plus faibles que ce que l’on doit avoir pour montrer la causalité. Logiquement, les postulats de Koch en eux-mêmes ne sont pas idéaux, bien que ce soit considéré comme l’étalon or…

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : … pour les maladies infectieuses, mais c’est loin d’être idéal. Le bon sens nous dit, ça ne montre pas vraiment la causalité.

[Jérémie Mercier] : Donc, la base même de l’infectiologie, donc les postulats de Koch, est déjà à revoir, en fait.

[Urmie Ray] : Oui, oui, le fait est que le monde est tellement complexe. Et donc, il faut faire très, très attention à toute affirmation, je veux dire. Et par ailleurs, il y a une chose très importante, c’est que le cinquième postulat implique contagion uniquement par l’inoculation, ce qui n’est pas le mécanisme naturel habituel de contagion, en particulier pour les maladies respiratoires. Donc, pour vérifier la contagion entre humains.

[Jérémie Mercier] : Inoculation, ça veut dire injection, ça veut dire quoi, mis comment, rentré comment dans le corps, du coup, précisément ?

[Urmie Ray] : Par des injections, une inoculation.

[Jérémie Mercier] : D’accord. Ça ne peut pas être…

[Urmie Ray] : Mais bon, ça ne peut pas être par les voies naturelles.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : On n’attrape pas, je veux dire, ce qu’on en pense être une contagion, par exemple la grippe. On ne l’attrape pas dans la vie par une injection, en général. Pour vérifier la contagion entre humains, il est nécessaire de mettre des organismes sains en contact étroit avec des organismes malades. De multiples expériences ont été menées lors de l’épidémie de grippe espagnole en 1918 – et ça a été fait très systématiquement et spécialement aux États-Unis – et dans aucun cas, la contagiosité n’a été constatée. Et d’ailleurs, le rapport final le dit, qu’ils ne peuvent rien conclure. D’ailleurs, comme impliqué précédemment, Koch lui-même s’est rapidement rendu compte que dans certains cas, toutes les conditions ne pouvaient être remplies, ainsi qu’il l’a exposé devant le 10ème Congrès international de médecine en 1891. Et ça, on l’oublie. C’est-à-dire que Koch a reconnu qu’en plus, on ne pouvait pas vérifier toutes les conditions qu’il donne. Donc ça, il l’a reconnu.

 

[Jérémie Mercier] : Donc lui-même était au courant que ses postulats n’étaient pas très bons, finalement, comme base de l’infectiologie.

[Urmie Ray] : Oui, et ça, il l’a reconnu. Dans mes notes, j’ai l’article traduit parce que, bien sûr, les documents originaux sont tous en allemand.

[Jérémie Mercier] : D’accord, ok.

[Urmie Ray] : Aussi, il faut savoir que les postulats de Koch ont été élaborés dans le contexte des bactéries, dont l’existence était bien documentée depuis l’avènement du microscope. Et dans le cas des virus, établir présence et causalité pose des problèmes d’un tout autre ordre. L’hypothèse selon laquelle de minuscules entités transmissibles d’organismes à organismes non observables au microscope optique sont à l’origine des maladies a été émise par Pasteur, car aucune cause bactérienne ne pouvait être associée à la rage. Par conséquent, un certain nombre de maladies ont commencé à être attribuées à ces entités, lorsque l’inoculation de fluides desquels on avait filtré les bactéries et les grosses molécules et que malgré tout ce qui restait, induisait les symptômes souhaités. Et dans la première maladie pour laquelle on a dit qu’elle était virale, c’est la maladie de la mosaïque du tabac dans les années 1890. Et en ce qui concerne ses premiers travaux, on peut se demander si les entités invisibles qu’il n’avait jamais vues et qui étaient dans ces fluides filtrés, est-ce qu’ils n’étaient pas accompagnés d’autres déchets, des déchets comme des mycotoxines. En fait, ces filtrats de virus sont injectés dans à un organisme hôte pour prouver leur virulence, il est presque certain que les toxines moléculaires facilement filtrables seraient également introduites. Donc, il faut faire très attention à ces affirmations qui datent de la fin du 19e début 20e siècle.

[Jérémie Mercier] : À une époque où en plus, on ne voyait pas grand-chose, on voyait une bactérie au microscope, le reste, on ne voyait rien.

[Urmie Ray] : Alors oui, c’était avec le microscope optique à l’époque.

[Jérémie Mercier] : C’est ça.

[Urmie Ray] : Il faut aussi savoir que le terme virus vient du latin, pour poison. En effet, on sait tous qu’un produit toxique est dangereux pour nous, voire mortel. Et c’est peu à peu qu’il a été détourné pour signifier un agent pathogène externe qui peut attaquer nos cellules et être transmis par l’air, en particulier d’organismes à organismes.

[Jérémie Mercier] : D’accord. Donc virus, ça veut dire poison à la base et c’est après vraiment qu’on a collé ça sur cette espèce de truc plus ou moins vivant – même aujourd’hui, les gens n’arrivent pas trop à dire est-ce que c’est vivant, est-ce que ce n’est pas vivant et qui serait donc un agent pathogène.

[Urmie Ray] : Pourquoi on a cette idée de virus ? C’est en 1931, lorsque le microscope électronique a été inventé et il y a des minuscules entités qui ont été observées. On a d’abord cru qu’il s’agissait de tueurs de bactéries, qu’on a appelés bactériophages. Ce qu’on a vu, c’étaient des mini-spores, c’est-à-dire du matériel génétique entouré d’une capside, c’est-à-dire d’une enveloppe, Ils ont été pris comme modèle de virus.

[Jérémie Mercier] : D’accord. Quand tu dis des mini-spores, c’est-à-dire créés par des champignons en gros ou… c’est quoi ?

[Urmie Ray] : Non, en fait c’est créé par les bactéries elles-mêmes.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Le fait est qu’à l’époque, ils ont cru que c’étaient des tueurs de bactéries. Mais plus tard, on a vu qu’en fait, non, ce n’était pas ça.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Donc, on a vu que ce n’était pas du tout quelque chose d’agressif. C’était quelque chose pour la bactérie elle-même, pour se régénérer. Pour distinguer plus nettement les virus nanoscopiques des autres particules. Il n’est pas possible de suivre l’exigence de Koch pour diverses raisons. C’est pour ça qu’en 1937, Rivers a modifié les postulats de Koch dans le cas des virus. Pourquoi est-ce que c’est difficile ? En particulier, un virus ne peut se reproduire qu’à l’intérieur d’une cellule, et donc le cultiver en culture pure, ce n’est pas possible. Donc, il faut le cultiver dans une culture de cellules.

[Jérémie Mercier] : Oui.

[Urmie Ray] : Par ailleurs, la taille est nanoscopique, bien inférieure à ce qu’est une bactérie. Donc, là aussi, ça crée des difficultés. Ce que disent les postulats de Rivers si on lit son article de 1937, c’est qu’  » il faut associer l’agent à la maladie avec une certaine régularité statistique « . Déjà, c’est plus faible. Ce n’est plus le cas où la présence de la maladie implique nécessairement la présence de cet agent infectieux. Donc c’est avec une régularité statistique. Et le second postulat dit  » il faut isoler cet agent « , mais puisqu’on ne peut pas l’isoler dans une culture pure, il faut le cultiver dans un milieu approprié, c’est-à-dire dans une cellule hôte. Ce que dit le troisième postulat :  » pour cela, le matériel doit être exempt de microbes ordinaires et si ce n’est pas le cas, les microbes doivent être tués ou éliminés d’une manière appropriée, par exemple par filtration « . Donc, ça, c’est le troisième. Le quatrième postulat dit qu’  » il faut reproduire la maladie avec une certaine régularité en inoculant un hôte sain « . À nouveau avec une certaine régularité, ce n’est plus  » à chaque fois, il faut que ça soit ça « . Donc, il faut pour cela, après, réisoler le virus de cet hôte qui a été…

[Jérémie Mercier] : Infecté.

[Urmie Ray] : … inoculé.

[Jérémie Mercier] : Oui, inoculé.

[Urmie Ray] : Et donc ça, c’est le postulat 5. Le postulat 6 devient encore plus faible. Ce qu’il dit, c’est que  » même si la maladie ne réapparaît pas, il faut la détecter par une réaction immunitaire spécifique, par exemple anticorps « . Mais là, ça devient encore plus flou, parce que c’est un anticorps de quoi ? Qu’est-ce qu’un anticorps si on n’a rien vu dès le début ? Ce qu’il faut retenir donc de ça, c’est que bon : premièrement, l’essentiel est qu’à aucun stade, il ne faut rien ajouter qui puisse adultérer le processus pour essayer de voir s’il y a un agent pathogène externe nanoscopique, infectieux. D’un point de vue logique, qu’est-ce qu’on a ? On a des critères logiques, au tout début. C’était dans la première diapositive et elles sont les seules à permettre d’établir véritablement une causalité. Puis on a les postulats de Koch, qui sont bien plus faibles que ces critères logiques. Et enfin, on a ceux de Rivers, qui sont encore plus faibles. Donc on s’éloigne peu à peu d’être en état de conclure quoi que ce soit. Donc, là, on en vient à la méthode standard qui est utilisée pour conclure qu’il y a des virus. Et là, on voit que même les exigences de Rivers sont déjà plus faibles. Or, cette exigence-même n’est pas respectée.

[Jérémie Mercier] : Ah oui.

