Covid-19 : Les masques et les « gestes barrières » sont inutiles

par | 1 Juin 2020 | Non classé | 94 commentaires

Alors que l’épidémie de Covid arrive à sa fin, on voit de plus en plus de personnes dans les rues se balader avec un masque chirurgical (qu’on retrouve en quantité par terre maintenant aussi) – et plus rarement un « masque à particules » type  FFP2. 

Je vois 2 raisons principales à cette nouvelle « mode » :
-​​​ l’obligation du port du masque dans les transports en commun et les recommandations ou obligations d’en porter dans certains commerces.
– mais aussi sans doute en partie la volonté de certaines personnes de protéger les autres ou de se protéger elles-mêmes grâce aux masques, peut-être dans l’espoir aussi que le nombre de morts du Covid et de personnes contaminées diminue rapidement et que le gouvernement assouplisse au plus vite le confinement et les mesures « sanitaires » qui ont été prises officiellement pour juguler l’épidémie de Covid (et sur lesquelles j’ai émis de nombreux doutes ces derniers mois, par exemple ici dernièrement).

Porter un masque : une aberration basée sur de fausses croyances

Cette mode prenant de l’ampleur m’a donné envie de me poser sérieusement la question de l’utilité des masques (que je « croyais » quand même jusque récemment tout de même utiles pour les malades afin d’éviter qu’ils contaminent les bien-portants).

En faisant mes recherches, je suis tombé sur le rapport d’un chercheur canadien, Denis Rancourt, dont le titre  » Les masques ne marchent pas «  (en anglais « Masks don’t work ») m’a littéralement estomaqué.

En lisant l’article de Denis Rancourt, j’ai été époustouflé de découvrir qu’il y avait en fait pas mal d’études qui montraient de façon claire qu’il n’y avait pas de bénéfice décelable du port du masque (chirurgical ou FFP2 !) pour arrêter ou limiter la propagation des épidémies de maladies virales respiratoires par rapport à aucun masque… Les explications et analyses faites de ces études par le professeur Rancourt étaient particulièrement pertinentes, et donnaient un aperçu clair et enfin intéressant sur la question du port du masque dans l’actuelle épidémie de Covid (jusqu’à présent, je n’avais lu que des niaiseries).

Imaginer que les masques n’aient aucune utilité dans le cadre de l’épidémie de Covid peut sembler contre-intuitif comme cela, mais quand on comprend le mécanisme de transmission des maladies virales respiratoires, c’est parfaitement logique !

Aussi, j’ai fait cette interview vidéo de Denis Rancourt il y a seulement quelques jours et je l’ai mise en ligne le plus vite possible car je voulais que cette info claire, ultra pertinente, dite de façon pédagogique et sans jargon inutile soit disponible le plus vite possible sur internet.

Attention, la publication de Denis Rancourt sur ResearchGate a été censurée par la plateforme (après avoir été vue 500 000 fois !). On peut désormais la retrouver sur ce lien.

Les explications de Denis Rancourt sur le pourquoi de cette censure à découvrir ici (en anglais)

La voici ci-dessous et plus bas, tu trouveras une retranscription écrite de la totalité de l’interview.

https://odysee.com/@jeremiemercier:0/covid-19-les-masques-et-les-gestes-barri:7

Menacé de censure totale de ma chaîne YouTube, j’ai dû supprimer de celle-ci la totalité des vidéos traitant du Covid. Toutes mes vidéos se trouvent désormais sur https://crowdbunker.com/@jeremieMercier et https://odysee.com/@jeremiemercier

J’espère que cette vidéo donnera envie à plus de gens de reprendre en main leur santé et d’arrêter d’écouter les conseils et messages santé bidons tellement nombreux dans les médias et dans le discours des autorités.

Sources :

Le rapport de Denis Rancourt (en anglais, eh oui l’anglais est la langue utilisée pour les publications scientifiques à l’international) : Masks Don’t Work: A review of science relevant to COVID-19 social policy est disponible sur ce lien : http://ocla.ca/wp-content/uploads/2020/04/Rancourt-Masks-dont-work-review-science-re-COVID19-policy.pdf

Denis Rancourt cite toutes ses sources dans son article et j’ai rajouté sous la vidéo les références vers d’autres articles qui permettent d’avoir accès à toutes les informations et études mentionnées dans l’argumentaire de Denis Rancourt.

Retranscription de l’interview :

[Jérémie Mercier] Bonjour à tous, bonjour à toutes ! C’est Jérémie Mercier. Aujourd’hui, je suis ravi d’accueillir le chercheur canadien Denis Rancourt, qui est chercheur à l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario et qui a écrit récemment un article qui a eu un énorme retentissement. C’est son article « Masks Don’t Work », ça veut dire : « les masques ne fonctionnent pas ». Il parle donc des masques chirurgicaux ou des masques FFP2 que les gens aujourd’hui utilisent en espérant se protéger de l’infection Covid. Bonjour Denis Rancourt.

[Denis Rancourt] Bonjour, ça fait plaisir d’être là.

[Jérémie Mercier] On va parler de cette étude qui a fait beaucoup de bruit. En quoi consistait cette étude ? Et quelles ont été vos découvertes ?

[Denis Rancourt] Alors, j’ai fait une revue des articles scientifiques. Je suis allé chercher toutes les études comparatives qui ont été faites de façon rigoureuse, ce qu’on appelle en anglais des « randomized controlled trials » qui comparaient la probabilité d’être infecté par un virus qui donne une maladie respiratoire quand on porte un masque versus quand on ne porte pas un masque. Et on a étudié deux types de masques : les masques chirurgicaux et aussi les masques à très petits pores, que vous appelez – je pense – les FFP2.

[Jérémie Mercier] C’est ça, oui !

[Denis Rancourt] Et donc j’ai regardé toutes ces études-là. Il y en a eu beaucoup. Ça fait 5-10 ans qu’il y a eu plein d’études de ce type-là, donc il y a une littérature assez consistante et il y a même des études qui sont des méta-analyses des études comparatives. Et je me suis fié à toutes ces études-là où on vérifiait par une mesure de laboratoire qu’il y avait eu effectivement infection, versus se fier simplement à ce qu’on appelle le « self-reporting » où on raconte un peu « oui, j’avais des symptômes, ce genre de choses » parce que c’est bien établi que quand on le fait de cette façon-là, c’est tellement biaisé que ça n’a aucune valeur. Donc, je me suis fié uniquement aux bonnes études rigoureuses. Il y en a eu plusieurs et il n’y en a aucune dans toutes les études… On ne voit aucun avantage par rapport à réduire le risque d’être infecté par une maladie virale respiratoire.

[Jérémie Mercier] Que ce soit avec un masque chirurgical ou un masque FFP2. On est d’accord ?

[Denis Rancourt] Exactement, que ce soit avec l’un ou l’autre. Et il y a aussi des études qui ne comparent pas ce qui arrive sans masque, mais qui comparent les deux types de masques. Ces études-là aussi ne trouvent aucune différence d’un masque à l’autre, même si les masques sont très différents physiquement.

[Jérémie Mercier] Donc là j’ai envie de dire : « c’est un tremblement de terre », pour toutes ces personnes qui sont convaincus aujourd’hui de l’utilité du masque parce que le gouvernement français est plein de gouvernements dans le monde, pleins d’agences de santé recommandent le port du masque, voire l’obligent dans certaines circonstances.

[Denis Rancourt] Les études scientifiques sont claires il y en a eu plusieurs des grandes études dans des milieux hospitaliers, de soins de santé ou aussi dans des milieux communautaires. Il n’y a aucune étude qui arrive à déceler un avantage quelconque par rapport à ce type de maladie-là quand on porte un masque, et en plus, c’est bien connu, la World Health Organisation…

[Jérémie Mercier] L’Organisation Mondiale de la Santé.

[Denis Rancourt] Voilà, ils le disent clairement. Ils ne recommandent pas qu’on utilise les masques dans un contexte public. Et ils disent explicitement qu’il n’y a aucune étude scientifique qui a démontré un avantage pour de telles situations. Alors, c’est clair et dans la littérature scientifique et dans les organismes internationaux les plus réputés. Il n’y a aucun avantage à avoir un masque dans une situation comme celle-là.

[Jérémie Mercier] Alors, deux secondes, ça veut dire qu’il n’y a pas d’avantage ni pour le public, donc les personnes qui veulent éviter… les citoyens lambda qui veulent éviter de se faire infecter. Mais il n’y a pas non plus d’avantages pour les soignants qui, en France, ont réclamé à cor et à cri des masques pour se protéger. Même pour eux, ça n’est pas efficace dans leurs conditions ?

[Denis Rancourt] Je dirais même surtout pour eux, parce que la majorité des études ont été faites dans des milieux hospitaliers et de soins de la santé, où les gens… où ils traitent des patients, où il y a plein de personnes infectées avec toutes sortes de choses. Et il n’y a aucun avantage qui peut être décelé dans toutes ces études.

[Jérémie Mercier] Donc ça veut dire que les soignants qui demandaient ces masques en fait demandaient finalement une illusion de sécurité, c’est ça ?

[Denis Rancourt] Oui, et c’était purement la politique du travail, si on veut, de demander ces masques. Il n’y a pas… ce n’est pas basé sur une étude scientifique.

[Jérémie Mercier] D’accord, et il n’y a aucune situation : les transports, les boutiques, les écoles qui justifie le port du masque, donc ?

[Denis Rancourt] Non ! C’est-à-dire que les études, toutes les études qui ont été faites ne montrent aucun avantage. Maintenant, est-ce qu’ils ont fait une étude dans une école spécifiquement ? Non. Vous voyez ce que je veux dire ? Il y a tellement de circonstances, mais dans toutes les circonstances où on a pu le tester, que ça soit même chez les gens, dans des circonstances communautaires, dans toutes les circonstances, ils n’ont trouvé aucun avantage. Alors ça, c’est la toute première chose. Après ça, deuxièmement, on peut se poser la question : « mais pourquoi, pourquoi est-ce que les masques ne marchent pas ? » Et ça, c’est une question différente et séparée. Il y a le résultat statistique rigoureux qu’il n’y a aucun avantage statistiquement. Mais après ça, il y a la question « mais comment est-ce qu’on peut comprendre ça ? » Et je pense qu’on ne peut poser cette question-là que si on a une idée du mode de transmission de la maladie. Il faut connaître le mode de transmission pour pouvoir parler intelligemment de comment on peut empêcher cette transmission. Et ce qui s’est passé dans les dernières décennies, c’est qu’on a fini par comprendre la nature, précisément des transmissions de ce type de maladie-là. On sait maintenant, ça a été établi avec les travaux de Shaman et al. de 2010, que c’est des maladies qui se propagent par des très fines particules, les plus petits regroupements de taille des particules aérosols qui sont suspendues dans l’air. Et donc, il y a des particules qui sont porteurs de virus suspendus à long terme dans l’air. Les plus petites de ces particules-là, c’est ça le mode de transmission. C’est pas les plus grosses particules qu’on éjecte en parlant ou en éternué. Ce n’est pas du tout ces particules-là qui sont importantes par rapport aux vecteurs de transmission, mais c’est plutôt les fines particules aérosols…

[Jérémie Mercier] Qui ne sont pas arrêtées par les masques, donc !