[Urmie Ray] : Cette méthodologie standard utilisée pour détecter les agents pathogènes a été légitimée dans un article de 1954 sur la rougeole par John Enders et Thomas Peebles. Comment font-ils ? Tout d’abord, les échantillons infectés sont invariablement mélangés à des cellules de mammifères non-hôtes préparées commercialement, et très souvent, c’est ce qu’on appelle des cellules Vero, c’est-à-dire des cellules rénales de singe. Et il faut aussi noter que ces cellules ont été maintenues in vitro, c’est-à-dire dans des cultures en boîte de Pétri pendant de nombreuses années. En d’autres termes, elles se trouvent depuis longtemps dans un mélange artificiel. Qu’y a-t-il dans ce mélange ? Afin de fournir aux cellules les nutriments dont elles ont besoin, il contient du sérum et le plus souvent, du sérum bovin fœtal. Et ces cellules ne reçoivent pas leurs nutriments habituels, ce qu’elles recevraient dans leur environnement naturel. Et en plus, en général, des antibiotiques seront ajoutés dans le sérum pour inhiber la croissance des bactéries et des champignons. Il est également courant de réduire progressivement les nutriments afin d’obtenir un milieu dénué de sérum pour la culture cellulaire. Si les cellules animales inoculées avec les échantillons du patient, purifiés ou non, présentent finalement un effet cytopathique, c’est-à-dire une mutation ou une dégradation des cellules, alors les particules sont dites virales une fois que les examens biologiques ont éliminé les causes bactériennes, c’est-à-dire qu’on n’observe jamais un virus, on voit que les cellules meurent et on dit « ah tiens, il y a un virus ». Mais ça peut être parce que les nutriments ont été appauvris. Ça peut être aussi parce que les antibiotiques utilisés sont très souvent toxiques. Par exemple, si on utilise les cellules Vero – donc les cellules de reins de singe – on utilise souvent des antibiotiques très toxiques pour les reins. Nécessairement, ces antibiotiques pourraient aussi être la cause de la mort cellulaire. Et avec des cellules plus résistantes que les cellules de rat, l’ajout de ces antibiotiques ne crée pas l’effet cytopathique, ce qui est interprété comme une absence de reproduction de virus dans ces cellules, alors qu’il s’agit simplement de cellules plus résilientes aux antibiotiques. C’est-à-dire, ce qu’on voit c’est que les conclusions faites, elles ne sont pas très logiques. On peut faire diverses autres conclusions. Et après, qu’est-ce qu’on fait ? On séquence ces particules. Un virus, comme je vous l’ai dit, sa conception est basée sur ces bactériophages. C’est un matériel génétique qui est recouvert d’une enveloppe. Il faut faire sortir ce matériel génétique de l’enveloppe qui l’entoure. On ajoute des enzymes aux échantillons qui sont malades. Et puis après, on ajoute des oligonucléotides d’ADN, c’est-à-dire des amorces PCR pour amplifier divers segments, qui peuvent même ne pas être complets et ne sont généralement pas des gènes et les amorces sont supposées être des marqueurs génétiques uniques pour un virus donné. Qu’est-ce qui se passe ? Il y a un signal fluorescent qui indique qu’un fragment d’ADN correspond aux marqueurs génétiques pour lesquels le test PCR est calibré. Et évidemment que l’amplification est grande, plus ce sera probable. Et après, qu’est-ce qu’on fait une fois qu’on a amplifié en utilisant le PCR ? On recherche des séquences qui se chevauchent par un logiciel qu’on appelle assembleur, c’est-à-dire, il rassemble les séquences. C’est une méthode de simulation informatique pour construire des génomes à partir d’un grand nombre de fragments d’ADN, courts ou longs, sans connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre de ces fragments. Et le résultat final est considéré représenter le génome complet du virus.

[Jérémie Mercier] : Décrit de cette façon-là, on a l’impression que c’est une espèce de tambouille de n’importe quoi et à la fin, on a un résultat qui plait à tout le monde. Mais ça paraît très, très fumeux quand même.

[Urmie Ray] : Ouais, ouais, ouais. En fait, il y a beaucoup de problèmes. Tout d’abord, même si le mélange avec les cellules non-hôtes est purifié, il ne serait toujours pas possible de dire si les particules observées au microscope électronique proviennent des échantillons d’origine. Elles pourraient venir du sérum bovin et pourraient devenir des antibiotiques. Elles pourraient venir du singe-là ou d’autres cellules qui sont utilisées. Par ailleurs, toutes les cellules des tissus endommagés sécrètent des exosomes, c’est-à-dire des vésicules extracellulaires pour aider à guérir des maladies en détoxifiant et communiquant avec les autres cellules. Donc ça, c’est connu, les exosomes ont été étudiés très systématiquement depuis leur découverte en 1983. Et donc là, on en sait un peu, au moins pas mal sur ces exosomes, que ça soit chez nous ou dans d’autres organismes, par exemple les arbres. On a vu ça avec les arbres, on sait que même un arbre communique avec les arbres autour, un arbre malade pour avertir les autres arbres de la présence de…

[Urmie Ray] : Danger…

[Jérémie Mercier] : .. d’un toxique ou d’un danger et de comment réparer, je veux dire, comment se prémunir de ce danger.

[Jérémie Mercier] : C’est ça. De la même manière, les cellules dans le corps humain ou dans d’autres corps vont communiquer entre elles via ces exosomes pour dire « il y a un truc, il faut se préparer », c’est ça ?

[Urmie Ray] : Oui, oui. Sans ces exosomes, toute vie serait impossible. En fait, il faut savoir que les antibiotiques génèrent aussi des exosomes. Il n’est surtout pas possible de différencier ce qu’on appelle des virus d’un exosome, étant donné qu’on ne dispose même pas d’une référence indépendante pour juger ce que nous observons. Selon un article publié en 2020 dans le journal « Viruses », à ce jour, il n’existe pas de méthode fiable qui puisse réellement garantir une séparation complète entre un virus et un exosome.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : C’est confirmé par de nombreuses autres études.

[Jérémie Mercier] : Deux secondes. Ça veut dire qu’en général, on n’est pas capable de différencier donc un exosome d’un virus.

[Urmie Ray] : Ben oui.

[Jérémie Mercier] : C’est peut-être la même chose, en fait ?

[Urmie Ray] : Oui, exactement. En somme, qu’est-ce qu’on a ? La cause présumée de la maladie, le virus est indissociable de l’effet de la maladie, l’exosome. Parce que l’exosome est créé pour réparer, quand on est malade.

[Jérémie Mercier] : C’est ça. Donc, ça voudrait dire…

[Urmie Ray] : Quand toutes les autres choses ont échoué.

[Jérémie Mercier] : Ça voudrait dire que ce qu’on appelle virus, ça pourrait juste être un mécanisme d’information créé par les cellules qui avertissent d’un danger d’autres cellules. C’est bien ça ?

[Urmie Ray] : Oui, oui et d’adaptation. Ce qu’on dit « virus » pourrait être un mécanisme d’adaptation sous la forme d’un exosome ou alors, selon une autre hypothèse, un mécanisme d’adaptation sous une forme simplement génétique et non pas un agent pathogène. Et d’ailleurs, et ça, c’est important, aucune preuve que les particules observées ont une origine externe et non interne au corps ou à la culture cellulaire n’a jamais été apportée. Puisque de minuscules matières non vivantes sont observables, par exemple les nanoparticules inorganiques à l’aide du microscope électronique. Pourquoi est-ce qu’on n’a jamais vu des particules pénétrer dans le corps à partir de l’environnement extérieur ? Et pourquoi on ne les a jamais observés à l’extérieur ? Donc ça, ça n’a jamais été le cas. Donc, il n’y a absolument aucune preuve que ça vient l’extérieur. Donc, ça, c’est le premier problème. Maintenant, le deuxième problème, là – c’est illogique depuis le début et c’est même… moi, je me suis dit, d’ailleurs, juste avant l’émission, je me suis dit  » d’accord, on introduit dans tout ce truc pour trouver, pour construire le génome, on introduit ces amorces PCR. Mais on les choisit comment ?  » Donc ce que j’ai fait, j’ai immédiatement appelé une des plus grandes spécialistes de la question en Russie – et heureusement, elle était chez elle – et parce que je me suis dit logiquement, mais comment ils choisissent ça puisqu’on ne sait même pas ce que c’est ? Comment on choisit, comment calibrer le test PCR pour amplifier certains segments ? C’est un problème, simplement, logiquement, ça n’a aucun sens. Je lui ai expliqué la question, elle m’a dit « c’est exactement ça, il n’y a pas de logique, ta question est très bonne, comment choisit-on ça ? On ne sait pas ». C’est pour ça que je dis, il faut avancer logiquement et avec le bon sens. Tout le monde en est capable. On n’a pas besoin d’un doctorat pour ça.

[Jérémie Mercier] : Ça veut dire qu’il y a des gens qui vont décider de manière arbitraire que c’est telle amorce PCR qu’il faut utiliser pour faire la réplication.

[Urmie Ray] :  Sur quoi se basent-ils ? Comment choisissent-ils…

[Jérémie Mercier] : Ça dépend du labo de virologie, ça dépend du labo pharmaceutique. On ne sait pas. C’est comme ça.

[Urmie Ray] : Oui, oui. Il y a ce problème-là, le deuxième problème. Maintenant, le troisième problème, c’est celui expliqué par le docteur Stefan Lanka dans sa vidéo la plus récente de ces derniers jours. Ce qu’on fait en général, on amplifie extraordinairement, c’est-à-dire par 40 à 45 cycles et ça, c’est totalement non scientifique et c’est totalement non accepté par tous les labos de recherche en biologie et en biochimie. Qu’est-ce qu’on a ? On amplifie extraordinairement, mais même avec cette première série d’amplification, le génome entier ne peut être trouvé avec les outils informatiques utilisés. Qu’est-ce qu’on fait après à ce moment-là ? On fait une deuxième série d’amplifications extraordinaires à nouveau et cette deuxième série s’appelle le « séquençage métagénomique profond ». De quoi s’agit-il ? On ajoute aux cellules une telle quantité de petites molécules synthétisées, avec des séquences données, que ces molécules ajoutent au moins 20% des séquences. Et après, le génome complet du virus est alors considéré comme trouvé et il inclut les séquences de ces molécules.

[Jérémie Mercier] : C’est un mélange de plein de trucs alors.

[Urmie Ray] : Oui. Au moins 20 % ça vient de ces molécules. Qu’est-ce qu’on a ? Ces expériences remettent évidemment en question l’information génétique obtenue. Qu’observe-t-on et à quoi le compare-t-on, d’autant que le PCR amplifie sélectivement des segments d’ADN ou d’ARN spécifiques et ces minuscules segments pourraient être n’importe quels débris cellulaires ? Le PCR ne peut pas nous dire à quoi appartiennent ces segments. Il faut savoir et toujours redire que celui qui a inventé le PCR – c’est-à-dire Kary Mullis – l’a toujours dit :  » c’est simplement un outil de recherche « . Donc là, oui, on peut faire des choix aléatoires de calibrer le PCR, voir si on calibre comme ça, qu’est-ce qu’on a. Mais c’est un outil de recherche, ce n’est pas un outil pour aller plus loin. Et par ailleurs, il faut savoir que depuis l’année 2000, depuis le début de ce siècle, ce qu’on a observé, c’est qu’un génome n’est pas stable, mais il est constamment en état de transformation, et que chaque cellule est un univers génétique en soi. Et les généticiens qui ont observé cela – je veux dire, en particulier autour de l’Université de Berkeley et d’autres qui ont eu le courage de dire qu’ils avaient honte du travail qu’ils avaient fait avant. Cela soulève encore plus de questions sur notre déduction d’un virus non observé à partir de son génome, puisque tout est en état de transformation. Il n’y a pas un génome fixe qu’on peut lire, etc. J’espère faire une émission sur cela avec d’autres, c’est la grande révolution qui arrive en biologie, ça va remettre en question toute la biologie. C’est la révolution qui était nécessaire, que la physique a faite au début du 20ème siècle. La biologie – a dit Heisenberg dans les années 70 – elle était restée à l’âge de pierre. Il fallait qu’elle introduise toute cette complexité que la mécanique quantique a introduite en physique, la relativité, tout cela. Et là, ça commence, il y a de merveilleuses recherches qui se font et ça, ça va totalement changer notre rapport à nous-mêmes, notre rapport à qui sommes-nous, donc les questions de base philosophiques et ça va totalement changer toute la biologie. C’est merveilleux en fait. C’est merveilleux, et comme à l’aube de toute révolution radicale en science, bien sûr, la majorité de la communauté scientifique, elle reste comme un obstacle, elle s’y oppose. C’est arrivé en physique, c’est arrivé en géologie en ce qui concerne les…

[Jérémie Mercier] : Les mouvements des plaques ?

[Urmie Ray] : Non. En géologie, en ce qui concerne le mouvement latéral des masses terrestres.

[Jérémie Mercier] : Oui, oui.

[Urmie Ray] : En géologie, ça a été terrible. Les géologistes qui ont finalement pu peu à peu établir la vérité, ils ont été attaqués incroyablement, mais ils ont été… Tout leur caractère a été détruit. Parfois, ils n’ont pas eu de boulot ou quand ils en avaient, ils ont perdu leurs postes universitaires, etc. En géologie, l’une des principales géologistes des années 60-70, elle a travaillé de chez elle. On est à ce stade-là aussi. Il faut voir que ce qui se passe, c’est aussi ça. Je veux dire, il y a quelque chose qui se passe dans le monde scientifique. C’est à nouveau, une révolution radicale de la pensée qui est merveilleuse. Bien sûr, la masse essaye de faire reculer cela, parce que c’est difficile, ça, je le conçois. C’est difficile de laisser tomber tous les dogmes, toutes les pensées, tout ce sur quoi on a peut-être travaillé toute sa vie.

[Jérémie Mercier] : Ce qui veut dire que beaucoup de scientifiques, finalement, ne sont pas vraiment des scientifiques, mais se comportent comme des religieux qui adhèrent à un dogme et qui ont du mal à imaginer que ça puisse être faux, qu’il faille tout revoir en permanence. Alors que normalement un scientifique doit douter de tout en permanence et seule l’expérience va amener confirmation ou infirmer les hypothèses et ces théories.

[Urmie Ray] : Oui, oui, exactement. Il y a une corruption interne à la science.

[Jérémie Mercier] : C’est ça.

[Urmie Ray] : Et qui va au-delà… Même s’il n’y avait pas des pressions financières, etc. Cette corruption déjà existe à cause de la manière dont spécialement la science moderne a évolué dans l’histoire. Dans mon dernier livre, j’analyse le pourquoi de cette corruption interne. Et en plus, malheureusement, contrairement à ce qui s’était passé en géologie ou en physique à l’époque – au moins à l’époque, il n’avait pas de pression financière, donc c’était plus facile – et en plus, c’était de suggérer que pour la population, ce n’était pas aussi important que ça. Mais là, il y a des pressions énormes, de grands enjeux financiers. Donc en plus, il y a ça, je veux dire, qui empêche cette évolution absolument vitale à faire en biologie.

[Jérémie Mercier] : Puis, il y a des grands, des très grands groupes qui sont à la base de l’emprise de l’industrie pharmaceutique sur le monde de la santé depuis la fin du 19ème siècle, qui n’ont aucun intérêt à ce que la science existe et font tout pour enfermer les gens dans des croyances religieuses ou quasi-religieuses sur des théories complètement obsolètes, notamment celle qu’on est en train de démonter aujourd’hui.

[Urmie Ray] :  Exactement. Venons-en à l’expérience contrôle. Comme on l’a dit précédemment, je veux dire, sans expérience contrôle, vous ne pouvez pas affirmer quoi que ce soit. C’est-à-dire que vous devez faire une expérience où la cause que vous pensez – je veux dire, ce que vous pensez être la cause du phénomène étudié – vous faites en sorte que cette cause-là n’existe pas. Normalement, ce que vous devriez voir, c’est que le phénomène ne se produit pas. La première fois qu’une expérience contrôle a été réalisée en virologie, c’est en 1958, par Enders, le chercheur qui a introduit cette méthode dont nous venons de parler. Et il l’a fait en utilisant une culture non inoculée, une culture où il n’y avait pas de matériel infecté. Il n’a pas pris un tissu infecté par un être humain, par quelqu’un pour voir ce qui se passait. Les changements cytopathiques qu’il a induits dans les préparations n’ont pas pu être distingués avec certitude des virus isolés de la rougeole. Bien qu’il soit affirmé que  » lorsque les cellules des cultures infectées ont été fixées et teintées, leur effet a pu être facilement distingué  » en fait, dans un article ultérieur, Enders reconnaît qu’ « un agent provenant des tissus rénaux de singe qui, jusqu’à présent, ne se distingue pas du virus humain de la rougeole avait été isolé et que l’origine de l’agent responsable de la présence d’anticorps chez des singes apparemment normaux n’a pas encore été résolue ». Donc en fait, Enders reconnaît qu’on ne peut rien conclure sur l’origine virale de la rougeole en ayant fait cette expérience de contrôle. Entre temps, en ce qui concerne la rougeole, il y avait eu une autre étude par Bech et Von Magnus, qui avait également constaté que l’  » effet cytopathique n’est pas spécifique à la rougeole, mais est causé par d’autres facteurs « . Dans le cas de la rougeole, tout cela a été confirmé il y a quelques années par un laboratoire allemand indépendant selon lequel je cite :  » En fonction des substances non virales et non infectieuses ajoutées, des modifications de la morphologie cellulaire ont pu être observées à différents moments, ce qui a été assimilé depuis 1954 à l’isolement du « virus de la rougeole ». En particulier, après l’ajout de concentrations élevées de pénicilline/ streptomycine 20% ou une culture dans des conditions déficientes de nutriments, on a observé des changements dans la morphologie cellulaire qui étaient microscopiquement identiques à la formation de syncytia décrite par le virus de la rougeole… Les recherches ont clairement montré que la formation de syncytia n’est pas spécifique d’une infection par la rougeole. Ainsi, les observations oubliées d’Enders & Peebles et de Bech & Von Magnus ont été confirmées et l’hypothèse selon laquelle Enders & Peebles et ses successeurs avaient utilisé cette technique pour prouver l’existence d’un virus a été réfutée « . Ce qui vient de se passer beaucoup plus récemment, des expériences contrôles plus générales qui viennent d’être faites par l’ex-virologue Stefan Lanka – parce qu’il se considère ex-virologue ; il était virologue, mais puisqu’il a montré que tout ce domaine n’était pas fondé, il se considère maintenant comme un ex-virologue. Quelqu’un m’a demandé :  » est-il mort ? Ex-virologue ?  » Non, il n’est pas mort. Qu’a-t-il fait ? La première partie de son expérience, il l’a faite en avril 2021. D’après lui… il a montré les photos, etc. des résultats. Et il aurait trouvé que l’effet central de toute expérience basée sur les méthodes décrites précédemment, considérées comme preuves de la présence et de la causalité virale, à savoir la décomposition et la mort des cellules, peut être obtenue en utilisant les mêmes méthodes, mais sans matériel infecté. C’est-à-dire qu’en fait, la mort cellulaire provient de la méthode utilisée.

[Jérémie Mercier] : C’est le délire !

[Urmie Ray] : Il a utilisé des tissus fraichement isolés, donc qui ne sont pas infectés, recevoir leurs nutriments naturels et une petite dose d’antibiotiques dans le groupe 1. Dans le groupe 2 et 4, il a transféré les tissus… Il a utilisé tous les tissus cellulaires, mais il n’a pas utilisé d’échantillon infecté qu’il aurait mis dans ces tissus-là. Dans les groupes 2 et 4, les tissus ont été transférés dans le milieu de culture des cellules Vero. Dans le groupe 2, avec 10 % de sérum et une petite dose d’antibiotiques, comme pour le groupe 1. Dans le groupe 3, comme on le voit avec trois doses d’antibiotiques et une solution nutritive réduite de 10 à 1 %, selon la procédure habituelle. Dans le groupe 4, comme pour le groupe 3 avec ajout d’ARN provenant de levure, c’est-à-dire neutre et non d’origine pathogène, mais imitant le liquide pulmonaire inoculé dans la culture cellulaire qui apporte de grandes quantités d’acides nucléiques. Quel résultat a-t-il obtenu ? Un jour après le transfert, le groupe 1, c’est-à-dire celui qui recevait encore ses nutriments habituels et une toute petite dose d’antibiotiques, était encore sain. Les autres en ordre croissant de mauvaise santé, mais de façon minime dans le groupe 2. Et 5 jours après le transfert, le groupe 1 était encore sain. Le groupe 2, moins que le jour 1 et le groupe 3 avec une dégradation spécifique massive, communément interprétée comme l’effet cytopathique dû au virus. Et le groupe 4 avec une dégradation dramatique et mort cellulaire. Donc, ce qu’il a montré par là, c’est qu’en utilisant la méthode, mais sans échantillons infectés, eh bien, on obtient le même résultat qu’en utilisant quelque chose d’infecté. Donc, en fait, c’est la méthodologie qui crée la mort cellulaire, les dégradations cellulaires.

[Jérémie Mercier] : D’accord. Et non pas le supposé virus.

[Urmie Ray] : Non, non. C’est-à-dire que même sans infection…

[Jérémie Mercier] : Pas besoin, pas besoin.

[Urmie Ray] : Sans infection, on a les mêmes résultats, donc c’est ça. Je veux dire, donc après, est-ce qu’on peut conclure qu’il y a quelque chose fantomatique, plutôt que de conclure logiquement que la méthode a le même effet ? Comment peut-on conclure autre chose puisqu’on n’a pas observé cette autre chose et on voit que sans cet autre chose, on a le même résultat. La science, ce n’est pas des croyances en des fantômes. Il vient tout juste de terminer la deuxième partie. Les résultats seront publiés par écrit dans 6 à 8 semaines, mais il a fait une petite vidéo pour annoncer ses résultats. En quoi consiste cette deuxième partie ? Jusqu’en 1952, il y avait une controverse sur ce qu’était le matériel génétique. Cela consistait-il de protéines ou d’acides nucléiques, c’est-à-dire d’ADN ? En faisant des expériences sur les bactériophages, Alfred Hershey et Martha Chase ont trouvé que pour synthétiser, c’est-à-dire catalyser la création d’une protéine, il fallait de l’ADN. Donc que le matériel génétique consistait en de l’ADN. Pour cette seconde phase de l’ADN donc de l’acide nucléique, qu’a fait Lanka et son équipe pour la deuxième phase de l’expérience ? Ils ont prélevé de l’acide nucléique sur un tissu humain sain. En utilisant les amorces données pour SARS-CoV-2 – les amorces qui sont publiées notamment par l’OMS, je suppose… qu’on peut trouver sur le site de l’OMS – ils les ont amplifiés d’une manière scientifiquement stricte et acceptable, c’est-à-dire seulement 12 fois, et ils ont obtenu 20 % du génome du SARS-CoV-2. Lorsqu’ils ont utilisé après, ils ont amplifié encore plus, c’est-à-dire, par 30 cycles – c’est déjà considéré en biochimie comme sale et non scientifique – et à 30 cycles avec le même taux d’erreur que les virologues, ils ont obtenu 100 % du génome. En résumé, la phase 2 montre que le matériel génétique d’un virus est en fait celui d’un tissu humain normal et n’est pas spécifique à quelque chose d’extérieur au corps. Ce sont des séquences purement humaines. En utilisant la même technique qu’en virologie, on obtient les mêmes résultats. Normalement, pour prouver une théorie, il faut des observations reproduites et reproductibles à volonté, puisqu’une seule expérience est insuffisante pour bien des raisons. Les résultats pourraient être dus à un cas particulier. Ça, c’est lorsqu’on veut montrer quelque chose de positif. Mais pour réfuter une théorie ou un résultat, il suffit d’un seul contre-exemple. C’est de la logique pure. La seconde partie de l’expérience réfute totalement l’affirmation qu’on a un matériel génétique viral, c’est-à-dire un agent pathogène venant de l’extérieur et qu’on pourrait détecter par PCR. Ces résultats, comme je l’ai dit, seront publiés bientôt, dans les deux mois qui viennent. Et il faut savoir que jusqu’à aujourd’hui, entre après Enders et l’expérience faite par Lanka récemment, jamais une expérience contrôle avec de l’acide nucléique prélevé sur un tissu humain sain et non infecté n’a jamais été faite. D’ailleurs, les travaux de Lanka vont plus loin. Lui et son équipe peuvent aussi montrer que les données brutes originales qui ont été publiées dans un article sous une forme préliminaire le 10 janvier 2020 – et cet article est paru dans Nature le 3 février – est que ces données brutes sont en fait fabriquées. Le problème en science, c’est que les gens ne lisent pas les articles. Ils regardent le titre, ils regardent la conclusion, mais très peu de gens lisent les articles. Et ça, c’est une chose que mon directeur de thèse en mathématiques m’avait prévenu. Quand j’étais son étudiante, John Thompson, qui est l’un des plus grands mathématiciens du 20ème siècle, m’avait dit :  » tant que vous serez mon étudiante, vous lirez tous les articles de A à Z et vous ferez un exposé sur chaque article que vous utilisez « . Et heureusement que je l’ai fait parce que sur un article fondamental que je devais utiliser, il était faux. C’était en plein milieu de l’article, il y avait quelque chose qui ne collait pas. Il a fallu trouver l’autre méthode pour trouver le résultat, pour prouver ce que je devais faire. Mais bon, ce que je veux dire, c’est qu’il faut les lire. Et heureusement que j’ai eu un aussi bon directeur de thèse.