[Denis Rancourt] Qui ne sont pas arrêtés par les masques et qui ne peuvent pas être arrêtées par les masques, d’après ce qu’on connaît de la physique et de la nature des fluides porteurs de telles particules. Parce que les masques ont un diamètre de pore qui peut être petit par rapport dans les masques les plus performants : 0,3 micromètres, mais il y a quand même des particules aérosols qui peuvent être plus petites que ça. Première chose. Et deuxièmement, ce pore n’est pas la question importante parce que ce n’est pas – en anglais on dit le « bottleneck » – il y a toujours des ouvertures qui sont plus grandes entre le poumon et l’extérieur, même quand on porte un masque, qu’on essaye de bien le porter. Il y a toujours des rides sur la peau qui créent des ouvertures. Il y a toujours des imperfections de la peau qui créent des ouvertures. Il y a toujours un positionnement du masque qui n’est pas parfait. On bouge le masque parce qu’il n’est pas confortable. Même les travailleurs de la santé qui sont entraînés pour bien porter les masques, etc., c’est connu, ils vont souvent bouger le masque et l’ajuster, etc. Les masques vieillissent, peuvent être étirés, peuvent être usés, peuvent être pliés par accident. Donc, il y a des failles. Il y a des pores qui sont plus grands que d’autres. Il y a nécessairement des ouvertures qui sont beaucoup plus grandes que le diamètre qui est donné par le manufacturier pour les pores dans le matériau du masque.

[Jérémie Mercier] Cela veut dire que théoriquement, les masques pourraient avoir une utilité. Mais en pratique, ce n’est pas possible qu’ils soient utiles parce qu’il y aura toujours un défaut, que ce soit au niveau de la pose, au niveau du matériau lui-même, qui fera que de toutes façons, les particules virales passeront.

[Denis Rancourt] Oui, elles vont toujours passer. Maintenant elles pourraient avoir un effet, même si la majorité des particules qui sont porteurs et qui pourraient nous infecter étaient plus grosses que, disons, le diamètre des pores qu’est-ce qui arrive ? Une particule se colle sur le masque. Est-ce qu’ensuite, en respirant, elle s’évapore et les particules de virus sont libérées et on finit par les respirer ? On ne le sait pas. Il n’y a pas eu d’étude qui réponde à cette question-là. Donc, on ne connaît pas en détail le mécanisme, le pourquoi les masques ne marchent pas ? Mais à chaque fois qu’on a fait des mesures, quand on vérifie l’infection, ça ne marche pas. Il n’y a aucun avantage. Toutes les études sur les masques qui font simplement démontrer qu’un masque peut arrêter des gouttelettes ou arrêter des grosses particules ne sont pas pertinentes parce que ces grosses particules-là chutent très rapidement, ne sont pas des vraies particules aérosols qui font partie du fluide de l’air, qui est le vrai mode de transmission de cette maladie. C’est pour ça que la maladie est hyper contagieuse et c’est pour ça aussi que la maladie va profondément dans les poumons parce que c’est respirer comme on respirerait de l’air et ça se loge profondément dans les poumons. C’est la nature de tous ces types de maladies-là. Alors, étant donné ce mode de transmission qui est maintenant compris et connu, on peut imaginer pourquoi les masques ne peuvent pas fonctionner. Il faut dire aussi qu’il y a beaucoup d’études scientifiques qui sont faites et qu’on utilise à tort et à travers, qui ne sont pas vraiment des études pertinentes. Par exemple, si je fais une étude qui démontre que quand j’éternue, les gouttelettes ne se propagent pas plus que… vont tomber rapidement dans un mètre ou deux, ça n’a pas de pertinence par rapport à cette maladie-là parce que ce n’est pas ça le mode de transmission. Le vecteur de transmission, c’est réellement les particules aérosols en suspension dans l’air qui font partie du fluide. Toutes les gouttelettes qui vont tomber rapidement, qui sont plus grosses, qui sont extraites par la gravité, ça n’a aucune pertinence dans ce débat.

[Jérémie Mercier] Même du coup, à un moment, on parlait de peut-être de transmission de la maladie par des surfaces infectées. Même ça, finalement, ça n’a pas de valeur ?

[Denis Rancourt] Là encore, on peut faire des mesures scientifiques où on démontre qu’un virus peut survivre sur une surface donnée, qu’elle soit en plastique ou en métal. On peut étudier différentes surfaces, mais ça n’a pas de pertinence parce que ce n’est pas le vecteur de transmission, même si on touche ce virus-là, même si, en principe, en théorie, on pourrait ensuite se mettre les doigts dans la bouche, etc. Ce n’est pas un mode efficace de transmission de la maladie, loin de là. Et ces maladies sont maintenant bien comprises et elles ont toujours un cycle saisonnier. Elles sont très contagieuses pendant l’hiver, quand l’air est sec, quand l’humidité absolue de l’air est basse et pas du tout contagieuses quand l’air est humide, parce que les particules aérosols condensent les molécules d’eau et chutent rapidement, deviennent plus lourdes et ne sont plus en suspension dans l’air. Donc, le cycle de contagion est très bien connu et on connaît le mécanisme. Mais je peux vous montrer des graphiques qui illustrent ça. Par exemple, je ne sais pas moi, ça fait des décennies qu’on étudie ça. Si on regarde la mortalité totale à travers les années, par exemple je vais vous montrer un graphique de 72 à 93 où on voit, à travers toutes les pandémies et tout, comment la mortalité « toutes causes » varie en fonction du temps. Ça, c’est la mortalité par mois ou par semaine. Comme ça, il y a des hauts et des bas, alors il y a des maximums de mortalité pendant l’hiver quand l’air est sec dans les dans les pays en latitudes intermédiaires et des bas, l’été quand l’air est humide. Ça a toujours été comme ça. Et les maladies de ce type-là causent les maximums, même il y a plus d’arrêts cardiaques pendant l’hiver, et ça serait dû à l’interaction entre ces virus qui causent un stress respiratoire et la maladie cardiaque. Il y a des études qui démontrent ça. Donc, en gros, on comprend maintenant ces cycles et on comprend que les cycles viennent du mode de transmission. Et tout le reste, c’est du flafla, que ce soit des articles scientifiques ou pas. Si on est sérieux et si on regarde vraiment et on essaie de comprendre les concepts et on regarde la science et le niveau de compréhension qu’on a des modes de transmission et du type de maladies que c’est, ça se transmet par des particules aérosols et les masques ne peuvent rien contre ça. Parce que quand on expire, le flux de l’air va être à travers ces petites ouvertures qui sont partout autour du masque, etc. Et ça va sortir aussi facilement que c’est rentré et donc ça ne protège ni la personne avec qui on est – si on porte un masque – ni nous-mêmes. Ça ne réduit pas le risque d’être infecté s’il y a de telles particules dans l’espace où on est.

[Jérémie Mercier] Alors ça veut dire du coup que quand parfois on peut avoir l’impression que le port quasi généralisé du masque a été fait dans certains pays, notamment dans des pays asiatiques type Japon, Corée du Sud, Taïwan ou Singapour, ce n’est pas le masque qui a permis de stopper la propagation de l’épidémie. C’est ça. ?

[Denis Rancourt] C’est toujours compliqué quand on veut dire des choses comme ça parce que ça prend des études. Ça prend de faire une étude sur le terrain scientifique sérieuse. Ça prend de vérifier les infections avec des mesures de laboratoire. Ça prend de mesurer des densités de pathogènes dans l’air. Est-ce que se promener dehors, de toutes façons, c’est une situation où on est à risque quand il y a des courants d’air quand il y a du vent ? Je dirais que non. Le gros du risque, c’est à l’intérieur où l’air est stagnant et où les particules sont en suspension dans l’air. Ça devient des études compliquées. Il y a aussi le fait que ces variations saisonnières que j’ai montrées, il n’y en a pas de telles variations quand on est près de l’équateur, quand c’est toujours à peu près humide, assez pour condenser de telles particules pour pas qu’elles restent en suspension. Il y a tellement de facteurs. Il y a aussi l’idée que « est-ce qu’on sait vraiment combien de personnes ont été infectées » ? Je veux dire à l’échelle de la Chine, est-ce qu’on sait combien de personnes ont eu essentiellement une infection virale respiratoire comme ça, ils ont guéri chez eux ? Ça fait longtemps qu’on coexiste et qu’on co-évolue avec des virus qui causent ces malades-là. Ça fait très longtemps. Les animaux, ça fait des milliards d’années, alors on n’en est pas mort. Et dans l’histoire, quand il y a eu des maladies de ce type-là qui étaient particulièrement virulentes, je dirais qu’au Moyen-Âge, par exemple, etc. que c’était aussi des situations où une grande partie de la population avait un système immunitaire qui était sous stress pour des raisons d’alimentation, pour des raisons de stress de société, pour des raisons de substances nutritives. Pour toutes sortes de raisons, le système immunitaire, le niveau de santé était beaucoup plus bas et la mortalité était à beaucoup plus jeune âge, etc. en moyenne. Donc, il y a pu avoir… Parce que ce qui est important, c’est l’infection entre dans nos poumons. Après ça, il y a toute une bataille entre le système immunitaire et le virus. Le virus va infecter une ou plusieurs premières cellules. Le système immunitaire va essayer de reconnaître des morceaux de protéines de ce virus-là à la surface de cette molécule-là. S’il le repère et le reconnaît comme étant étranger et va tuer cette cellule là avant qu’elle ait la chance de produire, de reproduire le virus et donc il y a comme cette bataille dynamique à l’intérieur de nous qui se passe. Et ça, c’est courant et c’est tout le temps. Maintenant, le système immunitaire pour qu’il soit assez rapide, pour qu’il soit rapide, ça demande beaucoup d’énergie métabolique. Si déjà on dépense beaucoup d’énergie métabolique juste à combattre les autres infections, à combattre le stress, etc., on est mal alimenté, on risque de mourir de ce nouveau pathogène. Le risque de mourir est beaucoup plus grand. Donc, l’état immunitaire de la personne, de l’individu est beaucoup plus important à savoir si cet individu va survivre ou pas, que la nature précise du virus en question de ce type-là.