[Jérémie Mercier] : Directeur de thèse.

[Urmie Ray] : Et la manipulation est évidente si on lit cet article. Qu’est-ce que dit l’article ? C’est qu’ils ont 300 000 séquences qui se chevauchent appelés contigs et qu’ils font un séquençage métagénomique profond – on en a parlé, c’est la deuxième série avec l’amplification et avec l’ajout de molécules. Après, le nombre de séquences qui se chevauchent normalement, logiquement, devrait être égal ou supérieur au nombre original, c’est-à-dire à 300 000. Mais en fait, ce qu’on voit, c’est qu’il y en a 10 fois moins. L’article donne les chiffres, il y en a 10 fois moins. Qu’est-ce qu’ils ont fait ? Ils ont tout filtré, pour qu’avec un outil informatique, on obtienne toujours la séquence appelée SARS-CoV-2. Il existe un certain nombre de différents logiciels dans le monde pour chercher des séquences qui se chevauchent – comme je l’ai dit, ça s’appelle les assembleurs – mais à partir des données brutes trouvées dans cet article, seul avec le programme développé en Chine, qui s’appelle MEGAHIT, est-il possible de trouver le génome de SARS-CoV-2. En utilisant les autres logiciels, on ne le trouve pas. Avec les autres logiciels, il n’est pas possible de créer le génome de SARS-CoV-2. Donc le génome viral est une invention totale.

[Jérémie Mercier] : Il faut avoir le bon logiciel, il faut avoir le bon fournisseur de logiciels pour pouvoir trouver le fameux virus que tout le monde veut avoir. C’est ça ? C’est génial.

[Urmie Ray] : C’est génial. Donc ils ont fait ça, leurs travaux, ils l’ont fait en utilisant, comme je le disais, des amorces utilisées pour déterminer SARS-CoV-2, mais on utiliserait les amorces utilisées pour d’autres maladies attribuées à des virus, on retrouverait le génome des autres virus en utilisant simplement la méthode et aucun tissu infecté, donc. Son travail, vraiment, remet totalement la virologie en cause et montre qu’il y a un véritable problème à la base. Ce que je voudrais dire, c’est qu’il n’y a aucune honte à le reconnaître. Le problème, c’est que moi aussi, quand j’étais dans le système, les maths que j’ai faites, c’est assez proche de la physique quantique – je veux dire, il y a des applications. Je veux dire, moi-même, quand on m’a appris la physique quantique, aucun de mes collègues ou de mes camarades, on a questionné ce qu’on a lu. Même en physique, il y a des dogmes. Ce n’est qu’en 2015 que j’ai appris la preuve que les rayonnements artificiels créés par l’homme, c’est-à-dire celles des antennes, elles ne sont pas composées de photons, c’est qu’elles ne sont pas quantiques. Mais tous les livres, vous ouvrez n’importe quel livre de physique, ils vous diront que tous les rayonnements sont quantiques. Et le fait que, par exemple, les rayonnements artificiels des antennes ne sont pas quantiques, est une des raisons pour laquelle les rayonnements artificiels électromagnétiques, sont dangereux pour notre santé. Et ça, on le sait depuis 2015. Mais qui d’entre nous avait questionné et qui d’entre nous est allé voir sur quelles bases expérimentales on disait que tous les rayonnements étaient quantiques ? Il n’y a personne, on ne l’avait pas fait. Et quand on l’a fait, et il faut pouvoir le reconnaitre et peut-être que si j’arrive à questionner, c’est parce que je suis sorti du système. À l’intérieur du système, probablement, aujourd’hui, j’accepterai aussi tout, c’est clair. Parce que quand tout le monde autour de moi accepte, quand tout le monde…  Je veux dire, le dogme se propage, c’est assez… Comme une boule de neige. Personne ne va relire les expériences, personne ne regarde les origines des conclusions et vous acceptez. Et c’est exactement ça qu’il ne faut pas faire. Et voilà donc…

[Jérémie Mercier] : Comment on peut… puisque, si on te suit, on se dit, bon bah, les « virus », ça n’existe pas ou en tout cas, ce qu’on pense être des virus, ce n’est pas des agents infectieux. C’est peut-être juste des exosomes, des choses produites par les cellules pour communiquer entre elles, pour avertir, pour communiquer, pour s’adapter à un éventuel danger. Ça amène plein de questions, ça. Ils font quoi, les virologues ? C’est quoi ? Ça sert à quoi ce qu’ils font, déjà ?

[Urmie Ray] : Je ne sais pas, ne me demandez pas la question… [rires]

[Jérémie Mercier] : Non, mais c’est vrai quoi i

[Urmie Ray] : Oui, oui, c’est…

[Jérémie Mercier] : Ils passent leurs journées à faire quoi, là ? Je comprends pas très bien en fait.

[Urmie Ray] : Le problème, c’est qu’on a oublié ce qu’était l’observation. On prend les simulations pour des observations. Mais une simulation informatique, ce n’est pas une observation.

[Jérémie Mercier] : Bien sûr.

[Urmie Ray] : On simule ce que l’on veut. Ce qu’on oublie, c’est que la base de la science, c’est de l’observation empirique, observée et observable à volonté.

[Jérémie Mercier] : Absolument.

[Urmie Ray] : Et ça on l’oublie constamment : qu’est-ce que l’observation ? Et aussi le fait d’aller – et ça, c’est un plus grand questionnement – le fait de constamment aller vers le plus petit, le plus petit, le plus petit, on en oublie le monde macroscopique. Comment est-ce qu’on relie ce monde-là au monde macroscopique ? Même Poincaré, le grand mathématicien, un physicien du début du 20ème siècle, l’a dit. Je veux dire, si quelqu’un, en regardant, je crois, une infime partie d’un éléphant avec un microscope pensait qu’il connaissait l’animal, c’est un véritable problème. Tous les scientifiques de renom se sont toujours posé la question. Il faut faire très, très attention parce qu’on sait… Et c’est pour ça, la science ne peut jamais trouver la vérité. On est peut-être motivé pour trouver la vérité, mais il y aura toujours un moment où on aura des observations qui limiteront les résultats communs. Par ailleurs, la manière de penser, je veux dire, toute la science est basée sur des concepts. En fait, les gènes n’ont jamais été vus. Le gène est un concept, l’ADN est un concept. Ça, ce sont des concepts.

[Jérémie Mercier] : Carrément ?

[Urmie Ray] : Il faut s’en souvenir partout. Un atome est un concept. Ce qui veut dire que la science est basée sur des concepts. On ne peut pas… La science est basée sur des choses non observables et c’est normal. Pour que le concept soit valide, il faut que ses conséquences dans ce qu’on peut observer soient suffisamment solides pour valider nos concepts.

[Jérémie Mercier] : Bien sûr.

[Urmie Ray] : Par exemple, on voit le monde de manière atomique, ça aussi, ça vient de la culture, de l’évolution culturelle, de certaine partie du monde, en particulier l’Inde et après l’Europe. Mais il y a beaucoup de scientifiques qui voudraient voir ça comme des champs ou d’autres choses. Et peut-être qu’un jour, tout notre concept de l’univers ne sera plus atomique. Il faut savoir que la science, elle n’est pas isolée. Ce n’est pas un truc objectif isolé et c’est ça qui est merveilleux. C’est que la science est le seul savoir, à mon avis, qui en elle-même, de par sa nature, invite l’autocritique et qui ne dit jamais  » je sais  » et qui doute toujours.

[Jérémie Mercier] : Ça force à l’humilité en permanence. Oui, c’est vrai que c’est fou !

[Urmie Ray] : Comme je finis mon livre en disant en tant que scientifique, on en vient à comprendre ce que Socrate a dit, c’est que « je sais que je ne sais rien ». Ce que je sais aujourd’hui pourrait être démontré comme faux demain. Mais malgré ça, l’être humain – et c’est ça qui est merveilleux de l’être humain – malgré ça, à chaque fois, on espère, on espère. Tout scientifique sait, quand on travaille, tous les trucs qu’on jette à la poubelle et toutes les fois qu’on a voulu montrer quelque chose et que ça ne marche pas. Et on se dit quand on commence,  » on est près de la vérité, on y est, on y est « , après, on voit que ben non. C’est comme ça. Et à chaque fois, on espère et c’est ça. C’est la condition humaine, rien d’autre.

[Jérémie Mercier] : J’ai une question de « Chat 27″ qui dit  » alors quelle menace déclenche la production simultanée de ces exosomes chez les patients Covid ?  » Comment on peut répondre à ça ?

 

[Urmie Ray] : Ah, ça, je crois qu’il vaut mieux que vous le demandiez à… Tout d’abord, dans la question, il y a une erreur, c’est-à-dire patient Covid. Il n’a jamais été…

[Jérémie Mercier] : Entre guillemets quand même, entre guillemets parce que du coup…

[Urmie Ray] : D’accord, d’accord. D’après ce que je sais, parce ce n’est pas mon domaine, c’est que quand le corps ne peut plus s’autoréparer d’une autre manière, les exosomes, c’est la dernière protection qu’on a. C’est à ce moment-là que nos cellules les produisent pour vraiment s’autoréparer. Les exosomes sont très, très importants. Si on est en train de faire de la recherche pour même tuer les exosomes, on ne pourra plus s’adapter. Là, ça sera la fin de l’humanité. Donc ce signe, c’est la réparation, une manière naturelle du corps pour se réparer.

[Jérémie Mercier] : Mais la question, je vais la reposer, du coup, c’est  » pourquoi il y a cette production d’exosomes chez les gens qui vont avoir des symptômes attribués au Covid ?  »

[Urmie Ray] : Il y a des exosomes dans toutes, toutes autres maladies, également.

[Jérémie Mercier] : Oui, peut-être du coup…

[Urmie Ray] : C’est pas spécial aux maladies qu’on appelle Covid et qui ne sont pas…

[Jérémie Mercier] : Bien sûr, oui, oui. Mais alors peut-être revenir de manière plus générale à la question suivante : pourquoi on a des maladies en fait ?

[Urmie Ray] : Oui, donc. À nouveau ça, c’est donc là, bien sûr, c’est des opinions. Je veux dire le fait qu’il n’y a pas de virus identifié et que ce que montre l’expérience de Lanka – ce n’est pas seulement SARS-CoV-2 – qu’un virus est une invention. Ça, ce sont des faits. Mais après, ce sont des opinions qu’on sur les maladies, qu’est-ce qui cause des maladies, là… Donc, je pense d’après ce que j’ai lu et d’après mes discussions avec pas mal de médecins et de chercheurs ces derniers mois, c’est qu’il y a deux causes fondamentales à quelque chose de toxique, c’est-à-dire un poison ou le rayonnement électromagnétique. Par exemple, il y a beaucoup de gens qui vont dire « Ah, j’habite à la campagne et il y a beaucoup de maladies en ce moment à la campagne « . Mais il faut savoir que le taux de pesticides qu’on peut utiliser, c’est-à-dire la limite supérieure de l’utilisation de pesticides, a été enlevé par l’ONU en août 2019. Donc depuis août 2019, on peut utiliser autant de pesticides qu’on veut internationalement. Ça dépend selon le fermier.

[Jérémie Mercier] : Tu aurais le lien vers l’article ou vers je ne sais pas comment ça s’appelle…

[Urmie Ray] : Oui, la réunion, le document, oui, je pourrai le trouver. Par exemple, il faut savoir, parmi les pesticides, qu’est-ce qu’il y a, il y a le Roundup en particulier. Donc, il y a plus de limite supérieure, et ça, ça se retrouve dans la nourriture, il ne faut pas simplement vivre à la campagne pour ça. Il y a quoi d’autre ? Il y a par exemple, tous les produits pour tuer les soi-disant bactéries ou virus qu’on utilise pour se laver les mains ou pour nettoyer les surfaces. Par exemple dans les magasins, pour nettoyer les surfaces, ça se retrouve dans la nourriture, finalement. Donc, on est en train d’ingérer beaucoup de poisons, en ce moment. C’est aussi c’et à investiguer : est-ce que les chemtrails… – c’est-à-dire le gouvernement espagnol a reconnu dans un document écrit, que j’ai quelque part…

[Jérémie Mercier] : J’ai plein de questions là-dessus et je n’ai jamais… Moi, je n’ai jamais été convaincu, vraiment, par ce que j’ai vu, parce qu’on m’a dit, « ah c’est la preuve que… ». Ça ne m’a jamais vraiment convaincu, mais si jamais tu as des preuves, ok.

[Urmie Ray] : Ce n’est pas une question que j’ai particulièrement investiguée jusqu’à présent. Mais j’ai vu le document du gouvernement espagnol, qui date d’il y a, je ne sais pas, un ou deux mois et qui reconnaît que oui, ils sont en train d’asperger quelque chose des avions. Et ça, on ne peut pas l’éviter puisque dès qu’on sort… Si le gouvernement espagnol est en train de le faire, je suppose que les autres aussi.

[Jérémie Mercier] : Non, non, pas le gouvernement français parce que le gouvernement français veut vraiment le bien des Français.

[Urmie Ray] : Ah oui, le gouvernement espagnol le fait parce qu’il veut le bien des Espagnols.

[Jérémie Mercier] : Ah c’est ça, d’accord.

[Urmie Ray] : Ah oui, ah oui, c’est pour nous protéger du Covid.

[Jérémie Mercier] : D’accord, ok.

[Urmie Ray] : Ils ne disent pas qu’ils sont en train de le faire pour nous tuer [rires]…

[Jérémie Mercier] : D’accord, ok.

[Urmie Ray] : … Ou pour nous rendre malades.

[Jérémie Mercier] : Ils disent qu’ils épandent des produits pour « désinfecter », soi-disant l’atmosphère, c’est ça ?

[Urmie Ray] : Pour nous protéger, je ne sais pas.

[Jérémie Mercier] : Ok, je suis intéressé par ce document, en tout cas.

[Urmie Ray] : Oui, le document m’a été passé non pas par les espagnols, mais par des résistants d’un autre pays.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Ça, ce n’est pas rare. Donc, il y a ça, il y a, comme je le disais, le rayonnement. Il y a non seulement la 5G – bon la 5G, elle n’est pas encore activée – mais quand elle sera activée…. Là, par exemple, le physicien Dimitris Panagopoulos, qui est celui qui a fait les expériences en 2015 et qui a trouvé que les propriétés qui étaient différentes des rayonnements naturels, qui font que ces rayonnements des antennes sont dangereux et en quel sens ils nous sont dangereux ? Il m’a envoyé un mail – je ne sais plus quand, en début d’année ou fin 2020 – et il m’avait dit « ce sont des psychopathes, parce qu’avec la 5G, ils peuvent tuer tout le monde.

[Jérémie Mercier] : Carrément !?

[Urmie Ray] : Que nous soyons vaccinés ou non, tout le monde. Il faut faire très attention. Mais il n’y a pas que la 5G. Il y a aussi le fait qu’on nous a forcés de travailler de chez nous. Donc, il y a une montée en flèche de l’utilisation du sans fil. Et ça, ça crée beaucoup de paramètres aléatoires qu’on sait contribuer à la destruction de nos cellules. Le fait est que la surutilisation de la 4G ou de tout autre objet est également problématique. Il n’y a pas que la 5G. Même si la 5G n’est pas active dans certains endroits, ça ne veut pas dire que… simplement la surutilisation d’internet et du sans fil ! Je dirais à tout le monde :  » n’utilisez pas vos téléphones portables « . Moi, je n’ai jamais eu un téléphone, un smartphone de ma vie, ce n’est pas parce que j’avais peur de la surveillance. C’est simplement parce que je savais, parce que mes parents étaient d’excellents physiciens et ils m’avaient toujours dit  » n’utilise jamais de sans fil « .

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Et aussi les micro-ondes et tout ça. Je n’ai jamais eu un four à micro-ondes, ni mes parents. Pas parce qu’on est contre la modernité. C’est simplement, je veux dire, depuis que je suis toute petite, on m’a toujours dit ça, donc les meilleurs physiciens, pas seulement mes parents  » fais très attention, fais très attention « . Et donc je n’ai jamais eu de smartphone à cause de ça. À la maison, je n’utilise pas le Wi-Fi. Je sais qu’on ne peut pas vraiment se protéger parce que c’est partout et c’est ça le problème. Mais au moins, chez moi, je n’ai pas de Wi-Fi. J’utilise une connexion Ethernet. Et pourquoi voudrais-je avoir un Wi-Fi ? Je veux dire, je ne vais pas me connecter sur internet quand je vais me coucher. C’est simplement quand je suis devant mon bureau en train de travailler. Et par ailleurs, il y a aussi des maladies – donc il y a ça, le rayonnement – et puis, il y a toutes les maladies dues au fait que le confinement nous rend malades. Et les masques, bien sûr, ne nous permettent pas de respirer et le masque en lui-même est un bioréacteur parce que toutes nos déjections restent là comme ça, tout près de notre bouche.

[Jérémie Mercier] : Intéressant, tu as dit que c’était un bioréacteur. Donc c’est un endroit où on va pouvoir produire ou faire se reproduire des microorganismes issus de ce qu’on va expirer, et humidifier en permanence.

[Urmie Ray] : Oui, il ne faut absolument pas que les parents acceptent que les enfants… Je veux dire, il faut savoir que le cerveau se forme complètement assez tard – je ne sais plus, mais même à 18 ans, je crois qu’il n’est pas complètement formé – donc, en période de formation, que les parents permettent à leurs enfants de mettre un masque pratiquement tous les jours, c’est… Je ne sais pas, c’est…

[Jérémie Mercier] : Pour redire les choses, c’est ce qui m’a fait, c’était ma limite et c’est ce qui m’a fait retirer mes filles de l’école française et aller en Estonie, carrément ! Pour moi, c’est hors de question que mes enfants mettent des masques, ça, c’est sûr.

[Urmie Ray] : Absolument, tu as très, très bien fait. Puis, il y a ça et puis, les tests PCR sont très mauvais pour la santé.

[Jérémie Mercier] : Pour quelles raisons ?

[Urmie Ray] : Les écouvillons, on sait, contiennent des nanoparticules. Ils contiennent aussi d’autres produits, du poison, l’oxyde d’éthylène.

[Jérémie Mercier] : Oxyde d’éthylène ?

[Urmie Ray] : Les nanoparticules qu’ils contiennent ont été vues sous microscope électronique par le professeur [Antonietta] Gatti, celle qui a fondé, elle était physicienne d’origine, celle qui a fondé tout le domaine de pathologies dues aux nanoparticules. C’est vraiment la grande spécialiste de la question. Et il y a plein de choses – comme on le sait – par exemple, les gens qui ont d’autres pathologies, ils sont laissés à eux-mêmes. Ils ont été laissés très souvent à eux-mêmes sans soins. Et ça, je peux en témoigner personnellement parce que je me suis fracturé le tibia il y a un an, et je dois vous dire que parce que c’est durant cette période, mon tibia il n’est pas encore remis.

[Jérémie Mercier] : Ah oui.

[Urmie Ray] : Parce que maintenant je ne peux pas aller à l’hôpital, donc qu’est-ce que je peux faire ? Je peux marcher, je peux tout faire, mais 24 heures par jour, j’ai mal là où je ne m’attendais pas…

[Jérémie Mercier] : Comment on peut expliquer du coup, peut-être, les phénomènes qu’on attribue à des contagions et des épidémies s’il n’y a pas de virus ? Ce qu’on appelle les « épidémies virales ».

[Urmie Ray] : Scientifiquement, il faut prouver la contagion. La contagion, apparemment, n’a jamais été prouvée. Et ce qu’on voit, par exemple, ce sont des maladies plus individuelles. Lorsque votre immunité est basse et qu’il y a quelque chose de toxique ou un rayonnement – il y a un très bon livre en anglais qui s’appelle « The Invisible Rainbow », qui a été écrit par un physicien.

[Jérémie Mercier] : Quelqu’un l’a mentionné tout à l’heure dans le tchat, « The Invisible Rainbow », donc l’arc-en-ciel invisible. Moi, je ne connais pas, je ne l’ai pas lu.