[Jérémie Mercier] Ok. Alors du coup, il y a une autre question qui vient, c’est « puisque les masques n’ont pas d’utilité, est-ce qu’il – y a des gestes parce qu’on a beaucoup parlé de gestes barrière, en France notamment – est-ce qu’il y a des gestes qui ont une utilité ? Notamment on a parlé de se tenir à au moins un mètre des autres, se laver fréquemment les mains, utiliser du gel hydroalcoolique. Est-ce que ça, ça a une utilité dans le cadre du Covid, qui est une maladie virale respiratoire ?

[Denis Rancourt] Non, absolument pas. Je veux dire, il y a des études qui ont démontré que des grosses particules vont chuter en dedans d’un mètre ou deux. Ça n’a aucun rapport. Le vecteur de transmission, c’est des particules aérosols suspendues dans l’air qui remplissent le volume de nos établissements, des endroits où il y a eu des personnes infectées. En rentrant là-dedans et en respirant cet air-là, on est infecté, qu’on ait un masque ou pas, et ça n’a rien à voir avec quelques mètres de distance. L’Espace, le volume même du building se remplit. Il y a des études détaillées qui l’ont démontré. Ils ont pris des échantillons d’air à différentes hauteurs dans des buildings un peu partout, et ils ont analysé la densité de pathogènes qu’il y avait avec des méthodes génétiques. Et ils ont pu démontrer à quel point l’air est simplement plein de ces particules aérosols suspendues. Que ce soit dans des hôpitaux, dans des centres pour la jeune enfance, partout dans la saison de ces maladies-là, il y a des gens qui se promènent et il y a des il y a des volumes comme ça qui sont essentiellement clos et c’est plein. Et c’est comme ça qu’on attrape ça. On attrape ça en visitant quelqu’un, chez eux, dans une maison qui est chauffée l’hiver. Et il n’y a pas de grands courants d’air froid là qui passent et où on enlève toutes les particules en suspension. Il n’y a pas moyen de filtrer ces particules-là, c’est trop fin. Et c’est comme ça que c’est dans les immeubles, dans les institutions et dans les maisons où on visite les gens, c’est là qu’on attrape ces maladies. Ça n’a rien à voir avec les « deux mètres ». On peut s’asseoir, on peut manger une grande table et être à deux mètres l’un de l’autre et avoir des conversations. Si quelqu’un avait le rhume il y a quelques jours et n’ont plus de symptôme, il y a encore des particules en suspension en principe. Il y a des courants d’air, ça brasse. On risque d’attraper cette maladie de cette façon-là. Ça n’a pas à faire le « deux mètres ».

[Jérémie Mercier] Donc, on aura beau se laver les mains cinquante fois avec du gel hydroalcoolique et porter un masque, ça ne changera rien.

[Denis Rancourt] Le vecteur de transmission n’est pas de contact à contact. Alors laver les mains, ça ne donne rien. Laver les mains, c’est bon pour des pathogènes du type où c’est important, comme pathogènes qui sont reliés aux excréments, des pathogènes qui sont reliés à des substances muqueuses, à des eaux qui sont pleines de bactéries très nocives, etc. parce qu’on a mis des substances nutritives qui font que ces pathogènes-là vont croître bien dans cette eau-là, ben il ne faut pas se baigner, il ne faut pas boire l’eau. Tout ça, c’est des questions de contact. Les maladies qui sont transmises sexuellement aussi, c’est contact. Mais les maladies virales respiratoires, c’est complètement différent. Le vecteur de transmission est différent. Ça ne donne à peu près rien de se laver les mains. On le fait parce que c’est dans les procédures. Les médecins le font parce que c’est dans les procédures. Mais ils ont aussi plein d’autres pathogènes qu’il faut qu’ils s’inquiètent eux. Mais non, c’est inutile. On est dans un monde là, où on n’est pas en train d’utiliser les connaissances scientifiques. On fait juste n’importe quoi pour se donner une bonne impression de supporter la santé publique.

[Jérémie Mercier] Alors j’imagine aussi que ça permet d’avoir une illusion de sécurité, alors que si on voulait aller au bout de cette idée de se protéger du virus, finalement, faudrait être habillé quasiment comme en combinaison de cosmonaute dans les laboratoires P4 avec un scaphandre en surpression et puis une arrivée en oxygène qui est séparée de l’espace, on se trouve, c’est ça ?

[Denis Rancourt] Oui, mais c’est ces systèmes-là sont utiles uniquement dans des conditions où il y a des laboratoires de recherche qui font des pathogènes particuliers, qui les modifient génétiquement. Ils ne veulent pas que ça sorte dans l’environnement ou ils ne veulent pas contaminer leurs échantillons scientifiques avec les pathogènes qu’on aurait dans notre corps donc il y a une isolation qui se fait complètement au niveau de l’environnement de la personne versus du laboratoire. Donc, dans des applications comme ça, de recherche pointues ou militaires, ça a un certain sens, une certaine logique de faire ça. Mais dans le vrai monde, avec des vraies personnes qui, à chaque saison, le système immunitaire, est présenté à toute une panoplie de virus de ce type-là, ce n’est pas normal de penser dans ces termes-là. On ne veut pas aseptiser, on veut plutôt vivre avec les virus comme on a toujours fait. On veut que notre système immunitaire apprenne parce qu’il apprend et qu’il soit entraîné. Et on veut avoir une bonne santé de sorte à ce que notre système immunitaire puisse réagir quand c’est le temps de réagir.

[Jérémie Mercier] Pour le coup, cet aspect du système immunitaire, à ma connaissance est absent du débat « scientifique officiel » aujourd’hui, on n’en parle pas !

[Denis Rancourt] Non. On est dans une espèce de monde de fous où on pense qu’on peut créer un environnement stérile, dans un environnement réel qui est plein de pathogènes. Les biologistes disent « il y a de tout partout ». Ben moi, j’ai l’habitude de l’entendre en anglais « There is everything everywhere ». Et ça, c’est vrai. Et c’est quasiment impossible de vivre dans un environnement stérile et même dans un milieu hospitalier où on met des personnes à risque, en les ouvrant pour faire des opérations, etc., c’est essentiellement impossible d’empêcher qu’il y ait des infections. Il faut essayer d’accompagner la personne, les mettre dans des conditions où ils vont guérir, utiliser des méthodes d’intervention quand il y a infection. Mais vraiment prévenir par la stérilité, c’est quasiment impossible.

[Jérémie Mercier] D’accord. Alors, compte tenu de toutes ces informations que vous nous partagez, à savoir que les gestes barrières sont inutiles dans le cadre d’infections virales respiratoires, que le masque est aussi inutile, mais pourtant aujourd’hui on a des agences de santé, on a des académies de médecine, des gouvernements qui le recommandent, voire même on oblige les gens à porter un masque dans les transports en commun, dans certaines boutiques, etc., comment on peut résister à ça, et est-ce qu’il y a une possibilité finalement de désobéir à ces règles qui sont absurdes, qui ne sont pas basées sur la science ? Est-ce que, par exemple, avoir un article scientifique qui reprend ces points-là, ça permettrait de répondre à un contrôleur qui voudrait, par exemple, vous faire sortir du bus parce qu’on n’a pas le masque qui est obligatoire ? Qu’est-ce qu’on peut faire ?

[Denis Rancourt] Si le contrôleur a des connaissances scientifiques et est sensible aux arguments scientifiques, ça pourrait marcher, mais je pense que ça va être plutôt rare de rencontrer un tel contrôleur… De toutes façons, ce n’est pas des politiques, des règles et des lois qui sont basées sur la science. Alors je vois mal comment la science pourrait être utilisée pour les contrer. Parce que c’est inventé de toutes pièces, c’est fait pour des raisons politiques et de contrôle, alors c’est difficile… Il n’y a pas d’arme magique qui est scientifique qu’on peut vraiment utiliser, mais la science nous aide parce que ça nous motive personnellement. Les personnes qui veulent comprendre, qui veulent apprendre, qui veulent se raisonner, qui veulent justifier pourquoi ils résistent et pourquoi ils ont une résistance, la science va les aider, ces personnes-là. Mais devant les juges, les polices et les politiciens, il y a à peu près rien. Il y a à peu près pas d’arguments scientifiques qui peuvent fonctionner parce qu’ils sont insensibles à ces arguments.

[Jérémie Mercier] Et est-ce qu’il y a un danger – parce qu’on a parlé du fait que le masque était inutile dans le cas de l’épidémie de Covid – est-ce que porter un masque trop longtemps, ça peut aussi avoir un danger sur la santé, par exemple ?

[Denis Rancourt] Une des choses qui est prouvée par des études comparatives, c’est que les travailleurs dans les milieux hospitaliers, dans les milieux de la santé, qui portent le masque versus qui ne portent pas, ont beaucoup plus souvent des maux de tête. Ça, c’est statistiquement valable, ça a été démontré. C’est un des effets négatifs absolument prouvés, et puis il n’y a aucun effet positif dans le sens de réduire le risque. Alors, c’est ce qui est connu. Pour le reste, ça devient : qu’est-ce qu’on pense des mécanismes, qu’est-ce qu’on pense qui est possible ? On peut imaginer plein de dangers relatifs au masque. C’est sûr qu’une personne fragile en hôpital, on ne veut pas lui mettre un masque, on veut l’aider à respirer le plus possible. C’est sûr que quelqu’un qui doit respirer très fort parce qu’ils font un exercice rigoureux, c’est peut-être mieux de pas mettre un masque. Si on a l’habitude de vraiment faire un effort vigoureux et qu’on fait ce même effort-là pendant longtemps, mais cette fois-ci on met un masque parce qu’on nous a dit de mettre un masque, ça peut nous mettre en danger. Il y a des rapports de personnes qui se sentent évanouies, etc., qui ont eu des accidents d’automobile parce que parce qu’ils ne respiraient pas assez bien dans leur voiture en portant un masque, etc. Mais c’est des anecdotes. Ce n’est pas des études systématiques, rigoureuses, mais c’est des anecdotes. Il y a aussi le fait que le masque va accumuler tout ce qu’il y a dans l’air et donc, après ça on va le manipuler, peut-être qu’on va le remettre, je ne sais pas, mais on peut inventer toutes sortes de scénarios, mais ce n’est pas des choses qui sont connues. Il n’y a pas eu d’études comparatives sérieuses là.

[Jérémie Mercier] Et qu’est-ce que ça raconte de notre société cette masse de personnes qui aujourd’hui sort avec un masque alors qu’il n’y a aucune raison valable de sortir avec un masque d’un point de vue sanitaire ?