[Urmie Ray] : Oui, j’ai déjà lu une partie, mais pas tous encore. Ce qu’on voit, c’est que, par exemple, la grippe, ce qu’on appelle la grippe comme on la connait dans le monde moderne, elle est apparue avec le télégraphe, le long des lignes télégraphiques. Et à chaque fois qu’il y a une étape supplémentaire d’électrification, il y a une soi-disante épidémie. Et c’est assez extraordinaire parce même les épidémies plus récentes, à chaque fois, il y avait eu une étape supplémentaire d’électrification, d’utilisation des ondes électromagnétiques artificielles. Ça ne veut pas dire que c’est la cause parce qu’on n’a pas prouvé que c’était causal, mais bon, c’est quelque chose à garder en tête. C’est-à-dire que si vous me demandez mon opinion personnelle, je crois qu’aucune thèse ne sera jamais prouvée parce que le monde est trop complexe, la théorie est trop complexe. Déjà en physique, on n’y arrive pas et c’est le monde inanimé, donc quand il y a le facteur de la vie… Ce qu’il faut, c’est ramener le pluralisme en science, c’est-à-dire en ce qui concerne les maladies, les regarder de toutes les manières possibles et que la recherche se fasse de manière pluraliste. Donc, ramener aussi l’idée de Béchamp ou de Claude Bernard, c’est-à-dire du milieu interne, de l’adaptation, etc. Et faire des recherches de multiples manières, ce qui ramènerait une médecine pluraliste, c’est-à-dire différentes écoles de médecine comme on avait avant et que toutes les personnes choisissent la médecine qu’elle veut pour se soigner. C’est simplement ça. Si certains veulent suivre l’allopathie, qu’ils la suivent ! Parce que même quand vous regardez dans un verre d’eau, vous le mettez au loin ou quelque chose, ça dépend de l’angle sous lequel vous allez le regarder, vous verrez qu’il n’apparaît pas de la même manière. C’est absolument nécessaire, c’est la chose de base, sinon, on va droit dans le mur, si on n’a qu’un chemin soi-disant scientifique ou pseudo-scientifique, en plus, qu’on suit. Ça, c’est mon opinion

[Jérémie Mercier] : Une personne disait – je n’arrive plus à retrouver le message – tout à l’heure dans le tchat, elle disait qu’elle avait été en contact avec une personne qui était « malade du Covid » et qu’elle a pris un échantillon de salive de cette personne, qu’elle a ingéré quoi, et grâce à ça, pense-t-elle, elle a réussi à avoir un test positif au Covid.

[Urmie Ray] : Non, non, mais le test n’a rien à voir avec Covid. Simplement, ce qu’il voit, c’est si vous avez beaucoup d’ADN dégradé, vous aurez un test positif à une moindre amplitude. On a tous un peu d’ADN dégradé. Donc à plus de 40-45 cycles, vous aurez plus ou moins toute la population. Le test n’a rien à voir avec un quelconque diagnostic de maladie et ça Kary Mullis l’a dit, le test PCR n’est pas un outil de diagnostic.

[Jérémie Mercier] : Diagnostic, bien sûr. Bon, on pourrait dire que dans certaines conditions, n’importe qui peut avoir un test PCR Covid positif, en gros, c’est ça ?

[Urmie Ray] : Oui, oui, ça dépend de la qualité de son ADN, ça n’a rien à voir avec une quelconque maladie. Et ça ne veut pas dire que parce que vous avez de l’ADN dégradé, vous êtes malade, on a tous…

[Jérémie Mercier] : Il y a des phases où on va se nettoyer, d’une certaine manière, en dégradant l’ADN, c’est ça. Et puis… C’est des processus vitaux.

[Urmie Ray] : C’est tellement complexe, tout ça. Oui, il faut faire attention aux conclusions.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Et c’est sûr que si vous prenez un fluide contaminé par du poison, vous risquez d’ingérer le poison et que le poison va avoir un effet sur vous.

[Jérémie Mercier] : OK, et j’ai cette question aussi – alors moi je connaissais le terme de microzyma – est-ce que c’est la même chose que exosome ? Et est-ce que c’est la même chose peut-être, que somatide, c’est un terme que je connais moins, que j’avais déjà vu peut-être, mais est-ce que tu connaissais ces deux autres termes ? Est-ce qu’ils sont tous équivalents ces trois termes, selon toi ?

[Urmie Ray] : Là, il faudrait demander à quelqu’un d’autre.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Je ne suis pas encore allée voir, remonter aussi loin. Microzyma, oui, bien sûr, c’est la conception de Béchamp.

[Jérémie Mercier] : De Béchamp.

[Urmie Ray] : Mais je ne suis pas encore remontée aussi loin. J’ai lu le bouquin de Claude Bernard. Moi, j’étais plus partie du côté Claude Bernard. Béchamp, je n’ai pas encore regarder ses travaux.

[Jérémie Mercier] : D’accord, ok. Ok, ok. Bon bah écoute, on a déjà balayé pas mal de choses, je pense. En tout cas, c’est passionnant. Moi, ce que j’ai envie de faire, c’est vraiment de lancer un vrai débat scientifique et qu’on arrête de rester sur ces dogmes du virus, de  » on a isolé je ne sais pas quoi « , et en fait, on se rend compte qu’on a isolé un truc, amplifié je ne sais combien de fois, analysé par une simulation d’un logiciel chinois qui va nous sortir un résultat. Enfin, c’est vraiment bidon. Je pense que là, on est vraiment… Ce n’est pas du tout de la science, je ne sais pas ce que c’est ça, mais ce n’est pas de la science. Peut-être une question du coup, aussi avant de finir, on a, beaucoup entendu parler de l’équipe de Didier Raoult à Marseille, tu peux en dire deux mots, toi ? Qu’est-ce que tu penses de leur travail du coup ?

[Urmie Ray] : Je ne préfère pas m’avancer, je préfère garder mes opinions

[Jérémie Mercier] : Moi, j’aime bien mettre les pieds dans le plat, mais bon, je comprends.

[Urmie Ray] : Je sais mais, tout ce que je peux dire, c’est que d’après le docteur Claus Köhnlein, ils ont donné l’une des raisons pour lesquelles il y avait eu beaucoup de maladies dans une certaine partie de l’Italie et puis aussi de l’Allemagne au printemps 2020, c’est parce qu’ils avaient donné des doses trop élevées d’hydroxychloroquine aux patients, aux gens. Donc ça, c’est une des causes. Claus Köhnlein, particulièrement, a investigué le sujet et je l’avais interviewé, il y a… La vidéo n’a pas encore été traduite en français, elle est en anglais.

[Jérémie Mercier] : D’accord. Il dit que les gens ont été traités pour des symptômes dits Covid avec…

[Urmie Ray] : Je ne sais pas pourquoi, mais on leur a donné…

[Jérémie Mercier] : Ils ont reçu ça.

[Urmie Ray] : …des doses trop grandes. Vraiment, il le dit. La dose qu’on a donnée d’hydroxychloroquine était trop élevée et ça a été la cause de beaucoup de décès

[Jérémie Mercier] : En Italie et en Allemagne.

[Urmie Ray] : Et il faut savoir que tout médicament a beaucoup de contre-indications.

[Jérémie Mercier] : Bien sûr.

[Urmie Ray] : Il faut aussi savoir avec l’autre là, le… comment il s’appelle ? L’autre que tout le monde utilise là.

[Jérémie Mercier] : L’ivermectine ?

[Urmie Ray] : Oui, l’ivermectine. C’est un antiparasitaire. Premièrement, certaines injections contiennent probablement des parasites. Donc ça pourrait aider pour cela. Par ailleurs, lorsque votre système immunitaire est bas – et ça, c’est une chose dont on parle très peu – c’est que vous êtes probablement envahis par des parasites et que les parasites deviennent un problème pour votre santé. On sait que c’est le cas dans les pays pauvres, mais en fait, c’est aussi un très gros problème dans les pays soi-disant développés. L’ivermectine, si vous avez des parasites, vous aidera. Mais si vous n’avez pas de parasites, il vous aidera en rien.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Et en plus, il peut avoir des effets négatifs. Il faut toujours lire les notices des médicaments avant de les prendre.

[Jérémie Mercier] : Après moi, j’aime bien les approches plus naturelles. Et l’Artemisia annua, par exemple, c’est une plante que j’adore, qui est efficace pour plein de trucs.

[Urmie Ray] : Mais pour ceux qui veulent.

[Jérémie Mercier] : Oui, ou le MMS. Alors je ne sais pas ce que tu penses aussi. Tu connais peut-être un peu le MMS ?

[Urmie Ray] : Non.

[Jérémie Mercier] : Dioxyde de chlore.

[Urmie Ray] : Non.

[Jérémie Mercier] : Non, ok. Après bon, c’est étape par étape. On ne peut pas tout découvrir comme ça rapidement.

[Urmie Ray] : Non. Moi, comme je te dis, avant 2020, la médecine, les maladies, ce n’était pas du tout mon truc. Je veux dire, j’ai eu la chance de vivre jusqu’en 2020 sans avoir à y penser et je dois dire que je n’ai pas appris grand-chose. Malheureusement, c’est les évènements qui m’ont forcé en 2020 à essayer de comprendre ce qui se passe.

[Jérémie Mercier] : Ok. En tout cas, super. Merci beaucoup de nous apporter ce regard vraiment critique, rigoureux sur l’approche qui a permis jusqu’à aujourd’hui de faire croire que la virologie était une science. J’espère qu’on va dépasser tous ces dogmes qui doivent, à mon avis, tomber. Et je pense que la crise Covid est une excellente opportunité pour mettre en lumière tous les errements de cette fausse science, de ces fausses sciences médicales dans lesquelles tant de médecins sont empêtrés, tant de gens même sont empêtrés parce qu’ils croient que c’est le médicament qui va les sauver de je ne sais quoi. Et ils ne connaissent pas la santé, ils connaissent pas les causes des maladies. Enfin bref, tout tourne en rond en permanence. Et moi, je pense qu’on vit une époque formidable aussi à ce niveau-là, parce que peut être qu’elle nous permettra de faire éclater tout ça et aller vers une vraie médecine.

[Urmie Ray] : Oui, j’espère. Et surtout, une médecine pluraliste qui aura différentes approches et que chacun choisira…

[Jérémie Mercier] : Exactement.

[Urmie Ray] : … selon ses opinions.

[Jérémie Mercier] : Avec une approche globale si possible, et intelligente, qui va chercher les véritables causes et les traiter, voilà.

[Urmie Ray] : Oui, oui.

[Jérémie Mercier] : Holistique, comme on devrait toujours l’avoir en science, je pense, bref.

[Urmie Ray] : Absolument, exactement, c’est ce que… Pour moi, c’est surtout ça, il faut ramener le pluralisme dans tout, mais en particulier en science.

[Jérémie Mercier] : Ok, mais en tout cas, merci beaucoup Urmie pour ta présence ce soir. Et puis, je ferai sans doute prochainement, j’enverrais une newsletter ou ferai un article de blog et je rajouterai les références que tu as dites et les noms que tu as cités. Tu parlais de Köhnlein, de Stefan Lanka, le livre « The Invisible Rainbow » et tu avais aussi peut-être parlé d’un article des Nations-Unies qui autorisait de dépassement de doses de pesticides.

[Urmie Ray] : Oui, un document plutôt.

[Jérémie Mercier] : Pardon ?

[Urmie Ray] : Un document de la réunion.

[Jérémie Mercier] : Oui, un document. Et peut-être aussi sur ces fameux chemtrails espagnols, peut-être des causes de certains des troubles observés.

[Urmie Ray] : Je vais essayer de te retrouver ça, je suis tellement brouillon, c’est quelque part dans mon…

[Jérémie Mercier] : On va peut-être pouvoir restructurer cette partie-là. En tout cas, merci. Merci beaucoup Urmie. Passionnant ! Et puis, merci à tous et à toutes d’avoir été présents pour ce premier « Science en Conscience » de l’année 2022. Et moi, je vous retrouverai, normalement, dans deux semaines, pour le prochain épisode qui sera donc le vingtième. Je vous dis à très bientôt. Passez une bonne soirée. Et… tu as un petit mot ?

[Urmie Ray] : Oui, je peux remercier certaines personnes si ça…

[Jérémie Mercier] : Bien sûr, vas-y, vas-y.

[Urmie Ray] : Je voudrais, en particulier, remercier Thérèse Joannard et Daniel Jaunas, mais aussi Gilles Berthet, parce que ce sont les premiers qui m’ont donné une plateforme en France pour parler librement sur le virus et essayer de détruire le dogme. Alors que bon, en Angleterre, mes articles sont sortis sur cela, mais ici, il y avait une sorte de… On ne voulait pas voir cette question. Et je voudrais les remercier pour avoir fait cela. C’est pour cela que je suis restée en France, parce que cet été, moi, j’étais sur le départ pour essayer de partir en Angleterre, repartir en Angleterre disons.

[Jérémie Mercier] : D’accord.

[Urmie Ray] : Et je voudrais aussi remercier beaucoup Akina parce que c’est lui qui m’a donné la possibilité de parler de cela beaucoup plus publiquement, à travers des interviews et des vidéos et tout ça. Il a beaucoup fait. Et puis aussi, là, je ne vais pas donner le nom, mais je voudrais remercier un très bon ami sans lequel ni l’exposé d’aujourd’hui, ni les autres n’auraient eu la qualité qu’ils ont. Donc je voudrais beaucoup le remercier. Je sais qu’il veut rester discret, donc je ne donnerai pas son nom.

[Jérémie Mercier] : Ok, d’accord. Bon, il se reconnaîtra alors en tout cas.

[Urmie Ray] : C’est ça !

[Jérémie Mercier] : Eh bien, super, ce remerciement est passé. Merci à tous. Merci à toi Urmie. Merci à tous. Et puis, je vous dis à très bientôt. Bonne soirée. Au revoir !

[Urmie Ray] : Eh bien, merci beaucoup. Merci beaucoup de m’avoir invitée, j’apprécie beaucoup.

[Jérémie Mercier] : Au revoir.

 

22 Commentaires

  1. salut par curiosité comment as tu retranscrit toute l’interview?
    manuellement?

    Réponse
    • Vidéo mise sur notre logiciel Trint, puis révision sur Trint par mon assistance et enfin par moi-même. Oui, c’est du boulot !

      Réponse
  2. Je suis d’accord avec Socrate: « Je sais que je ne sais rien » (je n’ai pas eu besoin de lire toute cette interview pour arriver à cette conclusion).

    Mais à part cela, ai-je bien compris que ce que l’on appelle la « pandémie Covid-19 » n’existe pas, il n’y a pas de malades, ni de morts?

    Réponse
    • Effectivment, il n’y a pas de pandémie de Covid-19, comme je l’ai déjà montré en analysant les statistiques de mortalité toutes causes dans de nombreux pays.
      Par contre, des gens sont malades et d’autres meurent comme chaque seconde sur cette Terre, pour plein de raisons différentes.

      Réponse
  3. Post scriptum :
    L’oxyde de graphène « s’évapore » dans le corps avec le temps (et les détoxifications éventuelles). Il a besoin donc d’être renouvelé assez souvent. C’est ce qui va justifier l’abonnement à la dose mensuelle ou trimestrielle. Rien de tel qu’un bon coup de Booster.

    Réponse
    • Difficile d’être sûr de quoi que ce soit dans cette affirmation. J’attends déjà toujours une confirmation claire du graphène. Je n’en ai pas vue…

      Réponse
  4. Merci Jérémie, pour cet excellent travail, y compris la transcription. Je serai moins critique qu’un autre commentateur car j’en fais occasionnellement et je sais le boulot que cela représente. Donc, un grand bravo. La vidéo seule serait tout-à-fait insuffisante pour des sujets si complexes où tout passerait sans précision et beaucoup trop vite. Sur le fond :
    Excellente mise au point sur l’existence même des virus. J’avais déjà eu une petite info allant dans le même sens, mais moins précise. Cela se conforte donc. Comme tu l’as souligné, il reste le problème de la contagion pour lequel je n’ai pas non plus de réponse convaincante. (La magie peut-être?)
    Parce qu’il existe quand même des maladies contagieuses, ne serait-ce que la grippe. J’ai donc imaginé ce qui suit.
    Il a bien fallu que « l’épidémie » démarre. Ils ont donc trouvé un quidam qui avait contracté supposons une grippe quelconque. N’étant spécialiste en rien du tout, il y a certainement des failles dans mon raisonnement, mais il faut seulement s’inspirer de cette intuition et voir si cela peut déboucher sur un scénario possible.
    Je pense qu’ils ont profité d’un de ces premiers cas pour monter leur cinéma et embrayer avec leurs quarantaine, cas contact et surtout vaccin. Les premiers cas se sont, je pense transmis comme une grippe normale, mais la contagion n’est pas expliquée. Il me semble que s’il n’y avait pas une certaine transmission de personne à personne, l’un pourrait faire une maladie mais un autre en ferait une autre, etc, ce qui n’est pas le cas lorsqu’en hiver, par exemple, tout le monde attrape la (même) grippe.
    Le vaccin ARN est basé sur la protéine Spique. Si j’ai bien compris, c’est parce qu’ils disent que le coronavirus a des protéines Spike. Que devient cette affirmation si le virus n’existe pas ? Il n’y a pas de liaison dès lors entre « virus » et vaccin. On a pu toutefois remarquer que le soi-disant virus et le vaccin donnaient les mêmes symptômes. Si la protéine Spique n’existe pas dans un virus, qu’est-ce qui leur a donné l’idée d’en mettre dans le vaccin ?
    Sans savoir laquelle, je pense qu’à ce niveau, ils nous ont fait une entourloupe et sans pouvoir répondre aux questions précédentes, j’ignore laquelle exactement. Mais qu’importe, ce n’est pas crucial. Ce que je pense, c’est qu’ils sont partis de cette contagion de grippe normale pour la monter en épingle avec leur cinéma de tests PCR et de nombre de cas, etc. Tout cela pour pouvoir dire qu’il nous fallait absolument un vaccin et on sait la rage qu’ils mettent encore à essayer de nous l’imposer. Quoi qu’aient été les imprécisions lors du démarrage, c’est là qu’ils voulaient en venir et le reste a peu d’importance.
    On sait maintenant que, dans le vaccin, la protéine Spike a une grande part dans les effets secondaires. Il paraît qu’elle est synthétique dans le vaccin et qu’elle provoque les mêmes effets que la covid-19. Donc, lorsque quelqu’un attrape la maladie, on ne sait pas dire d’où il a attrapé ces symptômes et la protéine Spike qui va avec. Cela peut être d’une contagion, à supposer que cela existe, ou bien du vaccin lui-même s’il est vacciné. C’est bizarre de proposer, pour lutter contre un virus à protéines Spike, un vaccin qui incite notre corps à en fabriquer par millions. Je ne reviens pas ici sur les multiples manières dont elle provoque des dégâts. Je pense qu’au début, la contamination naturelle amplifiée dans le discours anxiogène a permis de « nécessiter » le vaccin et que dès lors, celui-ci a généreusement distribué ses protéines Spike dans la population. Il faut remarquer que c’est là où on a le plus vacciné qu’il y a eu le plus de malades, ce n’est plus à démontrer.
    Il se fait que le vaccin est déclaré comme étant auto-diffusant, je pense que c’est dû à la taille des nanoparticules très petites et donc très « volatiles », ce qui permet une contamination par les vaccinés vers leur entourage. Pour moi, un vacciné est contaminant à la protéine Spike et aussi à l’oxyde de Graphène. Cela pourrait expliquer partiellement qu’ils visaient un taux de population vaccinée minimum. Le restant de la population non vaccinée le sera par contact avec les vaccinés.
    Les vaccinés d’une vague contaminent ainsi leurs entourages, ce qui crée des cas pour la vague suivante qu’il faudra vacciner et le tour est joué. Ce n’est pas difficile ainsi de savoir qu’il y aura des vagues successives. Donc, ce n’est pas le virus qui tue, c’est le vaccin, il fallait juste lancer adroitement la phase de démarrage après laquelle il n’y a même plus besoin de virus, tout est dans le vaccin. S’il ne vous tue pas, il vous stérilise de plusieurs façons en perturbant gravement les organes de reproduction et probablement en stérilisant la descendance s’il y en a (allaitement et contagion).
    A tout cela, il faut ajouter les méfaits de l’oxyde de Graphène. La perte sur notre immunité naturelle serait de 30% à chaque dose ? Cet oxyde de Graphène sert de tapis volant pour transporter des bactéries, des virus s’il en est, des parasites naturels (hydre…) et des nano-constructions servant à créer des véritables nano ordinateurs dans nos corps, déjà capables de créer, sur base de capteurs inclus un code mac déduit de notre ADN, donc unique par personne, et de l’émettre en Bluetooth vers un smartphone qui le relaiera vers les antennes 5G, à terme. Dès maintenant, des portails Bluetooth peuvent déjà être installés pour savoir si nous émettons ce code (= vacciné) ou pas (= non-vacciné).
    Comme tous ces perfectionnements sont, in fine, d’origine diabolique, on ne s’étonne pas non plus qu’une des raisons des tests pcr et des masques « empoisonnés » est de diminuer, par encrassement de la glande pinéale, le canal permettant notre contact spirituel avec le divin. Le vaccin a peut-être également une fonction du genre car c’est important pour l’ennemi. Voici ce que j’en pense pour l’instant, il ne reste plus qu’à combler les vides. Soyons perspicaces et unis.
    Cordialement,Gaston Simon

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    • La seule chose que je peux dire, c’est qu’il n’y a pas de pandémie, que les « vaccins » sont inutiles et toxiques, et que l’expérience sur les vaccinés est en cours donc on verra bien comment va évoluer l’état de santé des cobayes dans le temps. Le reste, je ne sais pas.