[Denis Rancourt] Mais c’est des personnes qui croient en l’autorité, de ce qu’on leur dit et qui veulent bien faire et qui veulent faire comme les autres aussi. Ils sont en société, puis ils n’osent pas être la personne qui contredit cette bonne façon de faire. Mais il y a un danger quand l’État impose une règle qui n’est pas basée sur la science et qui n’a pas vraiment une raison d’être. Et qu’on accepte cette règle-là pour des raisons d’autorité et pour des raisons autres que des bonnes raisons et des règles qui changent carrément notre comportement. Le danger, c’est qu’on s’habitue à accepter des règles via le processus de l’autorité et donc ça nous rapproche petit à petit d’un État totalitaire, dans cette marche lente vers l’État totalitaire. Ça nous entraîne là-dedans. Et ça, c’est un effet réel que je crois. Il y a eu des études scientifiques qui ont parlé de ça et je crois que c’est un vrai phénomène. La société a beaucoup tendance, en se développant – c’est une hiérarchie de dominance – et on a tendance à « drifter » on dit en anglais vers un État totalitaire. Et il faut se battre pour ramener les choses un peu de temps en temps. Donc, je pense que d’accepter des règles comme ça, sans raison, ça va dans ce sens-là. Et ça, c’est un vrai danger de société, je crois.

[Jérémie Mercier] Et, dernière question – donc votre article sur les masques a un fort retentissement sur Internet, il a été lu des centaines de milliers de fois – est-ce que ça vous donne envie de le soumettre à un journal en « peer review » donc en revue par ses pairs afin de lui donner peut-être une autorité supplémentaire ?

[Denis Rancourt] Ça pourrait peut-être lui donner une autorité supplémentaire, mais il a déjà eu toute l’impact qu’il va avoir. Tous les chercheurs dans le domaine l’ont lu et ne vont pas le citer parce qu’il n’est pas justement dans un journal, mais au moins, ils l’ont lu, ils l’ont considéré, ils ont même fait des commentaires, ils m’ont envoyé des messages. L’information est passée, le message est là et même les chercheurs dans le domaine savent que je suis quelqu’un de sérieux qui va être très critique de ce qu’ils vont faire à partir de ce point ici et des études qui vont sortir. Et ils savent maintenant les critères que j’utilise pour critiquer leur travail parce que j’ai critiqué des articles dans mon article de revue et donc ça a déjà eu son impact. Et le processus de revue des journaux est un processus frustrant où on doit aseptiser nos propos et on ne peut pas être trop direct, même quand on a une conclusion scientifique qui est ferme. On ne peut pas utiliser un langage direct, etc. Je connais bien ça parce que j’ai soumis plus d’une centaine d’articles à des journaux de ce type-là et qui ont été bien cités, etc. Un de mes domaines de recherche d’ailleurs, c’est les nanoparticules dans l’environnement, donc les aérosols, tout ça, c’est quelque chose que je connais bien. Mais c’est frustrant le processus de revue, parce que les compétiteurs qui eux, ont écrit des articles à propos des masques vont lire mon article et eux, dans leur introduction, ont fait des petits commentaires pour vendre leur salade du genre :  » les masques pourraient aider, c’est possible que les masques aident « . Et ils vont être très frustrés d’un article très définitif qui dit  » écoutez, il n’y a pas eu une seule étude qui montre un bénéfice qui est statistiquement valable « . Alors ça frustre les gens et donc les reviewers font des commentaires négatifs. Après ça, on s’embarque dans des discussions avec l’éditeur. J’ai pas envie de perdre mon temps à faire ce genre de choses. Les gens peuvent évaluer mes arguments, les rejeter s’ils veulent, les ignorer s’ils veulent, ça m’est égal.

[Jérémie Mercier] Donc, vous avez eu beaucoup de retours d’ingénieurs, de chercheurs, de scientifiques dans ce domaine-là. Est-ce qu’il y a des personnes qui vous ont amené des arguments qui auraient pu faire changer un peu votre opinion telle qu’elle est exprimée dans l’article ?

[Denis Rancourt] Non, j’ai eu plein de commentaires et plein de critiques, mais il n’y a a rien qui défaisait les aspects rigoureux de ce que j’avais conclu. Par exemple, il y en a plein qui ont dit  » Mais non, mais il y a plein d’études qui montrent que les masques arrêtent les gouttelettes de toutes sortes « . Ça n’a aucun rapport parce qu’on parle pas des gouttelettes là, c’est un mécanisme – comme je l’ai dit – de fines particules aérosols. C’est le fluide de l’air qui est important, la fluidité de l’air et donc ça n’a aucun rapport. Ce n’est pas parce qu’on peut démontrer qu’un tissu ou un masque arrête des gouttelettes que c’est pertinent.

[Jérémie Mercier] Et pourtant, c’est l’argument utilisé tout le temps en fait !

[Denis Rancourt] Oui, parce que c’est visuel… mais l’argument suppose que le vecteur de propagation est à travers ces gouttelettes-là. Si on enlève, si on tire ce tapis de sous les pieds des gens, il n’y a plus d’argument. Et ce n’est vraiment pas le vecteur de propagation. Oui, en laboratoire, on peut causer une infection en allant chercher un fluide d’une personne infectée, en l’injectant dans le nez ou dans les poumons d’une personne, on peut réussir à infecter. Mais de façon naturelle, dans la contagion de cette maladie-là, ce n’est pas comme ça que ça se passe et donc ce n’est pas pertinent. Le fait que c’est possible n’est pas pertinent. La vraie question, c’est  » dans une épidémie, qu’est-ce qui se passe et quel est le vecteur de propagation ?  »

[Jérémie Mercier] Juste pour finir maintenant, qu’est-ce que vous conseilleriez donc à toutes ces personnes qui ont été paniquées pendant plusieurs mois avec le confinement, qui ont vu chaque jour le chiffre des morts augmenter, qui ont entendu toutes ces recommandations de faire ces gestes barrières, d’éviter les autres, de s’isoler, de se laver les mains avec du gel hydroalcoolique, de mettre un masque, etc. Qu’est-ce qu’on peut leur dire à ces personnes ?

[Denis Rancourt] Qu’est-ce qu’on peut dire à quelqu’un qui a été paniqué par des choses qu’ils ont entendu à la télé ou à l’internet ? Qu’est-ce qu’on peut dire à quelqu’un qui ressent une panique ou une peur, simplement parce que le gouvernement énonce des choses et dit que les autorités de santé ont dit telle ou telle chose et ne se base pas sur son bon sens, sur son expérience personnelle, sur son vécu où il a vécu plusieurs saisons, où il a eu ce type de maladie. Et il ne se pose pas la question  » mais si on dit que c’est une maladie grave, combien de personnes de plus que normal sont mortes ? Est-ce que je peux avoir ce chiffre ? Dites-moi pas combien de personnes vous avez analysées pour détecter cette chose-là avec un test que je ne comprends pas. Dites-moi si vraiment il y a plus de monde qui meurt « . Et quand on pose cette question-là, la réponse est très claire et je pourrais vous montrer un autre graphique, par exemple. Ça, c’est « mortalité toutes causes » en fonction du temps en Europe, pour toute l’Europe. Et on voit ici le pic récent, c’est le pic Covid, mais il est beaucoup plus fin que les autres. L’aire sous les pics en fonction du temps, et on peut aller beaucoup plus loin et toujours à peu près la même. Il n’y a pas plus de monde qui meurt. Et ce pic très fin, on peut le comprendre. Il a eu lieu à New York, dans la ville de New York, et il a eu lieu en Angleterre. Il y a plein d’États, des grands États où il n’y a pas un tel pic. Il n’y a rien qui se passe. Par exemple, je peux vous montrer la Californie, qui a une population plus grande que le Canada. Et puis, il n’y a aucun pic ici qui serait dû à la Covid. Et les lignes rouges que je mets, c’est là où on a annoncé que c’était une pandémie. À partir de là, tout le monde voyait le Covid partout. Le pic en question, il est dû – on comprend maintenant – il est dû au fait que beaucoup de juridictions ont envoyé leurs malades qui étaient en hôpital, dans des centres pour personnes âgées, dans des centres de santé autres que les hôpitaux pour libérer les hôpitaux en préparation pour une épidémie qu’il n’y a jamais eu, ou qu’il n’y a à peu près jamais eue. Donc, ils ont, de façon accélérée, infecté des institutions entières, pleines de personnes très vulnérables. Et donc il y a eu une montée très rapide de mortalité et donc c’est très spectaculaire à New York, etc. Et c’est dû à ces méthodes de fonctionner. En plus, aux États-Unis ont traitait les plus malades avec des ventilateurs mécaniques. Il y a une étude scientifique rigoureuse qui a démontré que ces ventilateurs tuaient les personnes sur lesquelles on leur imposait ça. Il y a eu des décès accélérés dus aux politiques de réaction à une soi-disant pandémie, mais il n’y a pas eu au total plus de morts qu’il a typiquement à toutes les saisons dues à ce type de maladie.

[Jérémie Mercier] Donc, artificiellement, quelque part du fait de politiques inadaptées, on a créé un pic de mortalité sur une période assez courte…

[Denis Rancourt] À certains endroits où on a appliqué ces politiques absolument néfastes, absolument horribles. Par exemple, j’ai le graphique ici pour l’Angleterre et Wales (Pays de Galles), où on voit d’une saison à l’autre – l’aire sous le pic, c’est la mortalité totale pour la saison en question – et récemment, il y a eu ce grand pic. Il n’y a pas plus de morts. L’aire totale est à peu près la même, ok ? Et s’il y a eu plus de morts, c’est parce qu’on les a stressés et que les personnes qui ne seraient peut-être pas mortes sont mortes à cause de leur niveau de stress. Le dommage qu’on a fait à leur système immunitaire en chambardant leur vie, etc. Mais c’est un petit effet. En gros, il n’y a pas eu plus de morts. Ce n’est pas une pandémie qui a créé plus de mortalité intégrée qu’il y a toujours avec chaque saison.

[Jérémie Mercier] Donc, statistiquement, en prenant un peu de recul, il n’y a pas de surmortalité par rapport à d’habitude.

[Denis Rancourt] C’est ça, je veux dire, ce n’est même pas statistique. C’est des vrais chiffres solides, on peut sur chaque saison intégrer sur une année. On peut regarder les excédents des morts « toutes causes » et on voit que ça tombe dans la norme. Il y a eu localement des endroits où il y avait plus de morts, où on les tuait, dans des localités où on avait des politiques aberrantes là. Mais en gros, il n’y avait pas des gens morts dans les rues. Il n’y avait pas des morgues qui étaient trop pleines, il n’y avait rien de ça.

[Jérémie Mercier] Ok, donc, du coup, c’est comme ça qu’on peut rassurer ces personnes, c’est que malgré tout le tapage médiatique, finalement, il n’y a pas de surmortalité inhabituelle.

[Denis Rancourt] Ben moi, je ne sais pas si on peut rassurer ces personnes-là. J’espère qu’elles vont aller au bout de leurs peurs, que ça va tellement les stresser et que finalement, ils vont être obligés d’abandonner et réaliser qu’elles ne sont pas mortes. Et puis qu’il faut continuer, puis qu’il y a quelque chose de psychologique qui se passe là. Mais ce n’est tellement pas rationnel, cette peur. Et c’est tellement basé juste sur ce qu’on a entendu. Ça me fait penser un peu à des babouins dans la jungle qui se promènent en troupe. Et il y en a un qui voit une espèce de truc qui remue là et qui pense que c’est peut-être un lion tueur de babouins et qui se met à crier et qui court vers les arbres et que tout le monde se met à crier et court vers les arbres. Ils montent dans les arbres, ils dépensent beaucoup d’énergie et restent dans les arbres longtemps… jusqu’à temps que, ils ont observé assez longtemps, ils n’ont pas vu de lion, ils n’ont pas vu de danger. Puis là, lentement, ils vont redescendre… jusqu’à la prochaine fois où quelqu’un va s’énerver, va recrier, et puis, il va se passer un peu la même chose. Je veux dire, on est des animaux sociaux dans une hiérarchie de dominance. On se comporte comme ça. C’est difficile de raisonner les gens quand ils sont en train de réagir à un cri et puis qu’ils veulent juste courir dans l’arbre.

[Jérémie Mercier] Ok, je trouve que cette image est très parlante. En tout cas, merci pour ce partage. Bon, ben en tout cas, je pense qu’on a fait le tour. Je pense que si vous êtes arrivé jusqu’au bout de cette vidéo, vous avez compris : que les masques ne servent à rien dans le cadre de l’épidémie de Covid, les gestes barrières ne servent à rien, au contraire même, c’est une voie royale pour une mise en place d’un État qui est de plus en plus autoritaire et que, ben, on s’est comporté comme des babouins, c’est ça ? Ok. Bon, en tout cas, merci beaucoup Denis Rancourt pour ces explications très claires, très pertinentes même, j’ai envie de dire inhabituellement de bon sens. Parce que le bon sens, on en a vu tellement peu pendant cette histoire du Covid que ça fait vraiment du bien d’entendre ça et de voir cette rigueur intellectuelle que vous avez et que vous avez transmise via cet article. Donc, il est en anglais, je vais mettre le lien sur la vidéo. Je ne sais pas si… je crois qu’il y a une version française peut-être aussi, non ?

[Denis Rancourt] Non, j’ai écrit un article en anglais qui critique la politique canadienne. Et cet article-là a été traduit en français.

[Jérémie Mercier] Ok, je mettrai les liens en tout cas sous la vidéo, et je vous invite à commenter la vidéo et à la partager parce qu’il est temps qu’on reprenne un peu nos esprits, qu’on revienne à quelque chose de plus rationnel et que l’on arrête de croire des choses qui ne sont basées pas du tout sur la science, mais sur des croyances, du  » on pense que c’est comme ça parce que ça parait logique  » alors qu’en fait, ça n’est pas du tout logique ni vérifié, ni quoi que ce soit. Merci beaucoup Denis Rancourt.

[Denis Rancourt] Ça m’a fait plaisir. Ça m’a fait plaisir d’être avec vous.

[Jérémie Mercier] À bientôt, au revoir !

[Denis Rancourt] Pareillement.

94 Commentaires

  1. Merci beaucoup Jérémie, votre article est vraiment super ! C’est très choquant et terrible d’apprendre que les masques et les gestes barrières ne servent à rien… On a perdu beaucoup de temps avec la peur fictive. Ça fait mal quand même ! Continuez comme ça !
    C’est très rassurant de connaitre la vérité. Merci

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  2. Enfin on va arriver à se parler, tous les gens normaux qui en ont ras le bol de se faire manipuler par une communication orchestrée. 73 000 morts du tabac en France, donc autant que le covid. Alors on interdit le tabac ? Quid du tabagisme passif ? Alors stop il va falloir se bouger.

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    • Les incohérences et la manipulation avec des arguments stupides, on vit ça depuis un moment avec la politique française.
      Tant qu’on ne sera pas éduqué à la santé et à l’esprit critique, on pourra tout gober et obéir à plein de choses stupides sans broncher.
      Oui, il va falloir se bouger… et ça ne va pas être facile vu l’abrutissement quasi généralisé !

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    • Ah, vous vous y mettez à plusieurs pour écrire des messages identiques… on dirait une meute de « zététiciens » à l’esprit borné et imperméable à toute réflexion critique et intelligente.
      Quelle tristesse d’observer cet abrutissement.

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      • Bonjour, je me permets moi aussi t’insister sur les critiques faîtes à l’article de M. Rancourt.

        N’étant pas spécialiste, comme surement beaucoup de vos lecteurs, je cherche à comprendre néanmoins les limites de chaque étude et les arguments de chaque point de vue. Je comprends votre énervement, mais insulter les messagers sans discuter les contre-arguments du debunkage désert complétement votre discours.

        Le débat contradictoire n’est-il pas un des piliers de la science ? Si un point est discutable, n’est ce pas de la discussion qu’on peut trouver la méthode pour répondre à la question ? Pourquoi ne pas faire un debunkage au moins partiel du debunkage et discuter sur le fond ?

        De plus chaque étude scientifique (en particulier médicale) ne pouvant être parfaite, une auto-critique semble nécessaire et sauf erreur de ma part je n’en ai pas vu en parcourant l’article du D. Rancourt.

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        • Bonjour Rémy

          Je ne crois pas avoir insulté qui que ce soit. Je répondais à un « zététicien » qui avait posté un commentaire 2 minutes après un autre qui me harcelait sur Facebook à un moment (technique classique des mouvements sectaires dont ils sont adeptes).

          Denis Rancourt a lui-même débunké avec grande facilité le « débunkage » que Kyle Johnson pensait avoir fait dans cette vidéo que je vous laisse regarder si ça vous intéresse : https://youtu.be/AQyLFdoeUNk

          Je suis absolument d’accord, la science avance grâce au débat contradictoire. Cependant, depuis 1 an sur cette histoire de Covid, la contradiction est interdite et seul le narratif officiel est autorisé.

          Enfin, Denis Rancourt a choisi d’arrêter de finir avec des phrases politiquement correctes classiques en fin d’article (la soi-disant auto-critique dont vous parlez je pense) et préfère justement que ses articles servent de support à des débats.

          J’espère que ça répond à votre message.

          À bientôt !

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    • Je crois que ces « débunkages » sont vraiment les plus pourris qu’on puisse faire. Il va falloir s’intéresser à la science de façon intelligente si possible.
      Le débunkage aujourd’hui consiste à vérifier que ce qui est dit n’est pas en contradiction avec le narratif officiel, mais ne cherche en aucun cas à montrer la réalité ou la vérité.

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  3. Question : je suis a la pharmacie , une personne est a côté de moi, tousse car il est malade ( n’importe quel virus respiratoire) et qu’il a un masque… Est il plus probable qu’il me contamine que s’il n’en portait pas un ( de masque ) et que tout ces postions qu’il emait en toussant atterissaient dans l’air ambiant qui circule tout près de moi et que je suis susceptible de respirer ?!

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    • Bonsoir Rose, avez-vous regardé la vidéo ?
      On peut imaginer de nombreux cas particuliers et faire des études afin de déterminer si les risques sont réduits ou pas avec le port du masque dans telle ou telle circonstance.
      Comme les maladies virales respiratoires sont transmises par des aérosols en suspension dans l’air sec des espaces confinés, on comprend que le masque n’offre aucune protection quelle que soit la situation. C’est pour cela que toutes les essais randomisés contrôlés avec vérification de l’infection n’ont jamais montré d’intérêt du port du masque pour les maladies virales respiratoires (dans les hôpitaux et dans les maisons de retraites).
      C’est probablement la même chose pour une pharmacie ;)
      Une fois qu’on a compris que le mode de transmission du Covid n’est pas les postillons, on comprend mieux pourquoi les « gestes barrières » sont hors sujet.
      Bonne continuation dans votre réflexion et vos recherches !

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  4. Très drôle ton affaire haha je l’ai pris comme exemple dans mon cours de français comme article de désinformation. Juste pour que tu sache que le gars que Denis G. Rancourt a été renvoyé de l’université d’ottawa et en plus il n’est même pas virologue, t’aurais pu te forcer pour trouvé une source meilleure mais bon, les gens sont assez énudiqués et ignorants pour croire à ça… c’est juste vraiment triste de voire qu’il y a vraiment des gens qui ne savent pas comment trouver une bonne source

    ah et oui, la pandémie n’est pas proche de finir comme tu le pensait. T’as jamais entendu de deuxième et même troisième vagues?

    Y’en a vraiment des sans-génies, vraiment trops…

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    • Bonjour Charles et merci pour votre message qui indique cependant un gros problème : vous n’avez pas aujourd’hui les capacités de faire vos recherches par vous-mêmes et n’arrivez qu’à répéter la propagande. Je connais très bien l’histoire de Denis Rancourt contrairement à vous. En outre, vous confondez qualifications et compétences et n’avez manifestement pas un esprit critique permettant de déterminer la qualité des sources.
      Enfin, vous me faites dire des choses que je n’ai pas dites par rapport aux vagues. On a même dit dans nos vidéos que ces « vagues » de maladies virales respiratoires existent depuis la nuit des temps dans les zones de latitude moyenne.
      Vous pouvez donc garder pour vous les qualificatifs de votre conclusion.