      Réponse
  5. Bonjour Jérémie, en réponse à ta question, je suis tout à fait convaincue, et ce depuis le début qu’il n’ y a pas de virus tel qu’ils nous le décrivent dans leur narratif de plus en plus ubuesque. Aussi, étant une tête chercheuse, j’ai fini par faire la connaissance de Patrick Jaulent ,ancien expert en cyber sécurité haut placé, qui a écrit énormément de bouquins sur tous les mensonges qu’on nous sert depuis des décennies ( l’argent de ses livres va à des oeuvres caricatives), à savoir sur le 11 Septembre, sur Notre dame, la Chine, etc et depuis 14 mois il a mené avec des confrères une grande enquête poussé et sourcée sur l’origine de ce virus , et oui, il n’existe pas, car il n’a jamais été isolé, néanmoins il y a bien un virus crée en laboratoire style grippe aviaire, beaucoup moins dangereuse même si plus contagieuse que ce qu’ils veulent nous faire croire, le but étant de nous  » museler » et tester notre asservissement, donc les tests c’est du pipo. Il dévoile également le grand but ultime de cette plandémie, à savoir une extermination volontaire de milliards d’êtres humains, et le contrôle à la chinoise pour les survivants, zombifiés. Raison pour laquelle les non vax dérangent! Donc oui je suis en accord total avec ton analyse! Merci à toi pour ton intelligence et ton dévouement!

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    • Merci ! Je ne suis pas sûr qu’on puisse infecter qui que ce soit avec des « virus » faits en laboratoires. Peut-être. J’ai du mal à croire en la théorie de la maladie infectieuse créée par un labo et qui va se propager. C’est un bon scénario de film, mais qui ne correspond pas à la réalité des maladies infectieuses selon ce que j’en comprend.
      On reviendra sur ces différents points à l’occasion de courtes capsules vidéos avec Urmie Ray.
      À bientôt !

      Réponse
  6. Bonjour Jérémie,

    Enfin ! La « vérité » commence à émerger.

    Dès janvier-février 2020, j’ai averti mes contacts de la fraude à venir sur cette prétendu pandémie due à un virus invisible qui n’a jamais été isolé, tout comme le VIH.

    Je suis praticien de santé et t’avais envoyé un long mail le 19 juin 2021 qui démontrait le mythe de la contagion, les erreurs fondamentales en biologie, les test PCR frauduleux, les modèles informatiques tout aussi frauduleux utilisés en matières de recherches du génome soi-disant viral, les exosomes, les véritables causes de la maladie, les errances de la pseudo science qui n’est en fait que scientisme dogmatique…

    Depuis plus de 35 ans, je m’évertue à essayer de briser le mythe de la responsabilité bactérienne ou viral dans ce qu’on appel la maladie, mais les esprits ont été trop formatés.
    Je suis vraiment ravi que tu aies invité Urmie Ray qui démontre de manière scientifique la tromperie dans laquelle nous vivons depuis bien longtemps.

    Il faut maintenant dénoncer les acteurs qui sont derrière cette escroquerie, s’intéresser aux dessous des cartes, ce que certains appellent du complotisme.
    Il est grand temps de se réveiller à la réalité de ce monde qui n’est pas ce qu’on nous a obligé à croire depuis des siècles….

    L’étiologie, la biologie, la génétique, la bactériologie, la virologie, la vaccinologie, la plupart des théories ayant trait à la maladie sont à remettre en question.
    L’expérimentation empirique est à privilégier face aux informations issues de théories intellectuelles ou de tests de laboratoire in vitro.
    S’intéresser au polymorphisme et aux travaux d’Antoine Béchamp, Jules Tissot, Gaston Naessens, Günther Enderlein, Stéphane Lanka, Andrew Kaufmann et bien d’autres vrais chercheurs non inféodés au fric et à la notoriété.

    Merci et félicitations pour le courage et la rigueur dont tu fais preuve depuis de longs mois.

    Daniel

    Réponse
    • Merci ! J’ai encore bcp à apprendre sur ce sujet pour être bien au clair sur tout.
      On a prévu de faire des capsules vidéos courtes sur plein de petits sujets liés à cette problématique des « virus » pour commencer.
      À bientôt !

      Réponse
  7. Bonjour Jeremie, merci de m’avoir donné l’opportunité de partager avec moi des discussions intéressantes sur un sujet très pertinent actuellement – la santé. Je suis d’accord avec vous et votre invité sur l’absurdité autour du virus qui n’existe pas vraiment. Je suis aussi un partisan de la santé, une approche naturelle raisonnable de celle-ci. Tout est caché dans la cellule de notre corps. Si la cellule est saine, c’est-à-dire qu’elle dispose d’une ressource complète en vitamines et oligo-éléments essentiels, alors tous les processus, à savoir le nettoyage et la protection, sont excellents.Oui, le corps lui-même combat les virus environnants qui sont présents autour de nous. Par conséquent, nous devons prendre soin de notre corps et remplir les cellules de ce dont elles ont besoin. La nature nous donne un corps parfait, capable d’auto-purification, d’auto-régénération et d’auto-défense, tout dépend de la ressource dont dispose chaque cellule. Par conséquent, nous voudrons penser intelligemment et renforcer notre ressource
    Соrdialement Olga Kovalenko

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    • Merci Olga. On va même plus loin que ça. On remet en question l’existence même des virus. Ce qu’on observe n’a a priori rien à voir avec des éléments qui infectent, mais ce serait en fait des exosomes, notamment… On continue dans cette direction et j’aurai l’occasion de revenir dessus prochainement !

      Réponse
  8. Merci d’avoir retranscrit cet entretien. C’est une démarche qui n’est pas suffisamment pratiquée.
    Sur le fond, il est très intéressant et pose bon nombre de questions très importantes. Il y a des choses qui méritent une très large diffusion comme, par exemple, l’utilisation des tests PCR.
    Sur la démarche scientifique également, savoir que des prétendus experts « chercheurs » sont en fait des « suiveurs » qui ne se posent pas, ou plus, les questions fondamentales et qui pourtant s’expriment largement sur les plateaux de télévision. Cela contribue à créer cette « pensée unique » (Mainstream) qui pollue toute cette problématique.
    Sur la forme, je ne ferai que deux remarques : D’abord c’est très bien de retranscrire mais il y a des répétitions inutiles et beaucoup trop de phrases non terminées qui laissent parfois le lecteur assez perplexe. Ensuite il faudrait un relecteur de la transcription pour remédier à certaines petites « erreurs » comme par exemple le mauvais usage des guillemets dont beaucoup sont placés à l’envers, ce qui contribue à rendre la lecture sinon difficile, du moins assez désagréable (le diable se cache parfois dans les détails).
    Mais je réitère de toute façon mes remerciements.

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    • Merci !
      La retranscription permet d’être malgré tout fidèle et d’avoir des sous-titres qui collent avec ce qui est dit dans la vidéo ;)
      Pour les guillemets à l’envers, je crois qu’il faut blâmer WordPress (sur lequel est mon blog), car le document Word lui n’a pas d’erreur avec les guillemets.
      Difficile de faire tout parfait, sachant que ce travail est bénévole ! L’État finance les mensonges sans difficulté mais rarement la recherche de la vérité !

      Réponse
  9. Bonjour Jérémie :-)
    Il n’y a effectivement aucune preuve que les virus tel qu’ils sont décrits couramment existent, ou qu’ils aient un impact négatif sur l’être humain. Urma l’a bien démontré et merci, c’était intéressant ! Ce serait bien si enfin la majorité des gens réalisaient que l’idée de contagion est un leurre, ainsi il y aurait moins de défiance à l’égard des autres. Moi je pense que si chacun était capable de prêter attention à ce qu’il ressent – bien-être, mal-être – et de s’appuyer sur ça pour ses choix de vie, dans la mesure du possible, il n’y aurait même plus besoin de science. Mais comme l’éducation – et son idéalisation ensuite – ainsi que les traumatismes touchant les personnes dans les premières années leur vie empêchent jusqu’à présent et depuis toujours la majorité des gens de se fier à ce qu’ils ressentent, de se faire confiance en quelque sorte, ce de façon totalement indépendante, on a tout de même besoin de vraie science pour limiter les dégâts sociaux et environnementaux, etc. Je trouve par ailleurs horrible qu’on utilise des cobayes pour faire avancer la science, qu’ils soient animaux ou humains. Je crois aussi, d’après mon propre vécu et mon observation attentive des personnes autour de moi depuis bien des années, que ce qu’on appelle « effet placebo » est énorme, et c’est logique puisqu’en fait il est absurde de dissocier ce qu’on nomme « psychique » de ce qu’on nomme physique ». C’est la même chose finalement. Enfin, je rêve parfois que les sociologues, psychologues, philosophes et spécialistes de tout poil – y compris les meilleurs – aient un beau jour l’idée de remettre en question leur propre éducation et s’interrogent sérieusement sur leur propension – ou son absence – à sentir de quoi ils ont besoin, ce qui leur fait du bien, du mal, quotidiennement et à s’en inspirer. Évidemment, s’ils le faisaient, ce serait un sacré bouleversement intérieur et je comprends que ça puisse en ôter toute envie et être tourné en dérision par ces pros. de la cérébralité. Merci pour ce que tu fais !
    Anne

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    • Bonjour Anne et merci pour ton message !
      Je cherche encore bien sûr sur les virus et les épidémies, car il y a plein de trucs à comprendre malgré tout. Beaucoup de ménage à faire dans nos croyances et dogmes et il faut avec une vraie approche scientifique réussir à faire le tri entre ce qui relève du mensonge et ce qui est juste.
      Beaucoup de chercheurs n’aiment pas chercher dans des recoins inexplorés ou qui sortent du discours dominant. C’est malheureux, mais ce conformisme permet aux mensonges de perdurer très longtemps… À bientôt !

      Réponse
    • Ce que vous appelez l’Effet Placebo et /ou Effet Nocebo n’est que la démonstration que les Formes-Pensées se manifestent dans le Plan Astral pour ensuite, par effet de condensation, venir se manifester dans le Plan Physique. Qui, comme les 7 Plans de l’Existence [ 1 ], est subdivisé en 7 Sous-Plans + 5 Sous Plans  »cachés »:

      ▸ 1/ Solide; 2/ Liquide; 3/ Gazeux + 4 Sous-Plans Éthériques

      7 + 5 = 12

      Exactement comme une Octave, sur un Clavier de Piano7 Notes ( Blanches ) + 5 Demi-Tons ( Noires ) ▸ 7 + 5 = 12

      [ 1 ] Existence = Simulation / Hologramme + Réalité,

      …………………..

      The Simulation Argument

      Are You Living In a Computer Simulation? Original

      Nick Bostrom Philosophical Quarterly, 2003, Vol. 53, No. 211, pp. 243-255. (Draft published online in 2001)

      https://www.simulation-argument.com/

      …………………..

      Un document déclassifié de la CIA révèle la véritable nature de notre Univers

      Un document précédemment classé top-secret qui a été rédigé en 1984 par Wayne M. Mcdonnell du US Army Intelligence est apparu en totalité, sans précédent, sur le site Web de la CIA.

      Le document déclassifié de la CIA affirme que le plan astral est réel
      L’article entièrement déclassifié a soulevé certaines questions en raison de son sujet très inhabituel. Le document est un résumé complet et approfondi des enquêtes de la CIA sur ce qu’on appelle communément le « plan astral ».

      https://www.cia.gov/library/readingroom/docs/CIA-RDP96-00788R001700210016-5.pdf

      Nous vivons dans un hologramme

      https://www.anguillesousroche.com/mysteres/document-declassifie-de-cia-revele-veritable-nature-de-notre-univers

      Réponse

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