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      • Quand vous serez en mesure de montrer des études de plus d’une seule personne, peut-être alors votre opinion sera plus réaliste mais jusqu’à date c’est vous qui faites de la propagande. C’est plutot vous qui tiré des conclusions en écoutant l’opinion d’un seul gars alors que moi et n’importe quelle personne sensé fesons des recherches plus approfondies que ça. Et puis j’ai devant moi un document qui montre comment trouver les mauvaises sources et je suis bien désolé, mais votre cite ne peut être califié comme une bonne source. Et pourtant, vous avez bien dit qu’en Juin, l’épidémie arrivait à sa fin alors qu’une petite recherche sur google aurait pu révéler que dans la dernière pendémie que l’homme a vécu, il y avait plusieurs vagues. Vous avez donc conclut faussement que la pandémie finirait en Juin alors que le passé nous montre que c’est pas tout fait comme ça que ça marche. Pourquoi nous devrions croive à votre propagande quand la plus grande majorité des scientifiques disent autrement. Pis finalement, ce n’est pas si dure a comprendre, le virus se propage dans les goutlettes de salive et ces goutlettes de salives restent dans le masque et n’atteignent pas les gens autour de toi. Si tout le monde garderaient le deux mêtres et porteraient le masques, on pourrait en finir plus vite avec ce virus mais bon, c’est toujours plus le fun de défier les règles comme un adolescent ou piquer sa crise comme un enfant gâté. Vous devriez peut-être prendre en compte que vos actions peuvent mener a des conséqences graves. Ce n’est pas le moment de se montrer égoiste mais plutôt de penser au gens qui vous entoure.

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        • Votre commentaire montre une totale incompréhension de la démarche scientifique ainsi que du débat scientifique actuel. C’est logique compte tenu des efforts de nos autorités depuis des décennies pour réduire à néant notre esprit critique et notre culture scientifique, et faire de nous des individus incapables de jugement, qui ne peuvent croire que la majorité (argumentum ad populum) et la propagande officielle.
          Toutes les études citées par Denis Rancourt viennent de personne autres que lui et qui ont fait les études les plus poussées et les plus sérieuses sur l’intérêt du masque.
          Enfin, comme nous l’avons dit dans une de nos vidéos avec Denis Rancourt, il y a des « vagues » de maladies virales respiratoires tous les hivers dans les pays de latitude moyenne. Nous assistons donc non pas à la 2ème vague, mais à la 3 millionième « vague » que connaît l’humanité.
          Je sais que mon commentaire ne vous aidera pas à sortir de votre sommeil intellectuel, aussi je vous souhaite de bien vous cloîtrer chez vous en attendant la fin de la « 2ème vague ». N’hésitez pas à porter le masque seul chez vous… on n’est jamais trop sûr !

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          • Je vous encourage à lire les études sur lesquels Denis Rancourt base sa conclusion. Dans la deuxième études, il est écrit que le masque se trouve en fait à être efficace, c’est tous se que j’ai à dire car ça détruit complètement ton argument et celui à Dancourt… J’encourage tous le monde à ne jamais se baser sur une seule personne, surtout si celle-ci ne dit même pas la vérité ;) En fait j’espère que vous savez lire l’anglais et que vous avez déjà vérifié c’est études…

          • Nous avons bien regardé les études, parlons anglais, et il ne faut pas s’arrêter aux conclusions bidons / politiquement correctes des études pourtant bien faites et qui disent le contraire quand on regarde les résultats. C’est le gros problème du peer-review : pour que l’étude soit publiée, elle verse en général à un moment dans le politiquement correct et peut aller jusqu’à conclure l’inverse des résultats qu’elle trouve. Eh oui.

  5. La seule façon d’éviter la covid-19,c’est d’assumer son immunité.Comment?En prenant de la vitamine c,de la vitamine D3K2,du magnésium,du zinc,du sélénium et peut-être de la quercétine.

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    • Absolument ! Et ça reste une maladie bénigne chez la plupart des gens, avec un taux de mortalité comparable à la grippe. Pas de quoi fouetter un chat !

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  6. On attrape donc la maladie (bien-sûr le système immunitaire rentre en compte) par ces très fines particules aérosols en suspension dans l’air et pas avec les particules qu’on éjecte en parlant ou en éternuant ?

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    • Ces très fines particules aérosols sont émises par les personnes malades lorsqu’elles parlent ou éternuent et restent ensuite en suspension dans un air sec confiné (surtout pendant la saison hivernale donc, et dans des endroits fermés).

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      • D’accord merci
        Je comprends de mieux en mieux et ça m’intéresse beaucoup.

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  7. ok
    Donc la solution, une tenue de cosmonaute pour tous.
    Ouf je respire enfin.
    hihihi!

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    • Voilà, tout le monde devrait avoir un scaphandre à pression positive et ses bouteilles d’oxygène pour sortir si on poussait la logique « sanitaire » actuelle au bout ;)
      On est actuellement dans un délire en décalage total avec la réalité…

      Réponse
  8. Interpellée par le contenu de cet entretien, je suis allée regarder l’article et ses sources. Effectivement des sources de journaux reconnus. Ce qui est étonnant néanmoins, c’est de voir que 5 articles sur 7 ne remettent pas en cause l’efficacité du port du masque mais essaient de comprendre si le FFP2 protège mieux le personnel soignant comparé au masque chirurgical…à bon entendeur..

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    • La tendance avec la censure permise par le système du peer-review est le conformisme, c’est-à-dire que la recherche a beau montrer que les masques FFP2 et chirurgicaux n’ont aucun bénéfice mesurable pour limiter la transmission de maladies virales respiratoires, on n’osera pas remettre en cause le port du masque en conclusion de ce genre d’articles !

      Réponse
    • merci graziella pour ce bon sens ! et quant à la 1ère étude, elle parle de 32 personnes avec 1 rhume dans chaque groupe et conclut à l’inefficacité du masque … c’est assez ridicule

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      • Je ne vois pas en quoi c’est ridicule. Ce serait bon d’utiliser des arguments quand vous émettez une critique.

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  9. Bonjour,
    Merci d’avoir mené et rendue publique cette interview. Et merci d’en avoir publié ici le texte. Je sais que c’est beaucoup de travail, et ce travail est d’une grande utilité.

    Question : est-ce que Denis Rancourt a publié sa review dans une revue à comité de lecture ?
    – Si oui, est-il possible d’avoir un lien ?
    – Si non, pourquoi ?

    Est-il possible de lui demander ?

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  10. L’Enjeu des masques…

    Le masque, non seulement il est peu efficace et désagréable, mais il est dangereux pour la santé : à la fois malsain et contaminant : (berceau à microbes!) entravant gravement la respiration et le rejet du CO2, sans oublier que le portage du SARS-CoV-2 par aérosol n’est pas prouvé ; de plus il est polluant comme les gants jetables, énergivore, psychologiquement dangereux par la caporalisation et la servilité, affligeantes et mortifères, qu’il engendre… etc.
    Il y en a qui ont beau jeu de se cacher derrière l’État et son pouvoir de contrainte, mais à force de semer les graines de la discorde, il vont récolter ce qu’ils recherchent… la Tempête ! Et il faudra peut-être qu’ils assurent, personnellement, et on verra alors ce que vaudra leur test de soumission. Moi, je dis qu’il y a quelques escouades de toubibs « droitistes » qui devraient fermer leur gueule, ils ont déjà assez propagé le trouble comme ça et ils n’ont qu’à le bouffer, leur masque, par exemple.

    PS : Je cours régulièrement, fais tous mes déplacements au minimum au pas de course, chargé ou pas (depuis 7 ans environ) et j’ai 63 ans et demi :-)

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    • Merci pour votre message. La transmission par aérosol est très certainement le mode de transmission principal https://www.jeremie-mercier.com/covid-19-pas-de-surmortalite/ et c’est pour cela que les masques sont justement inutiles (en plus d’être probablement néfastes).
      Rien ne sera plus utile que prendre soin de sa soi et exercer son esprit critique pour rester en bonne santé. Les infos officielles allant de le sens contraire depuis trop longtemps ! Bonnes courses, sans masque évidemment ! :)

      Réponse
  11. Bonjour, Je viens de tout lire et je suis d’accord, depuis que le Dr Schaller en parle, sur le fait que ce masque est aberrant… Mais comment répondre à quelqu’un qui ne jure que par le côté officiel de la médecine (dont un membre de la famille est infirmière en hôpital). Je lui ai dit que les masques laissaient passer les virus et il me répond que cela limite fortement et que c’est toujours mieux que pas de masque du tout ! Le Pr Rancourt donne des exemples pour expliquer le pic de mortalité aux USA. Mais qu’en est-il en FRANCE ? Comment expliquer cet afflux aux Urgences, cette saturation des services et des lits disponibles ? Les grippes habituelles ne génèrent jamais de telles arrivées en masse aux Urgences. Comment expliquer ce même phénomène dans d’autres pays où les décès avaient lieu en nombre, même dans la rue (en Equateur par exemple) ? Je me sens impuissante pour expliquer ma conviction (n’ayant pas la moindre formation scientifique) face à des personnes ne donnant crédit qu’aux infos télévisées et réfutant toute autre source « non officielle ». En tout cas, merci pour tout, merci de réveiller nos consciences et de nous permettre de réfléchir par nous-mêmes.

    Réponse
    • Merci !
      On a la même chose en France, un fin pic de surmortalité fin mars (artificiel et la conséquence de politiques « sanitaires » délétères), mais pas de surmortalité sur la saison hivernale complète : https://www.jeremie-mercier.com/covid-19-pas-de-surmortalite/
      La plupart du personnel soignant ne veut/peut pas avoir une approche scientifique et avec recul sur la situation. Sinon, la plupart arrêterait de faire leur travail tellement ils seraient scandalisés d’être les pions d’un système aberrant qui en a fait ses petits soldats.
      Merci à vous et à bientôt !

      Réponse
  12. Bonjour, lecture très intéressante. Qui appelle des questions : si les masques ne filtrent pas toutes les particules, est-ce que le fait d’en filtrer certaines permettent de limiter l’effet de la maladie ou pas du tout? En gros les risques de contagions et de gravité des symptômes du virus sont-ils les même en fonction de la quantité de particules porteuses du virus respirées ou non? De plus, existe-t-il des particules avec des souches plus virulente que d’autres? Merci de vos réponses!

    Réponse
    • Merci pour votre message. Je crois qu’on a répondu à ces questions dans la vidéo : une particule aérosol infectée est suffisante pour rendre malade une personne chez qui le système immunitaire n’arrive pas à faire le travail correctement. Ce n’est pas une histoire de quantité. Si on aère les espaces, on limite ce risque. Et si on travaille son immunité en reprenant en main sa santé aussi. Je précise que le Covid-19 est une maladie comparable aux grippes classiques en terme de mortalité : https://youtu.be/J13v91ESl44

      Réponse
  13. Merci beaucoup jérémie pour la trad, c’est passionnant et en même temps très flippant lol.

    Réponse
  14. Bonjour, j’ai lu attentivement. Je travaille en sophrologie. Au fondement du métier il y a des exercices de respiration qui font beaucoup de bien aux personnes à la fois sur le plan physiologique et psychologique ( tu en sais quelque chose Cf : ton travail sur la gestion des émotions). Mais : comment faire dans le petit local qu’est mon bureau pro pour faire respirer les personnes? profond inspir, profond expir…. ou « respiration du petit chien » ou autres exercices de respiration? Bref, les exercices de respiration sont efficaces et sans eux je ne peux faire mon métier. Or le virus est dans le fluide de l’air ambiant….
    Merci pour ton travail de recherche sur la santé. Isabelle

    Réponse
    • A ma connaissance, personne ne fait de l’apnée en rentrant dans une pièce (un endroit qui est confiné par définition), donc il est impossible d’échapper aux particules virales en suspension dans des endroits non aérés, exercices de respiration ou pas !
      Le virus traîne dans les espaces contaminés confinés non aérés. Toi, rien ne t’empêche d’aérer ton cabinet ou d’utiliser un humidificateur et/ou un diffuseur d’huiles essentielles aux propriétés antivirales, qui pourraient être des solutions efficaces et logiques.
      Enfin, je rappelle qu’on est à la fin de cette épidémie d’une maladie à la létalité équivalente à celle de la grippe classique, et que la surmortalité des derniers mois est principalement due à une politique « sanitaire » disproportionnée, dont j’aurai l’occasion de reparler avec Denis Rancourt prochainement !

      Réponse
  15. Bonjour Jérémie,
    je viens de lire la retranscription de l’interview, édifiant.
    Evidemment j’ai un biais de lecture puisque je pense que « la maladie n’est rien, le terrain est tout ». Nul n’est parfait…
    Une fois au début du confinement j’ai entendu quelqu’un évoquer publiquement la transmission par aérosol, hypothèse passée très rapidement aux oubliettes. Après lecture de l’interview ça résonne en moi bizarrement.

    D’après D.R. il existe une traduction française , ou puis-je la trouver ? (le lien fourni ne me la propose pas)
    Peux-tu me conseiller un site qui présenterait le maximum de courbes comparatives quant à aux mortalités différentielles sur un grand nombre d’années (D.R. en parle ds son interview) ?

    Merci d’avance pour tes réponses éclairées et encore bravo pour le travail de recherche !

    Bonne journée

    Réponse
  16. Bonjour Jérémie,

    Le port du masque ! je suis non concernée, j’ai décidé de ne pas y participer.

    Ci joint 2 liens concernant 2 vidéos qui devraient t’intéresser et/ou te plaire. A voir en entier et assez rapidement ce serait mieux. Car qui sait combien de temps elles vont rester…

    https://youtu.be/-Qdfs_kCKok

    https://youtu.be/m_s80n6EYyg

    Réponse
  17. Tout est bon pour se mettre en avant aujourd’hui le raisonnement évoqué est trop rationnel, rien n’est parfait et fiable à 100%, même un préservatif…
    il vaut mieux une protection imparfaite que pas de protection du tout…vous préfèrez que je vous souffle au visage avec ou sans masque..!??
    Je ne suis pas d’accord avec votre théorie dont je ne vois pas l’intérêt et qui ne fait que remettre en question les mesures quelqu’elles soient afin de limiter la propagation…votre post n’est que de la mégalomanie

    Réponse
    • Le problème est que l’on « croit » que c’est une protection, mais que quand on vérifie, on se rend compte que ce n’en est pas une, ni pour nous, ni pour les autres. Le fait que vous n’ayez pas regardé la vidéo ni lu l’article ne vous autorise pas à m’écrire une phrase insultante comme « vous préfèrez que je vous souffle au visage avec ou sans masque..!?? »
      Ne rien remettre en question, c’est le propre des « croyants » qui suivent une religion. C’est exactement le contraire de ce que je promeus : l’esprit critique, une approche rationnelle et intelligente de sa santé. Manifestement vous êtes encore très loin de ça mais j’espère que cette vidéo sèmera des graines chez vous. Qui sait ?
      Bon courage et bonne continuation à vous !

      Réponse
      • effectivement la démonstration de ce physicien semble claire : les études ne montrent pas d’efficacité du port du masque, je vous explique pourquoi d’un point de vue scientifique
        mais quand on y regarde de plus près, sa méthode n’est pas transparente, et ses références surprenantes ; son analyse de la littérature n’est que partielle et partisane, et pourtant même dans les revues qu’il a mentionnées, les conclusions ne sont pas celles qu’il promeut (il en fait une phrase de résumé mais qui ne colle pas avec le résumé des auteurs)
        1er article : une étude japonaise sur 32 patients, avec une conclusion alors qu’il n’y a eu qu’un seul rhume par groupe ? de qui se moque t’on / le professeur conclut que le masque donne mal à la tête comme reporté dans l’étude…
        2ème article : les auteurs disent : There is some evidence to support the wearing of masks or respirators during illness to protect others, and public health emphasis on mask wearing during illness may help to reduce influenza virus transmission. ; le professeur conclut :aucune étude ne montre de bénéfices à porter un masque…
        comment expliquez vous cela Jérémie ?

        Réponse
        • Denis Rancourt explique quelles études il choisit et pourquoi, de manière transparente.
          Les conclusions sont malheureusement pleine de « polital-correctness », un impératif dans les revues à comité de lecture. C’est pourquoi il faut regarder l’étude en entier, et non juste les conclusions, qui peuvent être en fort décalage avec les véritables résultats de l’étude.

          Réponse
    • Ce sont les très fines particules aérosols qui peuvent rendre malade après contamination et le professeur Rancourt dit que le masque ne les arrête pas vu leurs petites tailles et qu’il suffit d’une seule particule d’où l’inutilité du masque qui les laisse passer.

      Réponse
      • Eh oui… mais tout le monde n’a pas envie de réfléchir, et il est si facile de rester dans l’ignorance et la stupidité mises en avant par les médias traditionnels !

        Réponse
  18. La mascarade est d’autant plus poignante au regard de ce que les personnes agées
    subissent en Ehpad par l interdiction qui nous est faite de les voir encore à ce jour…..avec en deux jours ,deux annonces contradictoires…..Mardi 2 juin, les visites sont autorisées avec gestes barrières!!!!!, mercredi 3 c’est annulé jusqu’aux nouvelles consignes et ce soir les visites se voient tout aussi ARBITRAIREMENT ré- autorisées par- les hautes instances impitoyablement inhumaines lundi 6 juin……rien donc pour la FêTe des Mères……!!! Quels outrages!! Que d’inhumanité…….
    De multiples causes m’ont fait remettre a plus tard votre nettoyage,..il n’est pas tombé aux oubliettes…il ne sera pas inutile et je vous en remercie d’avance. Maria

    Réponse
    • On assiste à une confusion (vraissemblablement volontaire) des esprits et surtout à une véritable maltraitance des personnes en Ehpad… Selon les directeurs d’Ehpad, les mesures « sanitaires » sont plus ou moins inhumaines.
      Pour le nettoyage du foie, le meilleur moment, c’est maintenant ;)
      A bientôt !

      Réponse
  19. Bonsoir,
    Le site que vous mentionnez ne propose pas « Masks Don’t Work » dans les ressources accessibles.
    Rien non plus en cherchant avec le nom de l’auteur.
    Auriez-vous une copie disponible quelque part ?

    Réponse
  20. J’avais un rendez-vous aujourd’hui à 13h avec vous, je suis rentrée en retard hélas, voulez-vous bien m’en excuser, me lire et nous ménager un nouvel entretien ?

    Merci,

    Marie Gemis 4000 Liège.

    32 476 20 58 78

    Réponse
  21. Un groupe de babouins ou un troupeau de moutons de Panurge . Félicitation, Jérémie pour ton travail d’investigation . Tes interviews sont toujours pertinentes , toujours à la recherche de clarté , d’infos scientifiques : c’est précieux. Le raisonnement du Pr Denis Rancourt est très précis , il va à la source du problème. Ce n’est pas aux politiciens de prendre les décisions dans de telles situations . Il est urgent que les scientifiques se réunissent pour créer des ouvrages avec études à l’appui . Le mélange des infos vraies ou fausses , des études bidons, des croyances dans les discours des gouvernements en route pour le néolibéralisme totalitaire devrait pousser les babouins et les moutons à se questionner, à faire leur recherches personnelles . Encore Bravo à vous 2 pour cette belle entrevue !

    Réponse
    • Merci beaucoup Daniel ! La politique et les intérêts de multinationales pharmaceutiques a pris un pouvoir délirant sur nos vies. Il est temps que cela cesse !

      Réponse
  22. Merci Jérémie pour votre recherche et votre profonde honnêteté, merci aussi d’avoir cherché et trouvé Denis Rancourt et d’avoir organisé cette rencontre en simplicité et en toute transparence. Sans aucune particule (justement) de manipulation. C’est une démarche que je n’ai jamais rencontré sur le Net. Il est bien tard et j’ai perdu beaucoup de temps à tenter de prendre des notes de la vidéo car je manque de pratique numérique.

    J’ai rempli une inscription qui nous permet d’échanger demain à 13 heures, merci encore.

    Réponse
    • Merci !
      Oui, quand je suis tombé sur l’article de Denis Rancourt, je l’ai rapidement contacté car je trouvais sa vision particulièrement pertinente sur le sujet.
      Juste pour préciser les choses, l’appel téléphonique n’est pas avec moi mais avec un membre de mon équipe :)
      A bientôt !

      Réponse
  23. Merci pour ce partage inspirant. c’est important d’avoir d’autres sources d’informations pour se faire sa propre opinion afin que nos choix, nous respectent en tant qu’humains.Que le meilleur soit. Gratitude

    Réponse
  24. Je vous partage la réponse d’un médecin réanimateur qui a travaillé pendant ces deux mois et plus de pandémie et qui a écouté l’itw du professeur Rancourt.
     » Je voudrais inviter ce monsieur quand il faudra endormir un patient atteint ou suspect de covid et qu’on se tient devant sa bouche; on verra s’il tient le même discours quand il s’agira de faits pratiques et s’il ne met pas de masque chirurgical ou le masque FFP2…
    Je maitiens que si nous n’avons pas été contaminés c’est grâce aux masques et les seules fois où trois infirmières anesthésites ont été positives, on pense qu’elles ont enlevé leur masque en salle de détente sans distanciation, à cause de trop de fatigue. « 

    Réponse
    • Merci Jeanine pour ce retour.
      Les médecins ont souvent de la difficulté à avoir une approche scientifique et c’est fort dommageable pour la médecine. C’est ainsi qu’ils restent dans le domaine de l’anecdote et de la croyance sur des pratiques et n’arrivent pas à prendre en compte les résultats d’études sérieuses (on a le même problème avec les dépistages du cancers, j’ai eu l’occasion d’en parler dans d’autres articles). C’est dommage mais c’est une des raisons pour lesquelles je m’intéresse tant à la santé et cherche à ouvrir une réflexion sérieuse et qui sort des croyances datées et fausses dans la mesure du possible.
      La prise en otage par l’industrie pharmaceutique du domaine de la santé (depuis bien trop longtemps) et l’absence d’éducation à une pensée critique et scientifique rend les médecins particulièrement manipulables et naïfs. Etrangement, les infirmier•es sont un peu moins concernées par ce problème. J’invite votre médecin réanimateur à se pencher sur le rapport de Denis Rancourt et les études qu’il cite et de revenir vers moi une fois qu’il les aura lues. C’est toujours difficile de réfléchir correctement quand on est sous le coup d’émotions fortes.
      A bientôt !

      Réponse
      • J’adore cette réponse ! Top !

        Réponse
        • Haha ! Tellement de professionnels de santé pensent « savoir » parce qu’ils sont sur le terrain alors qu’ils ne réalisent pas qu’ils ont été embrigadés pour penser de façon simpliste pendant leurs études… Cette incapacité à prendre du recul et à aller chercher (et encore moins comprendre) les études scientifiques sérieuses et un des grands maux du monde médical actuel.

          Réponse
          • Bonjour Jérémie, Meeci pour cet article qui apporte un autre point de vue. J’ai 2 questions.
            1-concrètement le Pr Denis Daucourt et vous iriez prodiguer des soins à malades atteints de Covid sans masques ?
            2-doit-on considérer comme plus risqué de travailler dans des bureaux où il n’y a pas de fenêtres. Bref la ventilation/ Clim est-elle efficace pour les particules aérosol.
            Merci

          • 1) Je ne peux pas répondre pour Denis Rancourt. Je n’ai pas les compétences pour prodiguer les soins à une personne malade du Covid. Y aller sans masque est ok vu le mode de transmission de cette maladie qui rend les masques au mieux inutiles.
            2) La clim est un bon moyen d’assécher l’air et permettre aux particules aérosols de rester longtemps dans l’air et donc de permettre longtemps la possibilité de contaminer des personnes. Rien de mieux que des fenêtres qu’on peut ouvrir du coup ;)
            Sinon, je répète que cette maladie est très peu dangereuse, sauf pour les personnes très vulnérables et proches de leur fin de vie de toutes façons.
            À bientôt !

  25. Merci, Jérémie, pour cette vidéo qui me conforte dans mon ressenti que le virus circule et se transmet bel et bien par l’air. Je ne trouvais aucune vidéo ni aucun article qui parle de ce mode transmission aérien que je soupçonnais. Merci pour tout le travail que vous faites pour faire éclater la Vérité. Au plaisir de vous lire prochainement.

    Réponse
      • Étant donné que le virus se propage par gouttelettes aérosol, que penser des spray aux huiles essentielles virucides (bio, bien sûr !) pour le détruire (en préventif car on ne le voit pas…) notamment à la maison (après la venue de proches, par exemple) ou dans les bureaux ? Bien évidemment, le spray serait utilisé en complément d’une hygiène naturelle du local : aération quotidienne, fenêtres grandes ouvertes. Est-ce une solution envisageable ?
        Merci. Très belle journée à vous.

        Réponse
        • Je n’ai pas une réponse définitive sur ce point mais c’est probable que des diffuseurs d’huiles essentielles (et les humidificateurs aussi) puissent avoir une action efficace contre les virus en aérosols comme ceux des maladies virales respiratoires oui !

          Réponse
  26. Je viens d’écouter votre vidéo.
    Pourquoi aurait on plus confiance en Denis Rancourt qu’à toutes les autres personnes qui se sont impliquées sur ce sujet ?
    Sujet qui pour moi n’est maîtrisé par personne à ce jour.
    Pourquoi toutes les personnes qui travaillent sur le sujet ne se regroupent elles pas pour échanger et nous donner des informations fiables ?
    Nous sommes au 21 ième siècle, avec des moyens soi-disant exceptionnels et nous n’avons aucune information solide et concrète.
    C’est à désespérer de la science et des chercheurs du monde entier.
    Chacun tire la couverture à soi et tous les humains sont dans l’errance la plus totale sur des sujets vitaux.
    Je suis désespérée par toutes ces informations qui circulent.

    Réponse
    • Je vais vous expliquer ce que j’ai compris de mon expérience à l’époque où j’ai découvert le métier de chercheur pendant ma thèse : une grande partie de la « science » est financée par des industries qui ont des intérêts particuliers (défendre leurs produits, leurs projets, leur vision du monde). Quand un chercheur reçoit de l’argent d’une entreprise, cela va induire un biais important (souvent inconscient, mais aussi conscient), qui va orienter ses résultats. Beaucoup d’études ont donc des résultats biaisés, qui correspondent aux attentes des financeurs. Moi-même j’étais financé par une fondation qui recevait de l’argent de 4 gros industriels français (Total, Renault, Diester Industrie et Axens). Naïvement, je pensais au début que ma recherche serait totalement objective (c’est pour moi essentiel pour faire un travail de recherche digne de ce nom). Or, à partir du moment où j’ai découvert (avec stupeur) les nombreux gros problèmes environnementaux (que mes financeurs voulaient soutenir pour « verdir » leur image), je l’ai dit à ma fondation, et là c’est devenu très tendu. Il a fallu que je résiste à toutes leurs pressions. Ils voulaient détourner mes recherches, me faire travailler sur des sujets qui me paraissaient pas du tout intéressants, etc. J’ai réussi à finir ma thèse (et l’ai eue sans difficulté) mais j’étais complètement isolé et sans soutien car ma fondation n’était pas d’accord avec mes résultats (pourtant vus comme justes par les experts du secteur) car ça dérangeait leurs intérêts ! Résister comme je l’ai fait était super dur et la plupart des gens à ma place auraient arrêté leur thèse ou auraient accepté de se compromettre… ce que je n’ai pas fait !
      Donc, il faut faire attention. Il y a science et science. Celle faite avec des conflits d’intérêts. Celles faites par des gens qui publient pour publier, mais des choses inintéressantes et à côté de la plaque.
      Il faut tout vérifier ! C’est dur et ça prend beaucoup de temps !
      Les grosses entreprises mettent des moyens exceptionnels pour financer de la recherche biaisée de mauvaise qualité. Quelques rares chercheurs indépendants dans leur tête sortent du lot (comme Denis Rancourt) et font un travail de qualité, avec honnêteté.
      C’est ces informations que je veux partager. Les niaiseries des autres « scientifiques » qui font des papiers bidons repris par les médias incapables de prendre du recul, ça ne m’intéresse pas !
      J’espère que ça vous aide à comprendre cette énorme problématique de la qualité très aléatoire des recherches en science et de la multiplicité des discours qu’on peut entendre !

      Réponse
  27. C’est drôle, lorsque vous lui demandez si c’était inutile le port du masque en Chine, il répond qu’il faudrait une étude … ;-) Cela contredit tout ce qu’il a dit auparavant, non …
    Quand au fait des problèmes inhérents au port du masque, je dirai qu’il lui manque l’expérience … car avec plus d’expérience, il aurait fait d’autres réponses.
    Bref, je ne suis pas convaincue du tout de l’utilité du masque, mais je ne vais pas prendre cette interview comme porte-parole !
    A une prochaine fois… car vos autres articles m’intéressent toujours !

    Réponse
    • La réponse que Denis Rancourt a faite ma question sur le port du masque dans les pays asiatiques est une réponse tout à fait scientifique. Oui, moins de transmission du virus dans certains pays. Est-ce dû aux masques ? D’après les études sérieuses qui montrent unanimement que le masque n’a pas d’efficacité pour limiter les contagions de maladies virales respiratoires permettent d’écarter l’hypothèse de l’intérêt du masque dans ces pays pour juguler l’épidémie.
      Il soulève la question du comptage (pour la Chine) et celle de l’humidité de l’air dans les pays proches de l’équateur, où on ne voit pas de saisonnalité de ce type d’épidémie contrairement aux zones intermédiaires. Il y a aussi d’autres paramètres qui mériteraient d’être analysés avant de tirer des conclusions pour ces pays. Il est possible que la mise en quarantaine des personnes malades (très différente du confinement avec tout le monde mélangé) ait aussi joué un rôle. Donc il a tout à fait raison de dire que d’autres études sont nécessaires sur cette question de l’épidémie dans les pays asiatiques !

      Réponse
    • vous avez mal écouté le professeur….et vous êtes sans aucun doute, de ce fait trop à l’écoute de vous-même…En Chine ou ailleurs les virus existent depuis que le monde est monde…rien ne changera cela…la seule vérité étant que pour se protéger, il faut tout simplement entretenir une bonne immunité en ayant une vie saine, manger bio, ne pas fumer, ne pas boire d’alcool, respirer à plein poumon parce que tous nous avons respirés à plein poumons après que le cordon ombilical eut été coupé..parce que vivre c’est respiré à plein poumons….

      Réponse
  28. Vidéo très intéressante, on comprend donc que tout local climatisé devrait être soigneusement filtré et les maisons bien aérées.
    Malgré plusieurs essais, je n’ai pas pu charger votre E-book gratuit.

    Réponse
    • Merci ! J’ai plutôt compris que c’était impossible de filtrer d’aussi fines particules que les virus dans des aérosols de très petite taille. Par contre, aérer les maisons, oui c’est un geste qui assainit l’air facilement et efficacement. Pour l’ebook, répondez au mail que vous avez reçu pour qu’on voie le problème… avez-vous vérifié dans vos spams ?

      Réponse
  29. Merci ça me rassure que d autre pense comme moi car c est dur de ne pas faire le mouton comme tout le monde .on me dit que je suis inconsciente ou dangereuse mais je reste droite dans mes bottes. Je mettrais jamais leur masque

    Réponse
    • Oui, pas facile d’utiliser le bon sens et la science quand la propagande est si omniprésente… Bon courage !

      Réponse
  30. Enfin, des choses sensées écrites par un scientifique. Merci mille fois. Que nous soyons nombreux à répandre cette bonne information. Encore merci à Jérôme pour la version en français.

    Réponse
  31. Merci Jérémie pour cette interview à propos des masques, en tant que yogatherapeute je partage ce point de vue depuis le début de cette épidémie… merci aussi pour tes différents postes. Merci également pour ton exposé sur le nettoyage du foie, que j’ai suivi pour information et que je ferai peut-être un jour

    Réponse
      • Merci infiniment pour la retranscription de l’interview avec le professeur Denis Rancourt. Elle est très utile, car il y a des personnes qui n’ont pas la possibilité d’aller sur Internet. Merci encore.

        Réponse

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